mercredi 24 avril 2013

Folie Mondiale


Un brin de jugeote qui explose en apothéose par des mots et des rots aux frémissements de sensations multiples qui brouillent et débrouillent l’âme et l’esprit de tant d’inepties et de balivernes aux parfums de vérités et d’ouvertures de cœur.

Parle ma belle. Parle. Régurgite ce qui ne va pas.



Est-ce juste moi ou est-ce un détail qui illumine la pensée du monde, que la violence comme à  Boston,  le Texas, Bagdad et j’en passe, s’accroit sur toutes les surfaces de la terre ? Pas que je veuille ignorer les autres, mais ce serait si long de les énumérer que j’abrège pour ne pas perdre le fond de ma logique et que la confusion embrouille le tout. C’est incroyable quand on y pense. La Syrie, l’Égypte, proclament le printemps Arabe. Ici pour un carré rouge au printemps Érable on proclame en surnombre le droit à la scolarité gratuite et cette année on se fait matraquer par des policiers qui jugent tout alors qu’avant  ils appliquaient les lois et non jugeaient comme maintenant que tout et rien était condamnable.

Je suis abasourdie de voir toute cette violence.

Et l’autre en Corée du Nord qui fait son grand enfant en se disant prêt à toute éventualité de guerre si le méchant Américain venait à poser un geste déplacé alors que lui-même  se prend pour un activiste avec tous les droits  d’un  adolescent en crise d’identité.

Que je réalise bêtement, que nous sommes loin d’avoir progressé en tant qu’humain.

Et pour parler de nous occidentaux, ceux qui se croient plus malins que tout le monde mais dès qu’une bombe explose dramatise tellement que ça devient démesuré et les médias s’en emparent comme de la viande jetée à des animaux affamés. Aucun sens. Courant après de faux coupables pour ensuite traquer  tel un film américain les soi-disant ‘vrais’ coupables et les rendent à l’état de légume.

Boston à fait le tour du monde. En quelques clics. Ce fut ÉNORME parc que c’étaient EUX les américains les ‘’victimes’’. Sincèrement, parfois je me demande, s’ils ne réalisent pas, que la volonté à vouloir laisser des lois obsolètes en vigueur, rendent toutes folies encore plus plausibles d’être exécutées.

Jadis il y avait les guerres sans fin. De 100ans, Saintes, où les peuples voulaient acquérir les autres peuples en tuant ceux qui étaient déjà là chez eux. On violait les femmes, brûlaient les maisons, les temples religieux.  On prenait même pour esclaves la race qu’on éliminait l’homme ou on les envoyait ailleurs. Autant blancs que noirs et musulmans. On ne prêtait attention à aucune loi. C’était la loi du vainqueur.

Et on croit bêtement que depuis Hitler que ce genre de barbarie n’existe plus.

Plus je m’ouvre les yeux, plus je vois à quel point l’humain aime se dissimuler la vérité dans son petit monde bien à soi. Au chaud, sous un toit, avec les petits jouets dernier cri qui se gargarise l’orgueil à se vanter de tout connaître. Qu’être à l’ère de la technologie il n’y a que ça de vrai. Que l’humain s’humanise que la paix sera sur toute la terre. Avec sa petite bière son hockey, son football et voilà qu’on ferme l’esprit à tout ce qui n’est pas SOI.

Mais cette même technologie, à son pendant meurtrier,  et est encore pire que celle de la guerre d’Hitler. Et pourtant Hiroshima fut une horreur à son époque. Ce qui n’a pas arrêté le monde de vouloir faire pire. Pour soi-disant  se protéger du monde extérieur.

Quelle belle excuse quand on y pense.

L’excuse facile d’avoir des armes pour tuer tout ce qui bouge.  Les américains avec ce droit d’avoir une arme, ne veulent même pas réaliser qu’ils sont inconscients de leur inconséquence. Un pauvre livre pour enfant est banni des écoles pour une bouteille de vin, alors que les armes circulent librement au risque absurde de tuer quelqu’un. Ce qui arrive bien plus souvent qu’ailleurs dans les pays soi-disant développés. Newton est un excellent exemple pour démontrer l’absurdité d’un peuple à ignorer le danger qu’il affectionne au détriment de la sécurité véritable.

Alors que ce même pays donne libre arbitre à un empire en lui octroyant tous les droits d’agir et que personne ne peut plus rien contre ce même monstre qu’est cette source d’OGM. Sans omettre les lois qui donneront tout pouvoir à ces lieux de maltraitances envers les animaux.

Les États-Unis pour moi ce n’est pas l’Eldorado mais Tourne toi le dos que je tue.

Ensuite, ailleurs dans le monde, les horreurs de voir des femmes lapidées, des hommes déchiquetés pour des raisons qui ne sont que des excuses pour écouter l’animal en soi. C’est totalement monstrueux.

Tout cela tourne dans ma tête. Les mots s’échappent de ma pensée tellement que je ne parviens plus à trouver le terme qui ouvrirait le regard intérieur de chaque être humain. Ces faux libérés qui se disent ouvert d’esprit mais qui méprisent d’emblée tout droit humain à des hommes et des femmes différents d’eux. Et vous aurez compris que je parle de la folie  des homophobes. Le printemps français.

Le pouvoir rend aveugle. Ça ne peut qu’être cela. Sinon, les hommes et les femmes au pouvoir s’apercevraient de tous les torts qu’ils font à notre chère terre. Je crois que les choses changeraient.

Et là ce Harper qui détruit tout ce qui a été si durement acquit.  Il n’est pas mieux.  Pire même. Je l’appelle le dictateur en cravate.

Honnêtement, ce monde me fait peur. Il empire d’ailleurs. Avec tous ces fous qui veulent prendre possession de ce qui ne leur appartienne pas.  De ces substances qui ne sont qu’un pouvoir de plus.

Regardez la cette terre. Elle vomi sa misère. Elle donne des signes de sa santé en perdition et personne ne l’écoute. Personne ne fait attention à elle. Pourquoi ? Parce que nous ne faisons plus attention à nous-mêmes. Notre santé est souvent très secondaire alors que le pouvoir, l’argent, la carrière  ÇA c’est important. Alors, comment sauver une terre qui n’est que pour l’homme au pouvoir acquit, un jouet de plus à manipuler ?

Jusqu’à ce qu’elle explosera. Et là… Bye bye l’humanité.

Apocalypse quand tu seras, ce sera la vengeance non pas de Dieu mais de la terre qui nous nourrit. Celle qui nous offre sans rien exiger. Si ce n’est que de la respecter.



Allez, je file. J’ai assez délibéré. Je crois que j’ai fait un joli plaidoyer. Maintenant, je vais à mes photos. J’ai craché ce qui trainait sur le cœur depuis quelques jours.

À la prochaine.

La Grosse Belle qui vous salut.

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