jeudi 26 janvier 2012

Anony….marre…


Non, je ne sais pas si ce que j’écris aura un impact quelconque. Je suis loin de me prétendre importante au point d’être citée et apostrophée d’une forme virulente. Sauf qu’en moi cri cette voix qui me dit ASSEZ! 
Je suis épuisée de tous ces articles qui pleuvent un à la suite de l’autre, sur google+ en premier et sur FB, mais moindres, et qui sérieusement me déroute. Quelle ampleur ce phénomène! Quelle démesure aussi!
Je suis à saigner des oreilles et des yeux à lire. Heureusement que je n’écoute pas les vidéos, je serais morte en se moment par se lavage de cerveau qui javellise les neurones.
Bref, je me sentais sur le point d’exploser à trop souffrir cette manne d’écriture qui défile et m’embrouille la patience et la tolérance.


Je ne pensais pas un jour en venir à dire une chose semblable. Moi qui respecte la libre expression dans la mesure du respect. Que je tolère sans peine la différence d’opinion parce que ça prend tout pour faire un monde. Que c’est en écoutant et lisant les autres que nous devenons plus intelligent et moins abruti.
D’autant plus que les différences nous font joyeusement découvrir une diversité d’événements, de musiques, de langues et tous les plaisirs de la vie. Alors je me dis, que si nous demeurons confinés dans notre petit espace sans s’ouvrir aux autres, nous nous enlisons dans notre merdier suprême manquant la beauté de l’univers.
Sauf que là, je suis complètement saturée de tout ce qui se passe en ce qui concerne la fermeture d’un site ‘important’ et que là, on à simplement le droit de nous vomir dessus en tentant de nous inciter à agir d’une manière que nous n’approuvons pas, simplement parce qu’une partie du monde le désir.
Alors là, je me demande où est notre véritable choix ?
Faut-il absolument vivre dans la corruption virtuelle pour bien paraitre ? Faut-il, avoir peur de ceux qui parlent de la libre expression, alors qu’ils sont prêts à détruire ceux qui ne pensent pas comme eux ?
Faut-il faire comme si de rien n’était, parce que nous risquerions de nous faire saboter notre travail, notre agrément, juste parce que je nous ne sommes pas d’accord avec les raisons qui ne sont pas dans nos principes de bases de notre vie ?
Et en parlant que de moi cette fois, si je veux éduquer mes enfants à agir aux mieux de l’honnêteté ce n’est pas en faisant des trucs illégaux que je vais donner la bonne conscience. Ce sera encore à dire, fait ce que je dis, pas ce que je fais.
Et en plus,  si on pensait vraiment à ceux qui vivent dans des endroits moins peuplés et qui n’auront pas le même avantage que ceux qui nous imposent virtuellement leurs perceptions, à coup d’annonces qui n’en finissent plus, polluant les murs sociaux par ces messages qui se multiplient telle une gangrène nauséabonde qui me fait de plus en plus gerber, bien on réaliserait que tout cela sera bénéfique qu’à une infime partie du monde universel et virtuel.
Et ce, encore une fois.
Non, le boycottage n’aidera pas les artistes qui n’ont pas des millions de fans de par le monde à les soutenir. Ils mourront encore davantage dans cette hargne. Alors qu’eux-mêmes veulent que nous achetions leurs créations pour pouvoir survivre. Ne pas les acheter, c’est profiter de leurs talents sans les respecter. Ne pas leur donner le digne récompense envers le plaisir que nous avons, c’est immoral.
Alors oui j’en ai plus qu’assez de cette volonté destructrice à vouloir saboter tout le travail des artistes qui crèvent de fins (le bon fin dans le texte) vivant aussi pauvrement qu’une personne presque dans la rue. Ont attaque pas le problème réel, juste l’iceberg tout en nuisant à ceux qui ont le plus besoin de leurs blé pour continuer leur dur périple.
Ne vous laissez pas berner par des paroles fallacieuses.
Je vis dans la pauvreté, et si un jour je réussissais dans le domaine que j’espère un jour percer, je n’aimerais pas que ma créativité ne me rapporte rien. Pas que j’en offrirais pas en cadeau, ou que le partage d’amis à amis, ou des membres d’une même famille me dérangerait. Non. C’est normal ça. Sauf que si plus personne n’achète, comment croyez vous que je survivrai ? Que le créateur survivra ? En allant travailler dans une usine ? S’il doit toujours ne faire que ça, il ne créera plus rien. Se disant que ça ne vaut pas la peine.
Si on ne gagnerait que du vent, ça ne servirait à rien.
Je ne suis pas du même avis. Non au boycottage. Oui au respect des artistes qui ne méritent de se faire voler leurs droits d’auteurs au plaisir démesurés de gens qui veulent tout gratuit.
Oui j’en ai marre de cette suprématie Anonyme qui se cacher derrière des masques pour justement ne pas faire face à la justice.
Que les lois semblent injustes, cela se comprend, mais agir ainsi, pour moi, c’est aussi pire que la criminalité. Ce sont des délits.
Et… pour conclure, j’ai autant le droit que d’autres de dire ce que je pense de cette attitude.
Qu’en déplaise!
Je ne me cache pas derrière un masque pour dire ce que je pense.
Une vieille grosse laide courageuse de ses pensées

Bien voilà, j’ai régurgité ma bile qui brûlait ma linotte de tête à trop m’emboucaner le cerveau de ces inepties qui me brouillaient l’intelligence sur des domaines plus sérieux et proche de la réalité.
Si j’offense, bien désolée, sans pour autant m’en vouloir de dire par écrit ma pensée trouble sur le sujet du téléchargement et des extrémistes  dans les deux sens.
SOPA!PIPA et Anonymous… Pour moi c’est du pareil au même. Juste le camp qui change. Juste la magouille qui se barbouille autrement la conscience pour se donner de l’importance et de l’assurance.  Le reste, c’est comme Hitler mais en virtuel. Je te fais la guerre parce que tu ne penses pas comme moi. Je tu ton site parce que ta pensée me dérange.
Bref, aucun respect pour les autres. Juste pour soi.
Je félicite les deux protagonistes, qui offrent de l’emploi à ceux qui pianotent sur leur clavier à triple mesure tant la lecture est intense, tant l’écriture s’active à grandeur TGV.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche

mercredi 25 janvier 2012

Sous Pression


Ce matin je file mes émotions comme on file de la grosse laine. Je ne les gère pas avec la facilité de tous les jours. Je suis en évolution entre la crainte et le raisonnement. À savoir s’il faut agir maintenant ou attendre la dernière phase d’un appel en attente.
Entre temps, je n’ai que l’envie de poétiser. Formuler en vers enfantins mes émotions femelles en lignes décousues en lignes rabattues.
Je ne cesse de revenir sur la même note discordante d’une musique mal interprété et qui accroche l’ouïe comme les ultras sons. Je grince des dents. Je saigne des yeux, je flagelle ma conscience endoctrinant mes pensées d’esprit raisonnable pour ne pas courir au devant des impondérables désastreux.
Hier j’en voulais au temps de ne pouvoir faire ce dont j’avais envie. Trop occupée par les inconvénients de la vie, et aujourd’hui, perturbée par la crainte, je stagne et végète dans cette maison à m’interroger sur les possibilités du moment.
Alors je vais étaler mon poème. L’abreuver de faux pouvoir pour assouvir ce besoin de publier, me disant que les mots envolés vers le regard des autres déformeront l’étendue de cette crainte amplifiée surement par l’inconnue de la situation qui coure.
Dans l’espoir minable d’apprendre que tout cela est moins pire. Tout en sachant que la seule victime, minimisant ou pas le scénario passé, si elle ne dit rien, personne ne pourra aider dans ses pleines capacités.
Avant, il faut savoir l’exactitude du problème pour engloutir des informations afin de parvenir à aider. Sans la base, on ne peut construire. Et c’est cela qui me fait peur.
Mais voilà, pour l’instant je vais coller ce poème sans véritable valeur. Juste une expression de plus dans l’abreuvoir dégoulinant à force de boire sans soif.
Sous Pression

Le temps qui m'agresse,
Les neurones qui stressent,
La tête explose
De tout ce qu'on lui impose
Elle rame,
Elle file son drame
Pleure, cri,
Hurle en maudit.

Laissez-moi respirer
Laissez-moi décompresser
Je déteste l'Impression
De n'être que sous pression

J'ai besoin de ma création
Besoin de ma passion
Pour savoir que je ne sombre pas dans l'ignorance
Pour croire en mon existence

Maintenant, je soupire
D'extase, du plaisir
D'avoir jouie
De mes envies
D'avoir osé
Encore une fois, créer.

Jusqu'à la prochaine
Défaite humaine
La vieille grosse laide emmerdeuse

Je m’en retourne à mes pensées sombres. Mes pensées multiples qui me forgent l’esprit et le courage dans la marre marécageuse qui s’agrandit autour de ma personne. Malgré les changements positifs de mon avenir. Simplement, parce que je porte la poise, la merde.

Krikri Ma Puce
C.Labrèche 

Non je ne veux pas (que pour toi ma puce)


J'ai le coeur brisé ce matin
Brisé par les larmes d'inquiétude
Brisé parce qu'il craint le pire
Ne sachant comment réagir

Ma tête tente de raisonner
Seulement, je n'arrive pas
À faire fit d'un drame en devenir
Si je ne fais rien

Pourtant je ne sais pas grand chose
C'est peut-être que mon imagination
Mais mon coeur tremble
Pleure d'inquiétude
Et je ne peux pas rester à ne rien faire
En me disant que peut-être
Et si c'était plus pire que mon raisonnement ?

Je ne veux pas
Comprendre trop tard
Je ne veux pas
Vivre comme si tout allait bien
Ça ne va pas bien
Et je ne veux pas
Vivre les funérailles
Parce que vous jure qu'il y aura des représailles

Je ne laisserai pas sous silence
L'intimidation sournoise
Que vit ma grande
Qui dit que tout va bien
Quand on m'appelle pour me dire
Que les choses se passent étrangement

Je ne veux pas mourir d'inquiétude
Je ne veux pas qu'elle demeure dans sa solitude
C’est une si belle fleur brute
Ce serait trop absurde
Non, Je ne veux pas

lundi 23 janvier 2012

L'O.N. Heu… C’est quoi au juste?


Bon, je n’irai pas par quatre chemins, je désire promouvoir un parti qui vit dans le silence des médias. Qui sans faire de grands bruits, à tout de même un nombre considérable de membres. Ce qui me fait réagir et désirer faire un petit quelque chose qui je l’espère donnera un petit coup de pouce. Sans pour autant croire au miracle.
Mais dans ma bonne volonté, si cela aide à faire jaillir la lumière aux regards aveugles des journalistes, bien je me dis que j’aurai réussis un petit tour bien sage.
À vous internautes de lire et de porter une attention particulière à ce qui suit en pensant faire une bonne action par la suite.

L’O.N. c’est un parti inconnu.
Oui, mais encore ? Quel genre de parti ?
Un parti politique messieurs dames.
Tout rêve d'un parti politiquement correcte est d'être au pouvoir d'une nation pour construire ses idéologies et respecter les promesses faites aux membres qui les ont suivit au fil du temps qui s'écoule et qui ont eut confiance en lui.
Par contre, avant d'en arriver à cet ultime rêve, à ce parcours maintes fois imaginé, il faut tout de même être reconnu. Et pour être reconnu, il faut surtout être connu. C'est la loi de la logique et du fondement de la réalité.
Voici donc, mon infime parcelle d'aide dans cette marre occulte, telle une minuscule boule de neige, je vais déployer l'information que je désire partager avec vous chers/ères internautes des réseaux sociaux.
Ho! Je ne dis pas que je suis la seule qui peut le faire. Loin de moi cette pensée. Mais je me disais, qu'il faut un début, un commencement de la masse populative en dehors des connaissances de l’intérieur.
Un déploiement d'armes visuelles pour que cela accroche l'optique humaine et donne la curiosité de vouloir cliquer pour connaitre ce dont il est question, ne peut pas faire de tort.
À vous internautes sociaux de partager ce lien, ce texte pour qu'en bout de ligne, l'O.N. acquiert des connaissances, des membres si cela intéressent en bout de ligne les personnes qui le découvrent.
Je souhaite surtout chatouiller votre curiosité. Votre volonté d’en savoir au-delà d’un texte inspirer par la bonne foi et que cela illumine votre désir de faire un clic pour un suivit réussit en dehors de mes cercles ou de ‘mes’ amis.

Ce parti est l'Option Nationale 

Par contre, je ne prétends pas défendre ce parti.  Pour la simple raison, que,  comme vous je ne le connais pas. Je suis à sa découverte.
Comme vous, enfin je l'espère, je vais parcourir ce lieu pour me mettre au fait de ses projets et de ses objectifs.
Surtout, que j'adhère au détail essentiel de la démocratie, que comme tout autre parti, celui-ci a le droit à être connu de la masse populative. D'être connu pour être reconnu ensuite dans les médias.
Ce n'est pas parce que le chef,  Jean-Martin Aussant, n'est pas autant connu, comme l'est Legeault, qu'il n'y a aucun mérite à l'être. 
Au contraire! Je me dis que ce labeur déployé à créer un parti, mérite d'être soutenu et déployé dans le monde politique, en plus qu'il semble avoir au-delà de 1,000 membres,  a son actif. Ce n'est pas rien.
Que vous pensiez que c'est du pareil au même, tout en critiquant les autres partis, c'est de ne pas offrir une chance à celui qui, peut-être, oui je dis bien peut-être, serait celui que vous recherchiez depuis un certain temps pour être un Premier Ministre, avec des avenues différentes et une approche différente.
Oui, je le réitère, peut-être bien. Car je ne peux évaluer l'exact potentiel de l'O.N. parce que je ne le connais pas moi-même. Je ne friserai donc pas le ridicule en lui octroyant un quelconque bénéfice, alors que je ne sais rien de bien important. Si ce n'est que le fait d'être contre le retrait de Kyoto. ( ce qui n’est pas rien ) Sauf que ce détail, si vous vous rendez sur le site de l'Option Nationale, c'est une information écrite en entrée. Une information nullement secrète.
Ainsi donc, vous voilà devant cette possibilité de connaitre et de FAIRE connaitre l'O.N. Il mérite cette attention de tout internaute qui lit cette tribune.
Ce parti à autant le droit qu'un autre à être sur la sellette médiatique québécoise pour qu'on entende parler de lui.  Il est  un parti véritable, alors pourquoi ne pas le projeter ?
Merci de partager et j'espère que cela donnera un petit plus pour ce Parti, pour L'OPTION NATIONALE.
J’ajouterai pour être précise, que je parle d’un parti politique québécois. Seulement, même si vous ne l’êtes pas, partagez quand même. Car dans vos contacts, vous avez surement des québécois qui ne connaissent pas l’Option Nationale.
Merci à vous tous.
Une vieille grosse laide qui aime la justice.

Entre deux maux


Je me sens à plat ce matin.
Il est très tôt et je me sens le vague à l'âme et la torture dans le coeur.
Je suis exténuée de me jouer la comédie de la solide créature gardant stoïquement la tête hors de l'eau alors que je sens l'horrible bouillie aux bords de mes lèvres et  sur le point de m'étouffer et de m’engloutir sans remord.
Effleurant mes narines de sa cruauté mortelle. Me faisant miroiter la mort qui me guette, m’attend et se délecte de mon supplice.
Quelle odieuse meurtrière cette mort froide!

Pourtant, encore une fois, je sens l'ire de la rébellion être présente dans mon sang. Cette ire qui me donne une part d'énergie pour ne pas abdiquer. Et quand je lis un article sur un pauvre jeune adolescent qui tente de survivre avec un coeur artificiel, c'est peu dire le combat qui se propage dans mes veines.
La force de la volonté qui secoue l’abnégation pour lui insuffler du courage avec un grand C.
C'est là que je sens la guerre se déclarer dans la profondeur de la vie qui s'obstine à garder le filet de souffle qui veut demeurer présent pour croire encore que le miracle peut se produire.
Non, désolée, c’est vrai, pas miracle, parce qu'après tout, la solution est explicable, ce n'est que par la volonté des gens si ce jeune adolescent, Vincent Lambert, peut recevoir un vrai coeur compatible à son cœur malade et son sang O.
Tandis que moi, il n'y a pas de volonté, Si ce n'est que de parvenir à ne plus avoir ce stupide brin d'espoir qui lui, me gâche l'âme. Parce que je suis consciente que c'est ce brin d'espoir qui me garde dans cet était d'esprit.
Par ce manque qui est mien, telle une droguée. Par ce manque qui m’interpelle encore malgré les années écoulées.
Mais pour Vincent Lambert, à l'hôpital général pour enfant, soyons à l'écoute de sa demande. De son espoir, de sa survie. Il peut être déjà mort à l'heure qu'il est. Son coeur artificiel peut lui être fatal en tout instant.
Il est là que pour lui donner un petit fil d'espoir de survie.
Ce n'est pas une vie pour ce jeune ado, qui rêve d'être sur patin, de posséder l'énergie de ceux de son âge. Lui c'est un vrai rêve qu'il a au coeur et à l'espoir. Signez votre carte de dons d'organes. Même si cela semble difficile.
En ce qui me concerne, mon espoir caché, c'est de réussir à vivre sans avoir besoin de ce manque. De ne plus croire que l'impossible peut arriver. Parce que même si, ce rêve était devant moi, je sais que pour mon bien, ce serait de le refuser. Telle la droguée de tendresse que je suis, je sais pertinemment que le porteur en question est plus néfaste qu'une drogue dure.
Il est ma perte. Parce qu'il n'est pas pour moi.
Comme le coeur mécanique de Vincent  qui n'est pas le meilleur pour lui, mais qui le garde pour l'instant, hors de la noyade.
Je lui dis courage à ce petit bout d'homme. Et je luis souhaite avant le dernier souffle d'avoir ce coeur d'une personne qui ne serait plus malgré ce coeur qui bat encore un peu et de l'offrir à Vincent et qu'il ait l'opportunité de devenir un garçon de son âge et non pas ce vieillard à l'apparence d'un ado sur le point de rendre l'âme.
Une vieille grosse laide touchée au coeur.

C'est dans ces lectures que je puisse la force de continuer et de croire que l'avenir est autrement de ce que nous pouvons en percevoir à la seconde même. Parce que nous ne savons pas de quoi demain peut être fait. Ainsi, je m'efforce de croire que le meilleur est en bout de ligne et qu'il faut juste garder confiance. On ne sait jamais, la paix et l'espoir vrais peuvent être au rendez-vous et tout chambouler alors que l'on ne s'y attendait plus.
Sinon, à quoi bon s'accrocher si on ne garde pas confiance et espoir ?

Krikri Ma Puce
C.Labrèche

dimanche 22 janvier 2012

Similitudes! Vraiment ?


Pour une entrée en la matière, se ne sera pas très extrapolé de ma part.  Je le dis à maintes reprises, ma sommaire éducation, démontre que mon niveau d’oraison n’est pas très agrémenté de grands mots et de grandes expressions. Sauf, que je suis du peuple et je me dois d’exprimer en tant que bonne écrivaine, ce qui pourrait passer dans la caboche d’autres personnes. Détail que j’ai déjà expliqué ailleurs dans ce débris d’écritures ordinairement édulcorés.
Voici donc, l’opportunité, de parler du non sens des attitudes des gens devant les problèmes multiples et que l’on profite davantage de nuire que d’aider. Et cela pour moi, est une notion qui me répugne.


Dans un hasard bien passé, je vois dans une émission de télé une caricature qui me fait sursauter d'indignation. Moi qui dans le monde politique, je suis portée à demeurer sceptique parce que trop de comédie s'y joue. Là, je n’ai pu que me révolter à autant de laideur d’imagination.
Prenez note avant de lire la suite, pour ne pas prétendre de ma part vouloir défendre Pauline Marois pour des raisons personnelles, que je suis nullement une péquiste, malgré mon amour pour le Québec et un immense besoin d'être respectée en tant que  francophone.
Seulement, dire dans un dessin, que Pauline Marois est similaire au Costa Concordia, le paquebot naufragé sur les bords d'une ville italienne est complètement farfelue. Et désastreusement ignoble.
Mon esprit s'indigne parce qu'il ne voit rien d'amusant dans le dessin, certes magnifique, mais Ô combien offensant. Juste imaginer une situation inverse et j'entends l'indignation verbale de tous ceux qui seraient aussi référencés par une image aussi peu respectueuse des victimes réelles d’une attitude moribonde d’un homme qui n’a pas fait son devoir jusqu’au bout, malgré que l’on peut comprendre la peur engendré par la néfaste action.
Sincèrement, voir l'image du Paquebot à moitié ensevelit et une Pauline Marois sortie des anges et dire que son propre bateau coule en laissant autant de victimes c'est indécent. Simplement parce que les similitudes sont inexistantes. Marois c’est de la supposition, alors que le Costa Concordia c’est la réalité.
Pauline Marois n'a pas fait encore couler son 'bateau' malgré les 'bonnes' paroles dites à son égard devant les départs quelque peu absurde de gens soient disant être derrière elle. Ce n'est pas Marois qui abandonne mais bien les matelots. Alors que le Costa Concordia c'est le capitaine qui à sombrer dans la lâcheté.
Donc, forcément, malgré les éclats de glaces, les avalanches de mépris à son égard, Marois demeure debout, solide comme un Roc. Alors, il faudrait plutôt reconnaitre sa force au lieu de la descendre aussi bêtement alors qu'elle, elle ne quitte pas son navire. Au contraire, elle tente de le solidifier avec de nouveaux atouts.
D'autant plus que Duceppe, Gilles de son prénom, commet des actions déplorables laissant planer une volonté d'être le futur chef, advenant que Mme Marois partirait. Comme une lâche prête à quitter Son navire comme ce capitaine du Concordia. Alors que tout cela était de la politique de bas étage, sans aucun respect et non, un argument basé sur des faits.
Et pour conclure ma répartie frustrée envers une volonté foncière à vouloir dénigrer au lieu de reconnaitre la force de résister à l'épreuve du naufrage au bout de l'océan, une femme qui garde la tête haute,  est d'un sournois entêtement à prendre le même modèle pour détruire une idéologie au lieu de reconnaitre sa solidité.
De cela, je puis dire qu'elle mérite notre respect. Que nous ne l'aimions pas, que son parti ne soit pas le nôtre, cela mérite tout de même de reconnaitre qu'elle tient fort son navire, et le gouvernail, loin d'être affaibli, prend de la force. Qu'on se le tienne pour dit.
Et que les médias tournent leurs regards vers d'autres potentiels squelettes. Après tout,  ces os là, ne sont pas prêts à se laisser gruger la möelle.  Le bateau fort de Pauline Marois s'éloigne de la côte dangereuse et de la vermine qui la prétend morte avant de voir son cadavre dévasté par les rats politiciens qui ratent lamentablement leurs diffamations.
Non, la politique n'est pas mon fort. Et encore moins mon phare. Quoique que j'aime bien le NPD, au provincial je suis secouée par la vague du cynisme qui me dicte mon attitude dépourvue de volonté et de pensées positives.
C'est comme de régurgiter la même bouffe à longueur de jour, sans variante et toujours avec le même goût amer qui demeure dans le fond de la gorge, à saveur de bile et de vinaigre.
C'est âcre, ça ne goûte pas bon et sa détruit la philosophie de croire au meilleur pour l'avenir.
Une vieille grosse laide ironisant


J’espère que cela n’aura pas été trop ennuyant pour vous. Que cette lecture aura eut une quelconque saveur d’intérêt sans pour autant m’attendre à une sorte de gloire ordinaire dans l’expression la plus simple du commun des mortels.
Je suis une femme, dans le bord du rivage de la vieillesse, pas très sexy pour ne pas dire, du tout, lucide, quoique rêveuse aussi. Mais qui a perdu sa foi envers l’humanité. Tout en gardant un brin de confiance pour ne pas souffrir de folie en la noirceur du monde.
Sérieusement, je vous dis merci de votre lecture.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche

Rétro...spectRive..


 En fait, là, banalement comme ça, je ne vois rien à écrire. Mon esprit est en mode pause et je ne parviens pas à joindre les deux bouts d'une même pensée sans qu'elles décrochent pour partir à la dérive d'une autre.

Certes, il y a bien des histoires de peur à raconter, surtout après avoir visionner en quelques jours des films sur la fin du monde (2012) et (10,5 Apocalypse) Et que là on nous parle chez nous d'un léger séïsme qui n'a causé que de la crainte. De quoi à s’interroger sur la question, quand nous apprenons en lisant sur le sujet que la région touchée, à vécu au 18ième et 20ième siècle des dommages intenses jusqu’à Montréal.

Alors là, oui, on doit se poser de sérieuses questions, et voilà que je suis parachutée dans mon état de perception des catastrophes autour du monde. Que là, j’ai découvert mon sujet qui me vient de ma propre inquiétude qui sans être au sommet de son pouvoir, me réveille à la possibilité d’une fin aléatoire que vivra cette planète que l’on maltraite.



Que les tsunamis abondent, que les tremblements de terre augmentent, que les volcans crachent leur venin bouillant à la face du monde sans remords, ne devraient en rien nous inquiéter. Pas du tout n’est-ce pas ? Après tout on est savant, on est important, on sait tout, et trop imbu de nos pouvoirs pour admettre que si la fin du monde arrivait, personne n'y pourrait rien.

Que si une quelconque masse humaine, dans le dos du reste ferait en sorte de créer des arches de Noé à la moderne pour sauver une quelconque partie de l'humanité en disant que l'élite à plus d'importance que le petit peuple, quoique je vois mal l'élite se plier aux volontés de la misère, je me dis, bien, que pouvons nous y faire nous si la fin du monde nous ensevelit dans le ventre de la terre ou dans le néant de l'univers advenant que la belle terre que nous connaissons explose similairement qu'un ballon trop soufflé à bloque ?
Et je n'ai pas la conviction, que l'élite serait épargnée. Une terre qui grogne son mécontentement par l'abus qu'elle absorbe depuis sa création, prenons conscience que le jour où elle dira ASSEZ, et dans son propre langage, il sera bel et bien trop tard pour s'épargner l'énergie de tenter de se croire plus important que sa fin.

Tant et aussi longtemps que le monde ne conviendra pas qu'il se doit dans toutes les parties de sa belle sphère agir pour la sauver et dans un commun accord, elle nous anéantira sans que nous ayons le pouvoir de contrer sa destruction. Laquelle sera bien de la faute de l'humanité qui ne pense qu'à son petit nombril.

Moi y comprit hein!

Malgré mes volontés de ne pas trop lui nuire. Je ne suis tout de même pas parfaite pour dire que je fais TOUT en mon pouvoir pour éviter cette catastrophe éminente et inévitable.

Un jour l'humanité disparaîtra et plus personne ne pourra regretter de n'avoir rien fait pour la sauver. Parce qu’elle ne sera plus et trop plonger dans notre pouvoir personnel et notre fichue manière de nous croire supérieur à tout.

Nous regardons la faim du monde et on ne fait rien de plus que d'avoir pitié. Haïti c'est pareil et le japon c'est pire, les maudissant de leurs actions sur les baleines, on s'octroi le droit de les laisser à leurs misères... Et on se croit avoir le droit d’être épargner ! Parce que l’on se croit plus juste et humain!

Sincèrement, tant que nos pensées seront ainsi guidées par des trous noirs de méchanceté, on n'arrivera jamais à faire en sorte que la paix et le respect deviennent la victoire sur une terre qui se foutra bien de toutes ces guerres le jour où elle nous ensevelira ou nous anéantira.

Nous causons notre propre destruction.

Nous sommes les témoins et les acteurs de ce sinistre avenir.

C'est l'héritage de nos générations, si évidemment cela va plus loin que celles qui débutent en ce moment. Parce qu'en vérité, l'ultime question, Aurons nous le temps de sauver nos vies en sauvant la planète ?

Je ne le crois pas.

Les guerres de pouvoirs sont les ennemies de celle-ci. La pollution intensive en est une autre. Ne pas vouloir comprendre le message, c'est de faire l'autruche idiote qui croit éviter le pire en fermant les yeux sur les actuels enjeux véritables.

Voilà mon cri du coeur. Mon message à moi.

Mais je suis si insignifiante devant un peuple et des gouverneurs imbus de leur petit pouvoir à la con, que je ne vois rien qui puisse éviter cette éventualité qui bientôt sera la nôtre.

Et encore là, on dira que j’exagère. Que je n’y connais rien. Que mon intelligence limite ma perception et le pouvoir absolu que le monde entier pour contrer une telle catastrophe.

Bien sûr, je suis si sotte pourquoi porterions-nous attention à mes délires ?
La vieille grosse laide ironiquement résignée.



Que la fin du monde ne soit pas à la fin de 2012, un jour ce sera la bonne et elle viendra comme un voleur, sans avertissement. Après tout, il y en a eut suffisamment pour ne plus en offrir. Le monde n'a jamais voulu les prendre aux sérieux. Alors pourquoi le faire encore ? Pourquoi s'obstiner devant les sourds neurologiques qui se disent une élite alors qu'elle est plus ignorante que le peuple ordinaire ?

C'est surement pour cela le soulèvement populatif. L'indignation du monde envers ceux qui agissent que pour eux-mêmes et non pas pour le monde.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche


Cette fin n'est pas venue, et les géants se gaussent comme des oies, seulement, sans rien prédire, surviendra bien ce jour où l'humanité n'existera plus sur cette terre. 

Serais-je vivante quand ce jour noir surviendra ? Aucune idée. Je ne suis pas devin dans le temps à venir. Donc, d'ici là, les gens de conscience poursuivrons leur cheminement, et les gens trop imbu, bien continueront eux aussi. On ne peut rien contre l'absurde.

vendredi 20 janvier 2012

Prise d'otages


Que nous soyons pour ou contre cette folie qui se passe sur le net, que nous soyons solidaire de la liberté en tout, sans redevances envers ceux qui travaillent fort pour offrir des divertissements ou que nous soyons solidaire envers les auteurs. Je me dis que là, c'est comme pas assez.
C'est trop.

Le partage ce fait depuis que le monde est monde. Tout le monde sera d'accord avec cette vérité.
Un livre par exemple, n'est pas lu seulement que par la personne qui l'a reçu en cadeau ou l'a tout bonnement acheté pour se faire plaisir, (en tous les cas dans une grande proportion) dans un salon du livre en le payant au prix fort ou dans une librairie d'occasion parce qu'elle attendait cette opportunité, l'argent, tout le monde le sait, n'étant pas une ressource sans fond dans des poches trouées par la misère du commun des mortels.
Non, il sera lu par plusieurs personnes.
C'est une formule qui stimule le plaisir de lire, C'est une manière qui diffère de la surabondance de consommations qui fait un pied de nez à la dépense outrancière d’un peuple qui se goinfre outrageusement sans intérêt véritable et sans s’interroger sur les déchets nuisibles à une terre en excès de poids.
Ce n'est donc pas une raison d'assassiner tout un peuple.
Combien d'entres nous se partagent, un bouquin,  un CD avec sa famille, ses amis, un DVD aussi... ? Oui, combien de gens agissent de la sorte sans se prendre pour une criminel de la pire espèce ?
Et cela n'enfreint pas la loi.
Ce qui l'enfreint, ce sont ceux qui désirent faire du blé avec ce moyen lucratif sans que les véritables auteurs en reçoivent un centime. Ça c'est criminel. On ne le dira jamais assez pour simplement donner l’exemple.
Moi, dans ma petite tête de linotte, celle qui n'a pas étudié à l'université, celle qui souvent, il faut lui expliquer à quelques reprises avant que cela débute un son de cloches de compréhension véritable dans sa petite cervelle, se dit, que là, tout le monde va trop loin.
Que l'on sanctionne des sites web qui donnent à qui le demandent un contenu entier à des centaines d'exemplaires, pour moi c'est tout de même un mal. J'aimerais pas moi en tant qu'artiste, que mon livre ne se vende pas, parce qu'il est transmit sur le net sans aucune redevance envers MA créativité. C'est idem pour tous les artistes qui subissent le méfait qui les appauvrit davantage. Même si, le partage gratuit aide des milliers de gens dans la pauvreté qui ne peuvent se payer ce genre de petits luxes, il faut tout de même une notion d'empathie pour admettre cette grande erreur qui tue la créativité et la réussite de ceux qui les composent et les écrivent.
C'est qu'avant l'internet, le partage se résumait à l'entourage. Donc, les ventes étaient beaucoup actives. Ce qui aidait les artistes à mieux capitaliser leurs travails et ainsi à poursuivre la route de leur plaisir dans la reconnaissance de tous. Laissant volontairement de coté les industries. Parce qu’elles, elles font du blé, et scandaleusement sur le dos des artistes. Alors que la grande majorité de ces derniers ont à peine un petit pourcentage qui dérouterait grand nombres d’entres nous à recevoir ce maigre pain.
Maintenant, ce qui se produit, sur un objet vendu, livre, CD, DVD et autres, une multitude de copies se distribuent sans retours envers l'artiste que l'on dit aimé, mais dont on vole sciemment sans aucun remords, sans aucun respect. Même si cela est gratuit.
On lui vole sa récompense.
C'est là que tout va trop loin. L'abus intense qui se distribue à coup de clics multiples, sans conscience sans reconnaissance. On prend sans autorisation. On vole sans se poser de questions. Parce que l'on ne croit pas que c'est un comportement illicite. Que c'est une action illégale. Simplement parce qu'elle est gratuite. Sans respect des auteurs qui en arrachent de survivre dans ce monde impitoyable de l'industrie artistique.
Et là, Anymous qui veut faire peur pour dire que les lois sont trop sévères. Trop axées sur la suprématie blanche des États-Unis. Peut-être.
Mais à mon sens ce n'est pas la bonne méthode pour réagir. Tout piratage est nuisible. Destructible et d’une certaine manière, une dictature. On commet se que l'on reproche à l'autre. En bout de ligne, ce n'est pas mieux qu'une personne qui se fait justice soi-même.
Je terminerai ce billet que peu de gens liront, j’en suis consciente, mais qui me soulage les neurones, parfumant mon égo de paix et de satisfaction, que je préfère de loin acheter une oeuvre que de posséder une copie. Que je préfère louer ou emprunter à une personne que je connais, que de prendre sans redevance. Simplement, parce que je respecte l'artiste qui a mit tout son coeur dans son oeuvre.
C'est peut-être parce que je me sens moi-même artiste que je comprends cela. Non, que je ne veux pas partager gratuitement, c'est que trop c'est nuisible. Ou prendre une oeuvre et se l'accaparer. Ça c'est terrible.

Maintenant, je vous laisse. Je coure à ma vie de femelle séquestrée dans son lieu de vie pour aller m'accaparer les tâches qui doivent être mises à jour. Pour le reste, je vous dis à la prochaine chicane virtuelle.
Au prochain outrage à mon honnêteté et reconnaissance des talents de partout dans le monde. Même si, je me doute que ma propre progéniture, pourrait réagir différemment de ma perception.
Krikri Ma Puce
C. Labrèche.

Clin d'oeil d'Hier

...ce veut comme un regard sur le passé. Remettre ici au fil de mes fantaisies, un lien d'un ancien texte.

Parce que parfois, pour ne pas dire souvent, un écrit peut être temporel. Qu'il n'a pas forcément une force dans le temps de son époque parce qu'il peut encore refléter une vérité toujours omniprésente autant dans notre façon de percevoir la vie que dans les actes réels de la société.

Par traîtresse j'en fait le constat encore une fois. En le relisant par curiosité, j'ai été frappé combien c'était encore véridique en ce qui me concernait. Malheureusement!

Mais je n'élaborerai pas davantage, car le but ici, est simplement d'expliquer la raison d'être de l'existence de cette page en effaçant nouveauté qui à vos yeux n'existait plus parce qu'elle n'était plus vu jusqu'à ce que quelqu'un la remettre dans la liste...Qui re-disparaîtra à nouveau pour changer de titre.

Venez voir de temps à autres, par curiosité. Qui sait, vous pourriez être étonné de ce que vous y trouverez.

Sur ce, bon plaisir

Krikri Ma Puce.



Avant toute chose, voici ce qu'il faudra lire pour bien comprendre les règles de ce blogue.

1- Respecter les consignes sur les droits d'auteurs de ce blogue en lisant ICI

2- Toujours demeurer courtois dans sa manière d'écrire.

Place aux souvenirs 
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Prendre NOTE que je refais cette page en ce 1er avirl 2014 

Droits à l'Auteure


Mes droits d'auteur

Prendre note que ces écrits sont mes oeuvres et qu'il est strictement interdit de les copier sans mon consentement. 

Ils sont ma propriété. 

Si vous les faites circuler que cela soit avec le lien qui l'accompagne, démontrant ainsi votre respect envers le travail qui est mien et son droit ultime à être le véritable auteur de l'écrit en question. 

Merci de votre respect et de votre compréhension.

PS: Le travail d'un auteur, qu'importe le domaine, mérite le respect de ne pas se l'approprier. Il est ardu le chemin des auteurs. Et être reconnu valable par une société de consommation est un plaisir. Mais pas celui de se faire voler son propre effort sans en être récompensé.

Krikri Ma Puce de mon surnom ainsi que la vieille grosse laide.

jeudi 19 janvier 2012

Les joies de la curiosité


Je ne vous mentirai point. Malgré une assurance plus stable et qui ne dégringole presque plus, il arrive parfois qu’une lecture, qu’un propos anodin viennent fissurer cette nouvelle protection en cherchant à savoir où nous en sommes véritablement. Et que là, la faille, il ne fallait surtout pas qu’elle nous avale entièrement et qu’arrive le déséquilibre du doute dans un esprit nouvellement reconquis par la motivation positive, oscillant dans le plongeons d’hier et dans la confiance d’aujourd’hui.
C’est pourquoi, que j’ai pris le temps loufoque de vous accoucher ce texte au fond grotesque sans pour autant être dénué de vérité. J’avais un compte à régler avec la suprématie de la détérioration mentale chez les individus qui aiment semer la pagaille. Pas toujours sciemment mais qui abouti toujours dans un esprit facilement enclin au pessimisme.

Après m'être quelque peu remise de ma mauvaise nuit de l'avant veille par une nuit plus calme, après avoir apprit que l'épave avait régurgité quelques autres cadavres de sa carapace mouvante, après avoir compris que le PQ est sur le bord de la faillite par une Pauline Marois qui n'a plus le même pouvoir qu'à ses débuts, et d'un ex policier aux marques d'un suicide faussement évident,  je me dis que là, il faut que je me recycle.
Je dois décortiquer les besoins du futur pour entamer les trouvailles à venir dans une vie qui se passera ailleurs qu'ici. Ailleurs que dans cette prison à plusieurs étages pour un lieu plus égalitaire et moins entreprenant dans l'excès des travaux ménagers qu'il en incombera.
Sauf, qu'il me faut aussi admettre que j'aime de moins en moins être perturbée dans mon art d'écriture. L'inspiration m'adrénaline les doigts sur ce clavier aux notes effacées et aux intempéries de la motivation bipolarisée par les exigences qui m'horripile les neurones et cela m'agace parce que je perds souvent Ariane n’ayant pas d'autres moyens de pouvoir conjuguer avec les temps.
Surtout que l'écriture avec un crayon ne m'est plus une source de plaisir quand on sait que je souffre beaucoup en utilisant cette vieille méthode et qui  n'est pas aussi simple à reproduire quand vient le moment de me relire.
Maintenant, mes priorités me tarabusque la fertilisation inspiratrice. Ce qui me fait penser à ce fou de Foglia qui parlait justement d'un livre qui énonçait qu'il faut savoir mettre les priorités des priorités avant toute chose.
Ouain, facile à dire et à écrire. Sur papier tout cela semble parfait. Seulement, la réalité bouscule plus souvent qu'autrement cette base précaire de la vie de tous les jours. On essai de prendre le temps quand il passe, mais trop souvent l'envie se noie dans le devoir pour combler ce qui passe en premier, sans être la volonté propre de l'individu qui assumera ce devoir.
Les exemples sont multiples... On fera la nourriture avant de penser à soi. On fera le lavage, les courses, notre travail, le ménage... quoique ce dernier, on s'en accommode, sauf qu'il faut tout de même en faire par moments.
Les obligations, les devoirs, le partage d'un ordi qui nous fait se mordre la langue et les joues pour taire la frustration de cette déraison qui nous enlève l'outil qui nous aide à l'écriture. On le devine, ce n'est pas aussi aisé. Sinon soyons dictateur et devenons anti démocratique en tuant le droit humain.
Oui j'aimerais pouvoir vivre des heures dans la solitude de mon inspiration. La laisser aller en sachant que ce ne sera pas un coup de fil qui me brimera, ni aller chercher une puce à l'école, ni un repas à commencer, ni une dispute à arbitrer.
Alors agir comme bon nous semble, cela me semble une belle utopie. À moins d'avoir les moyens financiers pour ce faire. Ha si seulement la réussite pouvait me donner cette étendue merveilleuse du plaisir d'écouter mon inspiration, je serais comblée. Aux anges sans détruire l'expression des autres qui ont tout aussi droit aux chapitres de la vie.
Et si, après tout l'inspiration était merveilleuse simplement parce qu'elle devient un désir qui s'illumine à chaque possibilité qui réveille notre stimulus et qui dans la cocologie s'entrechoque chaque récit aussi fabuleux les uns que l'autres ? Que sans cette envie au creux du coeur, l'inspiration deviendrait qu'une autre chose que l'on met de coté parce qu'on a tout le temps désiré pour l'assouvir ?
Oui, c'est ce besoin qui fait en sorte que le plaisir active l'adrénaline sur l'inspiration brulante des neurones qui bouleversent les désirs intenses d'avoir du temps pour l'étaler lettre par lettre à la suite de l'autre dans le miroir caché des histoires enfouies.
Me voilà enflammée par cette pensée qui m'éveil à une autre approche non sans pour autant atténuer cette baliverne, envolée livresque, qui en vérité me désoriente les méninges et débalance mon assurance toute neuve.
Heureusement, je ne perds pas au nord la volonté et la motivation, qui au bout du compte, feront en sorte, que je ne pleurerai pas sur ce qui ne peut être tout en faisant avec ce qui est. Ainsi, les frustrations et les colères seront minimes, se démaquillant aux possibilités merveilleuses de prendre l'écran et le clavier quand la solitude sera mienne.
Maintenant je vous laisse aux soins d'ailleurs pour revenir quand je vous inviterai par une autre annonce, qui vous stimulera l'endorphine de venir faire un tour pour voir ce qu'il en découle.
Ha les joies de la curiosité. Quelle merveille!
Au plaisir, messieurs dames.

La vieille grosse laide dans une seconde d’étourderie.

Un autre billet dans un moment dépenaillé qui m’exprime l’incertitude de cette certitude que nous croyons posséder et qui s’effrite quand surgit un petit bémol, sablant ainsi notre assurance primaire sur notre soi intérieur.
Il faut simplement se dire que rien ne demeure, ni le meilleur et ni le pire. Que l’un chevauche l’autre et vice versa. Qu’ainsi, on parviendra à trouver les ressources nécessaires au maintien de notre équilibre sans devenir fou autant dans la noirceur que dans la lumière. Juste trouver son chemin sans se faire éblouir ou englouti dans le sous sol dépourvu de fenêtres.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche

La Cinquantaine



Voici quelques jours, dans mon orientation du futur, j’ai réalisé que l’avenir allait changer en plusieurs domaines. Alors que depuis presque 5 ans il stagnait dans le merdier qui m’étouffait et me contenait à m’ouvrir à mes dons naturels.
Ce n’est pas de se venter que de voir ce que nous vallons, c’est de s’offrir une balade d’émancipation pour se donner l’opportunité d'être quelqu’un et non pas un déchet humanitaire qui ne devrait qu’attendre la corde qui s’enroule autour de son cou, comme dans le ventre d’une mère lorsque le fœtus s’étouffe de lui-même sans en avoir conscience et de mourir tout simplement.
Là, je voulais que cesse la torture de ce cordon et m’en libérer. Sauf que cela ne se fait pas du jour au lendemain. Plus que l’on hésite en se donnant mille et une raison pour ne pas réagir, plus ce cordon se serre et plus la vie nous semble un cercueil plutôt qu’un doux berceau qui nous berce aux sons de nos rêves.
Si vous lisez mes écrits depuis le début, vous aurez constatez que je ne parle presque plus du temps qu’il me manque et de mon manque de talent me décrivant comme une merde ambulante.  Mais plutôt avec la douce musique de la persévérance, en ne chialant  plus sur le temps qui m’échappe. Je suis parvenue à croire en cette notion que la pratique constante active procure, le positivisme de soi. Alors que l’abandon, détruit la foi en ses capacités.
Donc, maintenant, je me dis, si un jour j’écris un texte, c’est bien, si j’en écris trois ou quatre, c’est excellent. Mais je ne me maudis plus quand je passe un jour à écrire sur un sujet quelconque.
Je préfère l’inspiration d’un sujet qui me touche que l’obligation d’un texte qui n’aboutira à rien qui me conviendrait dans le style qui me ressemble.
On ne s’improvise pas un autre. Cela se perçoit et tue notre talent. C’est en se donnant de la foi en nous et du courage pour débuter qu’ensuite vient la volonté de poursuivre et que la persévérance devient une seconde nature. Ce qui fait que je me laisse aller.
Que parfois, J’écris des poèmes. Certes, ce ne sera jamais du Nelligan ou dans ce genre là, seulement, je n’ai jamais prétendue être qui que ce soit. Juste moi avec mon plaisir d’écrire, mon intense besoin de m’exprimer et surtout en demeurant la personne que je suis.
Non! De ne pas être une autre.
Alors voici ce dernier poème qui me fait sourire. Il ne se prétend pas profondément sérieux. Juste un clin d’œil sur une réalité qui sera vraiment mien dans quelques mois. Le pourquoi, que j’en abuse et je l’écris avec un sourire aux lèvres. Il m’amuse dans sa petite réalité qui s’exprime sans grandiloquence.
La vieille grosse laide qui s’amuse.

La cinquantaine

La cinquantaine me frissonne
Dans ma tête elle raisonne
Elle déshabille ma fragilité
La mettant à nue de réalité

Vieillissant en maudit
Grossissant aussi
De ménopause en gris
De surdose de maladies

La cinquantaine m’approche
Et elle empoche
Toute la folie de la mort en sacoche
À l'espoir qui elle, décroche

C'est la perte d’un mirage
D'une vie de jeunesse
Oeuvrant maintenant avec la vieillesse
Qui détruit la beauté de l'image

La cinquantaine, c'est la mélancolie
D'une époque révolue et moisie
D'une larme noire au sel de nostalgie
Démontrant que notre histoire est finie

La cinquantaine, c'est de réaliser
Que derrière c'est terminé
Que devant c'est la fin assurée
Et que maintenant, il faut s'accrocher

S'accrocher au peu qu'il reste
Malgré la triste peste
Qui malgré qu'on la déteste
Nous fait réagir et que l'on manifeste

Manifester qu'on est encore vivant
Manifester qu'on est encore intelligent
Manifester que plus rien ne sera comme avant
Manifester que tout n'est qu'un recommencement

La cinquantaine c'est le refus d'être en prison
D'une vie enfermer dans une maison
Mais, le début de l'acceptation
De vivre sa déraison

La cinquantaine c'est enfin la liberté
De vivre sa vie sans devoir assisté
Sans TOC aux responsabilités
Sans pression sur la dépression

La cinquantaine
C'est le temps de la quarantaine
La cinquantaine
C’est frileux en bout de laine.

Krikri Ma Puce
C.Labrèche