mardi 17 janvier 2012

Tabac... La poésie


Voilà, je n’ai pu résister à récidiver à tenter encore de vous convaincre. Cette fois, par  une sorte de chanson en la matière. Mon âme hurle devant cette attitude défroquée que l’on donne à ces enfants qui apprennent à fumer et, que s'en défaire est pire que de cesser de prendre de la drogue. Parce que c’est légal. Parce que ce n’est pas grave. Parce qu’encore ce sujet est tabou.
Quand les adultes arrêteront-ils de minimiser les dangers de ce fléau comme le dit si bien la belle publicité qui est sortie pour la semaine anti-tabac ? On croirait un futur film ou une bande annonce d'une future télé série.
Sincèrement, je suis outrée. Donnez la liberté à vos enfants de respirer de l’air plus sain dans leur environnement naturel. Ouain, c’est si contradictoire de dire un environnement naturel quand chaque respiration renferme autant de nocivités que c’en est ridicule de proclamer cet espace sainement naturel.


Je ne peux plus me permettre d’avoir une réflexion stagnante et ambivalente. Je me dois dans mon esprit de clamer haut et fort l’assassinat dont sont victimes les enfants de fumeurs. Tout de même victimes eux-mêmes d’un vice qu’ils devraient se désintoxiquer au plus sacrant.
Conscientisez-vous.
L’heure n’est plus aux excuses mais à la réaction entière de votre conscience qui vous le dit depuis belles lurettes et que là, plus personne, à part les fumeurs, vous regarde étrangement avec votre cigarette à la main sur le trottoir, allant chercher vos amours ou vous promenant à un endroit quelconque, risquant même de les bruler par inadvertance d’un geste involontaire et qui se disent, pauvres petits, autant d’amour et se faire assassiner aussi bêtement et lamentablement.
S’il vous plait, prenez garde, prenez note, et…. Réagissez en leur bonheur.
L’ère de la criminalité du fumoir est là. Elle vous pointe du doigt. Je sais, cela semble énorme et pourtant, en aimant autant vos enfants, agissez pour leur santé future. Leur avenir sans cette saleté polluante et assassine dans leurs poumons déjà bien malades avant d’être en âge d’aspirer une bouffée d’air nocive.
Alors la voici cette ‘chanson’ qui m’est venue aisément à l’esprit. Parce que oui j’ai déjà fumé. Voici très longtemps. Même qu’à une époque où mes plus vieux étaient petits.
Enceinte, déjà là je cessais de fumer pour reprendre dès la naissance. Oui, la mentalité à l’époque se lavait d’une telle aberration, assurée d’agir à bon escient. Loin cependant, de penser que c’était inutile si on fumait par la suite.
Mes dernières n’ont jamais vécu dans l'insalubrité de la cigarette. À 98%  notre entourage ne fume pas. Et je ne laisserais personne fumer dans mon intérieur. Dehors que l’on fume. Voilà tout.
Tu veux mourir ainsi ? C’est ton choix, pas le mien.
Une vieille grosse laide en devoir


CESSEZ DE FUMER

Désolée si je bouleverse votre raison
Si j’insulte votre éducation
Parfois la manière, le ton
Font prétendre l’insubordination
Qui n’est pas le fond de la vérité
J’avais juste besoin de dire
Ce que les enfants doivent subir
Parce qu’ils n’ont pas la liberté
Des décisions malsaines de leurs parents
Qui les font fumer sans leur consentement.

Le tabac ce n’est pas leur choix
Ce n’est pas leur désir
Ils inhalent depuis leur enfantement
Sauf qu’en tant qu’enfant
Ils n’ont aucun droit
Ils doivent se taire et subir
Mais moi je cris « ASSEZ LES PARENTS »
Laissez les respirer
Laissez leur, leur liberté

Voyez l’avenir que vous leur offrez
Voyez la dépendance que vous leur procurez
Jamais, vous ne pourrez
Les arrêter
Si vous-mêmes vous persévérez
Dans votre vice d’adulte gâté
Réalisez
Que vous les persécutez
Que vous les tuer
À coup de fumées envolées

Dites-vous qu’aujourd’hui c’est ASSEZ
Que vous cessez de fumer
Que vous arrêtez d’emboucaner
Que vous prenez
Votre dose de volonté
En faisant face à la réalité
Que vos enfants, vous allez les tuer
Si vous ne cessez pas de fumer
Oui dites-le et écrasez
C’est ASSEZ
J’ARRÊTE DE FUMER
J’arrête de tuer
Et d’empoisonner
Ma vie et de ceux que je dis aimer

Voilà, je n’insisterai plus sur le sujet. J’en ai assez dit. Enfin, ici oui. J’ai tout dit. Tout déballé. Et rassurez-vous, je ne vous éviterez pas si je vous croise. Je ne suis pas aussi dépourvu de sensibilité envers les fumeurs. Je sais que ce n’est pas simple. Pour le nombre de fois que j’avais essayé d’arrêter avant que ce soit la bonne, je sais qu’il faut du courage et de la bonne volonté. Surtout, une maudite bonne raison pour le faire.
J’espère que la santé de vos enfants vous aidera. Parce qu’après tout, on les aime ces êtres là que nous guidons dans leur vie. Alors les guider dans une vie sans mauvaise fumée c’est un plus. Faut-il par contre, être le modèle impeccable. Et vous voir vous acharner à le faire pour eux, surement que ça les motivera à ne pas tenter le coup et surtout, qu’ils verront combien vous les aimer. Au point de cesser de les tuer en les emboucanant aussi fortement.
Krikri Ma Puce
(C.Labréche)

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