dimanche 27 juillet 2014

Coeurs Infâmes

Quand les mots résonnent l’ignominie il faut alors le dire et le dévoiler aux esprits encore fragiles pour que tournent la roue de la destruction et s’arrêtent ces horreurs de par le monde. Dieu est amour. Il est en vous. Ne vous laissez pas convaincre que tuer est ce qu’il vous demande.  Sinon c’est le MAL qui vous guide. Ce mal en vous que vous écoutez sans fin croyant fermement que Dieu le veut. Il est si facile de croire cela pour se donner bonne conscience.

Comme la mère qui tue son enfant. Comme le voisin qui viole pour purifier. Toutes les raisons sont bonnes pour assouvir le mal qui sommeille en nous et qui ne demande que de vous faire croire ce que vous désirez pour parvenir à ses fins.

L’amour n’est pas infâme.

Je pense à ces gens de Palestine, ces gens dans ces pays où la violence est de mise pour parvenir à faire plier ceux qui ne pensent pas comme eux. RÉVEILLEZ-VOUS avant qu’il ne soit trop tard. Que la terre ne soit plus qu’une pluie de météorites qui survolent l’espace infini.

Voilà, mon message pour ces personnes qui croient que faire le mal est la solution.

Bonne journée.

Qu’ais-je à dire
Pour écrire ?
Qu’ais-je à souffler
Pour respirer ?

Je suis qu’un immondice
Dans ce monde factice.
Je ne suis qu’une abrutie
Dans ce monde pourri.

Le néant est ma maison
La fatalité ma raison
Ma raison de l’inertie
Ma raison de souffrir ainsi

Je n’ai rien à vous dire
Tout comme moi vous allez pourrir
Dans ce mausolée des mensonges
Dans ce vice qui vous ronge

Tous, vous vous croyez supérieur
Comme si Ce Dieu disait que vous étiez le Meilleur
Et pourtant, vous tuez comme si il approuvait
Agissant sans aucun remord et regret

Alors qu’en vérité, vous tuez votre conscience
Pour écouter votre perverse décadence
Dans la monstruosité  de vos gestes
Vous anéantissez le peu d’amour qu’il vous reste

Vous détruisez et il faudrait vous applaudir ?
Mais ouvrez-vous les yeux  avant de tout anéantir
Regardez la déchéance de vos attitudes
Où est votre mansuétude ?
Oui, vous la piétinez par votre mépris
Par vos sales manies

La faute vous incombe
Vous creusez votre propre tombe
Celle de votre âme
Cœurs infâmes

Vous vous leurrez dans Votre histoire
Vous croyez agir pour l’espoir
Et pourtant vous sombrez dans le désespoir
Regardez-vous dans le miroir
Vous n’êtes pas digne de l’humanité
Vous n’êtes que bestialité
Abject de Monstruosité
Bon pour le bucher
Non, je ne suis rien dans ce monde
Jamais je me suis sentie l’égale de Dieu
Parce que je ne mérite pas mieux
Dans ce monde immonde
Imparfaite, je n’ai aucun droit de jeter la pierre
Aucun droit de mépriser pour me sentir plus fière

Et pourtant, je vois l’horreur que vous faite subir
Cela vaut vraiment la peine pour l’avenir ?
Ne soyez pas aveugles de vos actes meurtriers
Que le miroir vous fasse voir la Vérité

Avant que la fin de la terre
Vous fasse ramper en enfer
Sans espoir de retour
Sans joie sans amour
Juste le droit de croupir
Et pour l’éternité mourir

Est-ce que tout cela en vaut la peine ?
À mes yeux votre haine est vaine.
Cessez ce génocide
Au parfum d’acide
Pensez à votre âme

Cœurs infâmes.

lundi 21 juillet 2014

Dieu seul le sait

Lettre à moi-même ou à ma progéniture ?

Maitre de ma destinée ou victime d’une société ?

Suicide d’une âme en défaillance.

Suis-je la seule à percevoir la vie comme un bourreau me prenant comme otage en fonction d’où je suis et de l’entourage qui devient mien ? Suis-je forcément prédestinée à être ce que je ne suis pas pour suivre une masse dans son ensemble ou dois-je devenir individualiste pour sauvegarder ma dignité d’humain et devenir la fin qui justifie les moyens ?

On se plait si bien à dire que l’on est condamné dès que nous naissons à devenir l’être que nous serons par notre éducation, notre environnement, notre richesse et tout ce bla bla bla que nous finissons par croire que nous ne pouvons pas grand-chose, sinon mourir au bout d’une corde imaginaire qui nous retient dans notre prison dorée pour ne pas blesser autrui alors que nous nous tuons à petits feux.

Car il est dit qu’une vie sans sacrifice est une vie futile inutile, Égoïste. Vraiment ? Sommes-nous si peu de chose pour n’avoir aucun droit à la parole réelle de notre vie malgré que l’on croit en avoir la maîtrise ?

Mais pourquoi devrais-je devenir l’esclave des autres en étant enfant et tout autant en devenant adulte parce que la vie est ainsi ? Qui a dit qu’il fallait à tout prix être au service des autres en ne pensant jamais à soi sinon, nous serions le pire monstre de notre entourage ?

Dieu Évidemment.

Le monde a été élevé avec cette image que nous devons obéir à Dieu parce qu’il est le maitre de la terre. Le maitre de l’univers et pourtant jamais personne ne l’a vu. Et combien de parents ont dit qu’ils agissaient au nom de Dieu pour abuser de leurs enfants que cela fut autant que physique que psychique ?

Et que dire de la suprématie de ceux qui se disent parler au nom d’un tel DIEU en prenant à témoin un livre écrit par l’homme mais qui insufflé soi-disant par ce Dieu taisent leur conscience par pouvoir absolu?

Et combien d’homme de ces dieux ont pris des décisions et fait des actions en se cachant derrière ces écrits ou se croyant à l’abri de leurs fautes justement parce que DIEU, leur Dieu leurs pardonneraient ? Pourtant il y a tant de gens qui ont agis au nom de ce NOM à multiple nom et qui se revendique dans chaque religion en disant que seul LEUR DIEU est le vrai. L’Unique et qui se retrouvent derrière les barreaux ou enfermés dans un institut qui les protègent des criminels qui en feraient qu’une bouchée s’ils les avaient près d’eux.

Sont-ils tous des menteurs pour revendiquer être LES SEULS à avoir Raison?

Honnêtement, nous sommes tous victimes de cette fumisterie qui quelque part en nous, nous rend fragile et instable. Car qu’on le veuille ou non, un souvenir, une parole, un geste, une pensée, une action de jadis, nous fera agir d’une manière qu’une autre dans une même circonstance agirait peut-être différemment, ou pas, selon son propre vécu. Selon sa propre conviction à croire à cet Être supérieur qui semble en faire à sa tête.

Un exemple me vient à l’esprit. Lorsque j’ai été avec les Témoins de Jéhovah, je me devais de faire attention  à certains aliments pour ne pas manger de sang déformé provenant d’animaux, comme le boudin ou des sous-produits par exemple, convaincus qu’ils sont que Jéhovah nous l’interdit.  Que cela m’a pris des années à me défaire de cette habitude et attitude à faire attention en lisant les étiquettes pour éviter ces produits après avoir quitté ces gens qui, quoique très gentils, sont convaincus comme les autres de détenir LA VÉRITÉ et que ceux qui ne sont pas avec eux, sont des sujets de satan.

Vraiment ?

Parfois je me dis que tous ceux qui veulent nous faire croire que leur Dieu est le vrai, sont sataniques. Parce que cela engendre le mal. La souffrance, des guerres. Ajoutant que les témoins de Jéhovah sont pacifistes. Je leur dois cette vérité.

Précisant que le boudin depuis ma tendre enfance que cela me fait vomir. Donc rien avoir avec la religion, mais surtout un moment de mon vécu qui d’une autre forme, vient corroborer la profondeur de mon idée.

Que nous sommes gouvernés par nos émotions et notre vécu et non par un esprit toujours pragmatique et sans jugement. Parce que justement notre jugement découle de ce que nous avons retenus.

Combien de femmes on dit, que jamais elles ne seraient comme leur mère pour x raison et qu’en devenant femme elles répètent le schéma maudit ? Et idem pour l’homme versus leur père ?

Je suis guidée par mes peurs, mes convictions, mon éducation. Et comme tout autre personne, n’étant pas parfaite, je commets des erreurs. Je me suis aussi pliée à certaines règles certaines qu’elles étaient vraies. Uniques et que si je voulais vivre au Paradis, je me devais d’être à la hauteur.

Elle est folle cette dépendance à s’offrir en pâture à une religion, simplement parce que l’on se croit minable comparé à cette supériorité invisible. À un point tel, que notre conscience on l’endort dans l’endoctrinement de la religion, pour se donner une force que quoi ? Que l’on ne possède pas ? Que l’on veut nous faire croire que l’on n’a pas. Alors que si nous parvenions à surmonter cet état de faiblesse morbide qui nous rende inapte à se surpasser, on soulèverait des montagnes.

Il est si facile de se mettre à genoux, de plier l’échine pour ne pas contredire autrui, ou éviter la dispute qui nous rend, otage du pouvoir des autres. Et quand tout cela a été ainsi toute notre vie, autant pour soi-même que pour nos parents et tous nos ancêtres, bien, foncer, lever la tête, ne pas se sentir coupable d’avoir une conscience qui diffère de ce que nous devrions être par rapport à ceux qui nous amoindrissent dès que quelque chose les dépasse, bien, nous nous refermons telle une huître de crainte de souffrir de l’abandon des nôtres par ce besoin vital de l’amour de ceux  que l’on aime.

On n’ose pas contredire. On se tait dès que la soupe est trop chaude. On recule. On baisse la tête. Parce que affronter la contradiction fait de nous le ou la méchant/e. Fait de nous la victime à recevoir les mots, les coups, les je t’aime pas que l’on ressent à se faire dire que l’on a tort.

Sincèrement, je souffre à vivre cette putain de vie qui n’est pas à l’image de ce que j’espérais. Simplement, parce que je ne suis pas maître des autres. Si ce n’est que de moi. Mais, quand tu n’es pas seul/e, (enfants à charge, parents malade et etc…) tu ne peux agir que pour toi. TU DOIS penser aux autres. Sinon, tu es le monstre. Comme je le disais plus haut.

Nous voilà donc dans un dilemme qui nous amène dans un cul de sac. On tournera sans cesse dans ce cercle vicieux, en mourant peu à peu dans notre être profond, pour ne pas faire souffrir les autres. PARCE QUE si on écoutait ce que nous sommes vraiment, la culpabilité nous suivrait tel un boulet au pied sans pouvoir sans départir. À moins de sombrer dans le puits des oublis illicites qui tuent encore plus profondément notre moi intérieur.

La solution ? Le suicide.

Se taire est un suicide.

Faire comme les autres alors qu’on a une opinion différente est du suicide.

Baisser les bras par manque d’énergie, par une santé défaillante, par crainte d’une chicane, c’est aussi du suicide.

Mais, il y a aussi, le vrai sens du suicide qui tourne en boucle par cette souffrance constante qui ne se départie pas de la douleur autant physique que psychologique.

Voilà ce que cela nous dit dans notre tête et notre cœur. Fini de souffrir et de craindre de faire souffrir. Parce qu’une fois trépassé, NOUS on ne souffrira plus. C’en sera enfin terminé de cette interminable ritournelle dans notre âme, notre cœur et notre tête qui nous rendent fou/folle à vouloir trouver LA solution MAGIQUE.

Je vous le dis, DIEU n’a rien à voir. DIEU n’existe pas dans cette forme que les livres religieux tentent sans cesse de nous faire croire. C’est une fumisterie pour que les gens haut placé dans ces religions, s’offrent le pouvoir d’agir à leur guise. On leur donne CE POUVOIR par notre silence et notre soutien tacite.

Tant et aussi longtemps qu’on se taira devant les horreurs faites par les religions, on sera complice muet des victimes dans les deux camps. Car les civiles payent le prix fort pour ces ignobles individus qui au nom de DIEU et d’une cause factice, tuent sans conscience aucune des gens sur cette terre qui est à TOUS.

Je dis civile, mais cela veut autant dire ceux qui sont les victimes des gens qui abusent d’une quelconque manière des personnes faibles, isolées, sans défense devant ces monstres qui parlent au nom de Dieu  ou qui se prennent pour Dieu.

Le plus ironique dans tout cela, je n’étais pas partie pour écrire sur un sujet aussi intense. Dieu est un tabou dans la mesure où en parler fait monter lyre dans une masse qui se dit athée mais dès que tu touches une certaine notion de leurs croyances, on réalisera qu’elles sont surtout basées sur une notation biblique. Comme si, enfin de compte, on avait aucune porte de sortie pour qu’un jour la foi fanatique soi de l’histoire ancienne et que chaque religion se retrouve avant la tour de Babel, là où Dieu aurait fait en sorte que les peuples ne se comprennent plus, mais qu’ils trouvent la solution pour être réunies à nouveau. Dans un seul et même langage, dans une seule et même motivation, l’amour universel dans le respect de tous et chacun.

Mais tant qu’il y aura des guerres de pouvoir, il sera impossible de croire sans défaillir, qu’un jour la paix sera véritable sur cette terre, avant, qu’elle n’explose à cause de la fourberie humaine.

Pour en finir avec cet écrit, j’étais venue parler de mon envie de fuir ma vie à trop la supporter et en souffrir atrocement. Qu’il me fallait agir avant que la fin vienne me prendre à la gorge et me taire à tout jamais.

Je vous salue avec ce petit sourire en coin, douce moquerie ironique et je vous dis, qui sait, à une prochaine. Peut-être bien. Surement! Bref, Dieu seul le sait.

Petit clin d’œil à cette phrase quasi universelle.

Krikri Ma Puce.

vendredi 4 juillet 2014

Cossins à Vendre

Je nous prépare l’enfer à vivre. Si si! Avec un certain sadisme et perversité mentale, étant donné cette fichue chaleur accablante. Comment ne pas le prendre dans ce sens quand on sait que j’ai peu en force physique pour de telles activités ?

Je le prépare non pas pour ce samedi en 5 mais en 12. Ça prend du courage, de la patience et de l’énergie pour le mettre en place. Ce que je n’ai pas en surplus d’abondance. Mais faut que je fasse avec, si je veux tenter de me débarrasser ce qui gêne. De ce qui encombre l’espace d’un garage.

Vous ne devinez pas ? Si ?

Bon, je tente de vous aider par un indice si vous n’avez pas encore trouvé dans ces méninges englués dans l’humidex qui écrase la chair plus qu’il ne le propulse ce qu’il en est véritablement. Quoique là, au moment où je publie ce message, l’humidex n’est plus. C’est de l’histoire ancienne.  Jusqu’à la prochaine attaque.

Donc, vous savez ces cossins en trop que l’on garde en se disant qu’un jour on va s’en servir, ou qu’on va les vendre, ou qu’on va les donner ? Oui Cossins égalent objets que l’on utilise plus mais dont on garde quelque part pour une raison plus ou moins louable valable et sincère. Étant surtout pour se donner bonne conscience pour ne pas les jeter tout simplement. Surtout que ça PEUT servir à autrui. Tout en se disant, que tous ces trucs, auront une seconde vie. Une seconde chance.

Bref, revenons à nos moutons.

Ici, c’est dans le garage de l’appart. Il est fourni avec ce dernier et le 12 juillet, je compte faire une vente de GARAGE. C’est comme ça qu’on appelle ça chez nous. Et là ce sera vraiment dans un garage et son abord. Oui je parle bien d’une sorte de bazar, ou de marché aux puces.  Qu’importe le terme, sera de la vente d’un ramassis de cossins accumulés depuis quelques années, qui ont faits même le voyage d’un déménagement, en pensant à ce qui était le mieux.

Par contre, c’est de l’ouvrage tout mettre en place. Heureusement, ma dernière m’aide. Ça lui fait passer le temps des vacances qu’elle commence à trouver long. Mais bon, malgré une passe saisonnière pour la ronde, elle ne peut y aller tout le temps et ça prend la grande sœur pour s’y rendre. Pas seule c’est certain.

Bon.. Je vous montre la première partie de cette activité. La mise en place.  Quoique là je dois attendre ce samedi pour la suite des choses, pour me débarrasser d’un congélateur trop vieux, qui gêne dans la gérance de l’espace, mais encore fonctionnel et qui est très énergivore, que notre compagnie d’électricité vient chercher en nous offrant un peu d’écus en retour. Évidemment la monnaie de chez nous.

Je serais folle de ne pas sauter sur cette opportunité. Tout en l’étant à m’aventurer dans une telle galère. Parce qu’en fait, c’est une prise deux. On a déjà tombé dans le panneau d’une telle histoire.

Alors voilà pour cette première, tout en espérant de ne pas vous avoir endormi avec cette macédoine à venir.


 Au plaisir, Krikri Ma Puce.







mercredi 2 juillet 2014

Attendant que ÇA passe!

Quand je m’emmerde à tuer le temps sur FB ou G+ juste parce que la chaleur et l’humidité trop intense me poussent à une paresse extrême, je me demande si je tiendrai le coup. Je me demande si les gens à risques tiendront le coup de cette nouvelle journée torride qui s’annonce.

 Je sens que je vais souffler comme un âne, à chercher ma respiration, à sentir mes chevilles gonfler à bloc tout en m’imaginant les voir exploser comme une pastèque. M’imaginant inapte à une simple marche de mon logement pour souffrance corporelle causée par la chaleur atroce d’une canicule morbide.

Vous me direz, que je suis stupide, mais qui n’a pas d’idées farfelues dans une journée à voir dans sa tête des scénarios loufoques qui frisent l’absurde et pourtant qui génèrent un réalisme à faire dresser les cheveux sur la tête ?

Moi j’en suis. Sans honte. Mais passons.

Je suis là à 7 heures 25 du matin, avec 25 degré où l’humidex, sans trop se faire sentir encore mais qui viendra sans gêne d’ici 2 heures, nous glisse dans un 32 degré , nous dévoilant sa sordide manipulation. Déjà on sent qu’il fera encore très chaud. Affreusement chaud. Alors qu’aucun orage est parvenu jusqu’à nous ces derniers jours, alors qu’au nord et à l’ouest, ça claqué fort. Ici RIEN! Que dalle quoi!

Montréal serait-elle maudite ? Sous un sortilège monstrueux à tuer à petits taux d’humidex grimpants rétrécissant ainsi  la trachée des gens faisant mourir la population ? Désirent-ont nous éliminer sournoisement ?

Non non! Je délire, rassurez-vous ? C’est ça l’effet de serre. Le cerveau cavale à chercher de l’air sain alors qu’il est déjà saturé par la lourdeur du temps.

Ici il y a qu’une pièce qui semble rafraîchissante, c’est le garage. D’ailleurs bientôt je vous parlerai de ce qui se passera dans ce garage d’ici moins de deux semaines. Mais là, il nous serre de bouffée de fraîcheur. Mais… Ha oui MAIS! Vous direz que nous avons de la chance, que d’autres n’ont même pas ça et qu’ils souffrent le martyr et VOUS avez raison.

Seulement, ce garage n’a pas d’air. La fenêtre du fond ne laisse rien pénétrer. Donc, la marge de plaisir est restreinte. Ce plaisir fini par se transformer en déception en allant s’affaler sur un lit sous un ventilateur de plafond ou sur un divan devant une télé vide de sensations fraîches. Si ce n’est qu’un substitut temporaire d’un verre d’eau froide. D’une glace éphémère.

Enfin, tout ça pour dire que je compatis largement avec tous ceux et celles qui pour une raison ou une autre n’ont pas de quoi pour être au frais. Que je comprends leur misère. Leurs humeurs changeantes et très fragiles à l’explosion verbale.

Je vous dirais, BUVEZ beaucoup d’eau. Pas de liqueur, pas d’eau pétillante. Ni de boissons alcoolisées. De L’EAU! Et une bonne idée pour les personnes qui n’aiment pas trop ce liquide, ajoutez-y des tranches de citrons ou d’oranges tout en laissant au moins deux heures aux fruits d’agir, ainsi vous aurez à moindre coût de l’eau rafraîchissante au parfum d’été. 1 citron ou orange, ou une moitié de pamplemousse pour 750 ml (3Tasses) d’eau. Ajoutez un peu de sucre à votre goût. Moi juste ce qu’il faut pour faire mi amer mi sucré.  Moi je mets 3 sachets de sucre diète.

Bref, Je vous dis BONNE JOURNÉE sous ce temps torride. Et si l’envie vous prend de trop vous en plaindre, dites-vous que dans peu de temps nous serons ensevelit sous la neige et qu’il fera, 60 degré celcius de différence et en moins. -30 quoi! De quoi à se dire qu’enfin de compte, l’été passe si vite vaut mieux se taire que de trop chialer. Moi la première hein! C’est que je préfère des journées plus douces.

Enfin, voilà,



Krikri Ma Puce.

mardi 1 juillet 2014

Haaaaaaaaaa ce 1er Juillet!

C’est le 1er juillet.

Pis après ?

Mais c’est la fête du Canada!

Oui et ? Ça devrait me faire de l’effet ce que tu me dis là ?

Ben t’es canadienne non ?

Si mais…

Mais quoi pardi ? Tu devrais fêter.

Moi? Fêter ça? Ma fille, tu me connais bien mal alors.

J’suis québécoise avant tout et comme une majorité qui le proclame comme moi, ma fête à moi ça été la semaine dernière. Tu sais, le 24 juin ? La St-Jean Baptiste? La fête Nationale des  Québécois francophones oui, mais aussi de ceux qui croient que le Québec est avant tout une Nation à part entière et distincte du reste du Canada Anglais . Tu vois où je veux en venir ?

Tu es anglophobe alors ?

Hein ? Non!  Pas du tout. Où vas-tu pêcher une telle absurdité ?

Si si! Vu que tu ne fête pas le Canada.

Merde. Je te dis que non!

Si si. Mais dis-moi, tu parles anglais ?

Non! Pis ça ne change rien.

Si si.

ARRÊTES TABARNAK, je ne suis pas anglophobe. Je respecte les autres. Et tu vois, je suis la première à dire que les anglais ont autant le droit de rester au Québec que nous. Sauf, qu’ils apprennent le français, la LANGUE première du Québec. Parce qu’on existe nous aussi dans cette masse. Nous ne sommes pas des moins que rien. Nous SOMMES. Nous EXISTONS!

Pis avant que tu en rajoutes une couche  maudite conscience à la con, tu vois, dans mes enfants j’en ai 2 qui sont bilingues sur trois adultes. Ils ont appris l’anglais. Et la meilleure pauvre conne (ma conscience hein^^) bien ma petite dernière va en immersion anglaise l’année prochaine. Alors avant de me sortir des balivernes de cette espèce, faudrait peut-être que tu réfléchisses avant de lancer des pierres cervicales. Parce que vois-tu, je n’étais pas très douée à l’école, que j’ai coulé bien des matières, et l’anglais en était une. Et ensuite je n’ai pas eu de véritable motivation pour l’apprendre. Tu pourrais comprendre pourquoi non ? C’est peut-être trop dur pour toi pauvre étourdie (toujours ma conscience, il ne faut pas l’oublier)

En plus, je suis convaincue que parler anglais ouvre des portes que les unilingues comme moi n’auront jamais d’ouvertes. Simplement parce que ça limite bien des choses dans une vie. Mais moi je ne suis pas bornée. Pas pour ça. Parce que parler les deux langues est un atout mondial. Jamais où que tu ailles tu ne seras mal pris. Tu trouveras toujours quelqu’un qui pourra te répondre. Alors que le français ou l’anglais, même si cette dernière est plus présente, tu seras freiné dans tes démarches.

Je suis intelligente, pas stupide.

Et tu veux savoir pauvre idiote ? J’aimerais ça pouvoir parler anglais. Le comprendre totalement. Parce je pourrais écouter des émissions en anglais. Je pourrais lire des livres dans cette langue. Je me sentirais moins ignare. Plus fière de moi aussi. Parce que ça me ramène toujours au fait que j’étais nulle à l’école. Pis se sentir moins que rien, bien ça aide pas à se sentir bien dans sa peau.

Mais pour en revenir à la primarité de cet écrit, NON je ne fête pas le Canada. Je n’aime pas Stephen Harper. Il me fait froid dans le dos avec tout ce qu’il fait contre nous les québécois alors qu’il se targue de parler notre langue. C’est juste de la politique son affaire.

S’il nous respectait en tant qu’individu, en tant que NATION, on pourrait peut-être, je dis bien peut-être,  croire que nous sommes Canadiens après être Québécois. Et si il y en a qui le croit, c’est leur droit. Je ne les méprise pas en tant qu’individu, mais ce que je suis certaine, je n’irai PAS fêter ce premier juillet. 

Pour moi c’est manquer d’honneur envers ceux qui se sont battus pour que notre langue existe et soit l’officielle de cette province. Alors que les Canadiens désirent surtout nous exterminer en tant que nation distincte. Parce que pour eux, la généralité hein, je ne dis pas tous, heureusement, ils nous méprisent d’office, avant même de comprendre ce que c’est d’être différent. On leur fait simplement peur. Comme si EUX ils allaient perde quelque chose d’important. MON ŒIL crisse.

Mais jamais pauvre conne, je n’irai maudire ceux qui pensent contraire à moi. Parce que chacun de nous a le droit à son opinion et à sa vision de la vie. Ce que je ne respecte pas, c’est qu’on en arrive à salir, maudire, blesser, tuer même parce qu’on ne pense pas pareil. Ça, jamais je ne cautionnerai de telles monstruosités.

Nous ne sommes plus à une époque où tout cela se réglait par les armes.

Mais je dirai avant d’en finir avec cet article, Bonne FÊTE du Canada à ceux qui le fêtent. Moi je vais simplement faire comme la semaine dernière, prendre cela relaxe. Parce que même si je suis nationaliste Québécoise, fêter n’est plus pour moi. Pas dans ce genre-là.

Tourloupidou les loulous


Krikri Ma Puce.



PS : C’est jour de déménagement national au Québec. Le premier où il y a plus de gens qui déménagent que dans tous les premiers de l’année.  Mais ça, C’est une autre histoire.


Je vous raconte à ma façon ?