vendredi 28 février 2014

Cri de Désespoir

Y a aucune poésie dans ce qui suit. Juste un vidage de pue pour vider un mal en délire. Passer votre chemin si le cœur vous dit pas. Comme je suis chez moi bien je fais ce que je veux dans ma demeure.

Désolée d'être abrupte, mais ce jour ce n'est pas le mien. Alors je prends les moyens en ma possession pour extorquer ma faiblesse et qu'elle devienne une force.

Merci de comprendre et tout mauvais commentaire ce verra effacé. Une grosse laide qui n'est pas d'humeur à faire de l'humour sarcastique.

Genre, c'était une joke. Je déteste ces sorties de secours qui sont que mensonge.


De toi je m'en tape
J'ai pu envie de me battre
Tu nous niaise
Nous prend pour des cons
Tu joue avec nous
Comme un chat avec des souris

J'en ai marre de toi
Assez tes manières hypocrites
De nous mener en bateau
Tu ne fais que ça

Tu me rends malade
Tu fais le mal partout autour
Et tu ne vois rien
Que ton petit nombril
Que ta vision à toi
En oubliant que ceux qui t'entourent sont là pour toi

Mais non
Ils t'apportent rien eux autres hein?
Si ce n'est que des vacances
Mais que crois tu pauvre idiote
Que tout arriveras comme tu le vois
Moi j'en ai assez de toi
Tu brime ma vie
Depuis tes quatre ans je fais tout pour toi

Mais ça, quel importance hein
C'est de la merde pour toi
Je sais que ta famille c'est de la merde à tes yeux
Que tu t'en fous


Alors décrise...
Vas voir ailleurs si c'est mieux
tu verras qu'après un certain temps
Il te faudra participer aux corvées
Il te faudra faire ta part
Qu'on a rien pour rien
Qu'il faut faire des efforts
et si tu crois qu'etre dans la rue c'est la liberté
VAS Y... mais vas y merde
arrêtes de nous faire chier
et vas y faire ta vie de merde

Tu crois tellement qu'Ailleurs c'est mieux
Mais vas...Fais la ton expérience
Comme tu aimes à mettre tout le monde dans la merde
Mais vas...Vas y à ton tour,
J'en ai marre de toé tu comprends
Marre de ta stupidité frontale
Alors que je sais que tu es intelligente
Mais NON faut pas s'en servir
Faut pas voir la vie comme elle est
Mais comme tu la vois dans ton imaginaire

Vas ma fille
Vas... Je ne me bats plus
JE te laisse aller, pour que j'arrête de mourir
Parce que tu me vides de ma vie
de mon énergie
de mon sourire
de ma joie

Parce que toi, tu ne vois que toi
Que ta petite personne égoïste
Alors que tes amis ne profitent que de toi
Et les gars de ton cul...

Tu ne veux rien voir ma belle
si ce n'est que c'est nous les méchants
Les idiots
Les cons...
Vas y faire ta vie
Vas y te mettre dans la marde jusqu'au cou
C'est peut ça que t'as de besoin pour voir vraiment la vie


Quand tu sortiras de ton conte de fée
On sera là pour t'aider comme on l'a toujours fait
Mais dont tu refusais l'aide car trop cons pour toi

Ta vie c'est rien en ce moment
Que du vent
De la merde en liquide
et de la fumée qui pue
Mais pour toi c'est la vie
Alors vas y
Mais fous nous la paix

Tu ne veux rien faire de ta vie
Que de végété comme un légume
Alors reste le légume.
Ça donne tellement de la confiance ça
Et de la motivation.


Sais tu simplement ce que l'on désire?
T'es tu seulement demandé ce que l'on aimerait?
Non bien sûr.
Tu crois que l'on t'aime pas
Qu'on est là pour te faire chier.

Et pourtant, on a mal de te voir aller
Mal de te voir tourner du mauvais bord
Mal de voir que ta vie t'importe peu
Si ce n'est que de fêter et de baiser

Le pire dans cinq ans, tu nous en voudras
Parce que pour toi, tout est la faute des autres
Pas de ta petite personne
Ho non! Tu es parfaites toi hein?
Tu sais tout alors que tu n,as que 15 ans.

Vas ma chérie.
Meme si je souhaiterais que tu vois la lumière
De l'intelligence briller dans ton cerveau
Pour que tu réalises que tu frappes un mur
Celui du vide devant toi
Où ton avenir sera que déconfiture et merdier
Parce que là, comme tu y vas
Tu ne fais rien de toi
Tu dors et tu vas fêter
Et si j'ose lever le ton, tu hurle plus fort
Si j'utilise l'autorité tu prends la porte
Alors oui je sais que tu peux fuguer

J'ai pas envie de jouer encore avec la police
Tes histoires avec elle, même si tu est la victime
Me donne pas envie de l'avoir contre nous
Je sombre ma fille
Je suis à cran et encore plus malade qu'avant

Je cache tout ça, pour inquiéter personne
Je pleure en silence
Je me cache pour ne pas montrer mes peurs
Mais en dedans je meures
Tu t'en fous tout ça
Tu ne vois que toi de bien
Nous on est cons et stupides

Saches pourtant que je t'aime
Tu es la chair de ma chair
L'enfant qui a eut ses deux parents pour la désirer
La seule.
Et pour ce que ça donne.
Déception!
Non pas parce que tu n'as pas des notes du tonnerre
Ça je M'en fout tabarnak
Tu l'as toujours su
Mais de te voir nuire à ta vie
De te voir démolir ta jeunesse pour de l'utopie
C'est ça qui me rend malade


Regarde moi fillette!
J'ai lâché l'école et j'ai rien devant moi
Je n'étais pas douée moi non plus
Ma mémoire flanchait tout le temps
Que travaillé a semblé plus judicieux
Et à l'époque on avait pas besoin de diplôme
pour travailler quelque part de simple.
Non ma jolie, tu ne l'auras pas facile
Contrairement à ce que tu crois

Tu crois tellement au miracle
Dans ta bulle magique
Que tu crois que tout te tombera du ciel
Que tout sera facile dès que tu le voudras

Je t'aime ma puce
Mais je hais ce que tu deviens
Si tu ne fais pas attention
La rue sera ta maison
La prostitution ton travail

De nos jours faut attendre le pire
Pour avoir de l'aide
Parce qu'à 15 ans tu es assez grande
Pour choisir
Assez grande pour assumer tes bétises
Mais on sera les premiers coupables
Si tu tourne vraiment mal
Là on sera pointé du doigt
Alors qu'avant, on aurait pu agir
Si seulement on avait les outils pour le faire

La discipline ne se fait pas sans armes
Pas d'armes, pas de moyen de faire obéir
Le dialogue quand il s'avère inutile
Ne suffit pas pour faire entendre raison

Pas de moyens
Pas de résultats

Allé, j'arrêtes
Je sais que tu ne liras jamais tout ça
Parce que tu n'as pas cette adresse
Heureusement
Car c'est pour me défouler
Sortir le méchant de mon cerveau
Vidée la purulence comme mon abcès
Pour parvenir à respirer plus librement


J'espère me tromper
Et que bientôt tout sera du passé
J'en doute pourtant
J'ai déjà passé par là
Et ce ne fut pas une fin de roman




La grosse laide qui vide son abcès en public. Le médecin général du Web.

Solitude en Réseau

Solitude en réseau

On nous dit de parler
Pour nous soulager
Nous aider
À avancer

Qu'il ne faut pas garder
En soi, dans son cœur
Ses peurs, ses douleurs
Ainsi serons nous libérés

Mais quand je les écris
Et que je vous les dis
Je me sens encore plus seule ici
Que dans le silence de mon esprit

Quand j'exprime ma détresse
Je sens plutôt que l'on me délaisse
Que l'on change vite d'adresse
En fermant les yeux de paresse*
Pourtant une peu de tendresse
De soutien au moral en faiblesse
Serait une douce caresse
Contre cette souffrance qui progresse

Ce serait bien
de tendre votre main
De m'aider à passer ce chemin
Qui mine de rien
Me retient
D'aller plus loin

J'aimerais tant compter
Sur vous, vous qui déclamez
Haut et fort que vous soutiendrez
Toute âme blessée

Ce que je vois
Me plonge dans un désarroi
qui emprisonne ma foi
Dans un coffre rempli d'effroi

Effroi du manque de sollicitude
Du manque d'ingratitude
Envers ces habitudes
Qui fondent des réseaux de solitudes.

Doucement alors, je baisse les yeux
Je pleure dans cet espace silencieux
Pour ne pas déranger vos jeux
Pour ne pas brimer vos enjeux


Voilà ce qu'une Grosse Laide avait à déclamer devant son ordinateur un matin où le mal la rongeait dans son mental et que l'absence de soutien offrait comme aide une page blanche d'Open Office pour étaler sa morve bactérienne d'une souffrance grippale.

Croyez-le si cela vous chante. Ce que l'on ne sait pas ne fait pas mal et ce que l'on ne voit pas, ne peut nous déranger. Jusqu'à ce que cela nous frappe en pleine figure.

Dire qu'hier j'avais un poème plus joyeux à offrir et que la, je défile une goulée de merde.

* petit oubli corrigé


Suicide Assisté

Assise sur ce fauteuil
Larmes à l'oeil
À coup de feuille
Je tue mon orgueil
Je clous le cercueil
de mes rêves en deuil



Cest ça quand la Vieille Grosse Laide n'en peut plus de sa vie de chien.

Besoin de rien

Hier j'avais un poème, j'avais un rêve, j'avais un but
Aujourd'hui l'idem est en crève et à la fin de la rue

Je suis vidée de volonté et d'énergie
Morte en une nuit de courage et d'envie

J'aimerais pouvoir avancer
Les bras ne pas les baisser
Me donner un coup de pied au cul
Et redresser l'échine qui tue

Je n'y arrive pas
J'ai besoin de bras
Besoin de ça
Pour avancer de quelques pas

Je carbure au café
Pour me réveiller
Je carbure aux encouragements
Pour aller de l'avant

Les miens ne suffisent pas toujours
Besoin de sourires et d'amour
Sinon la nullité en moi
M'étrangle et me tue le peu de foi

J'suis désolée d'abandonner
J'suis écoeurée d'espérer
Espérer l'éphémère
Espérer le rien en vers

En fait, j'ai besoin de rien
Parce que dans le fond, j'suis rien.



La grosse laide qui ce jour dégueule sa fin.

jeudi 27 février 2014

L'incendie de l'âme.

Il y a des images dans nos têtes qui parfois nous frappent la paix en nous dévalisant tout ce qu'il reste de force mentale pour franchir le prochain pas de la vie. On regarde le sol, on voit nos pieds l'un devant l'autre, mais tout est si compliqué, que le recul devient un état de survie pour ne pas sombrer dans le sommeil de l'oubli.

Pourtant aujourd'hui j'ai vu dans le miroir du néant que je n'étais vraiment plus rien. Que le vide serait cette compagne qui me tient sur l'équilibre éphémère de peu de temps qu'il me reste à vivre.

La solitude ne me fait pas peur. Sauf si je me retrouve sans plus rien à faire de mes doigts et mes yeux. Ce qui m'amène à une étrange vision qui n'est pas sans fondement.

À savoir si vous comprendrez ce que dit la grosse laide.



La fenêtre grande ouverte je cherche à fuir par la porte. L'habitude ancrée dans notre cervelle de moineau on ne constate pas que d'autres sorties peuvent être envisagées tant que nous nous habituons à se dire qu'une sortie se passe par la porte.

Le seul moment où nous percevons la différence, c'est lorsque l'incendie est pris dans la demeure. Là nous cherchons qu'une possibilité de sauver notre peau. Qu'importe quel sera l'accès. Par contre, l'incendie en métaphore ne fera rien réagir.

Une femme battue supportera sa déchéance. Se disant que c'est de sa faute. Elle se sent si peu considérée qu'elle en est venue à s'amoindrir d'elle-même pour faciliter la chose à celui qui la défigure pour un rien.

Et pour la suite, je ne parlerai pas que du physique. Ni de l'homme.

L'enfance est une marque indélébile qui se nourrit constamment des blessures d'hier pour suivre la trace infinie de l'avenir. Une gifle morale a plus d'effet qu'une gifle physique. Parce qu'un geste physique fait mal sur le moment, mais s'étiole dans les souvenirs vagues.

Une claque à l'âme ne disparaît jamais. Sauf si il y a réparation. Et encore. Je dis ça, seulement cela est si profond en soi que la retenue est devenue une habitude en soi qui n'abandonne pas sa prise si vite.

Tant que nous ne guérissons pas cette blessure intérieure, la fenêtre ouverte ne sera jamais la porte de sortie pour s'évader de l'incendie qui nous consume dans notre âme et conscience.

Si nous avons rien été dans le passé nous serons convaincue que nous le sommes encore si personne ne nous a aider à faire abstraction de ces méchancetés gratuites et qui renforcent l'idée même que nous sommes moins que rien.

Moi ma blessure est simple. De ne pas avoir été cru quand un dessin fait de moi a été prit pour un mensonge. Le manque de foi en moi de cette personne que j'adore a tué ma propre confiance. Si on ne croit pas en ce que nous faisons comment peut-on croire en soi si la seule personne que nous aimons rejette l'idée même d'un dessin enfantin?

Depuis ce jour je traîne ce boulet à mes pieds. Je tente donc de sortir par la porte malgré cette fenêtre toute grande ouverte. Je n'ai pas la force de sauter par la fenêtre. Il me faut la porte pour reprendre marche après marche la confiance perdue qui n'est plus que l'ombre de mon squelette d'obèse.

Et si je n'en veux pas à cette personne, c'est que moi-même je commets des erreurs et que je ne peux être parfaite. Je me dois de guérir de cette gifle en étant plus forte que ma volonté. Prendre les devant encore une fois et de me rendre sur le bord de la falaise et me jeter en bas. Pour ensuite me rattraper au filet de la vie en retrouvant cette foi en mes possibilités.

Ce que je doute. Je suis si vieille que cela n'en vaut plus la chandelle.




Une vieille grosse laide qui vous salue. Le vide est profond et rien pour se retenir de hurler à l'infini.

Auteure à Domicile

Quelle plaisanterie n'est-ce pas? Qui va prendre au sérieux un article aussi stupide? Mais là faut que je l'écrive et le publie chez moi dans ma petite demeure. Là où au moins, je sais qu'il ne dormira pas dans le noir.


Rien de plus pénible que d'écrire à la maison dérangé par tous et par tout.

Les cris, le ménage, la télé, la musique et j'en passe. Tout nous freine et personne ne réalise combien cela brime l'inspiration. Et si tu le dis, bien on te regarde comme un extra-terrestre qui fabule son titre en se faisant accroire le talent.

Pourtant, j'ai besoin d'écrire comme je respire. Besoin d'inventer, besoin d'oser me dépasser en dehors des ces services obligatoires qui font d'une demeure un logis vivable. Même si mes lacunes en santé m'indisposent considérablement. Le pourquoi qu'écrire à la main, tel en ce moment devient difficile. La douleur irradiant ma main et mon bras. Le pourquoi que le mode frappes, devient mon substitut de remplacement avec grand plaisir, même si à prime abord, écrire à la main est une forme de sensualité.

Au moment où j'écrivais ces lignes, la laveuse geignait et grondait dans la cuisine où elle se trouve et où j'écrivais ces mots. Sans omettre la turbulence d'un cri extérieur, d'un chant d'un ordinateur et de la chatte qui miaule en manque d'attention affective.

Surtout ne pas écrire davantage pour ne pas blesser l'âme des personnes qui m'entourent en croyant que je me plaindrais d'eux. Alors que ce ne sont que des constations envers ce que je fais et que je déplore la moquerie et le léger sourire qui se dessine lorsque j'exprime mon droit au respect.

Non, je ne peux m'enfermer dans une pièce. Je n'en ai pas à moi. Je suis la mère et je me dois à répondre aux besoins de tous et ceci sans dire que je n'aime pas. C'est seulement que, moi aussi ce que je fais à de l'importance. J'aimerais juste que l'on me prenne au sérieux. Et non que pense que c'est une lubis. Merde, depuis le temps si c'en était une cela ferait longtemps que ce serait passé. Je n'ai plus l'âge de l'adolescence depuis longtemps pour jouer à ça.

Mais personne ne m'a félicité de ma vie. Personne n'a cherché à vraiment prendre au sérieux ce désir d'écriture et ce besoin de le faire pour me sortir de ma maudite vie qui me pue au nez par ses détritus en santé morale.

Quand enfant on a pas cru à un dessin que tu as fais en te traitant de menteuse et que jamais on a cherché à en savoir plus sur l'intéret que j'avais sur l'écriture, bien on fini par ne pas trop se mettre en avant pour trouver de l'encouragement. Parce que l'inverse tu royalement toute envie de croire en soi et d'aller de l'avant.

Pas pour rien que chaque tentative, n'a jamais aboutie. Parce que l'adrénaline de départ à chuté en course libre pour tuer dans l'oeuf chaque volonté de vouloir aller plus loin qu'un simple jet ou désir de faire quelque chose.

Bien non, je suis trop stupide pour faire quelque chose de bon et de bien. Voyons donc, la déclassée du secondaire. Celle qui n'a jamais eut de diplôme secondaire et qui a été travaillé à l'âge de 14ans car trop sotte pour comprendre les matières. Comment pourrais-je maintenant y arriver maintenant alors que je suis vieille, grosse et laide?

Alors voilà pourquoi je n'ose jamais bien longtemps. Je me sens si nulle et rien que je finis toujours par ne pas poursuivre mes débuts d'incendies en écritures. Je doute tellement à long terme que j'arrête et enferme le tout dans un tiroir. Enfin, maintenant ça demeure dans une clé USB et l'ordinateur.

Aurais-je le courage cette fois de me dépasser et aller jusqu'au bout même si personne de mon entourage verra ce que j'écris? Quoique là j'ai fait lire un début d'histoire cochonne et ça donné l'effet que j'espérais. Mais bon... Ce n'est qu'à mon cher conjoint que je l'ai fais lire.

Je l'avoue par contre, le doute s'installe comme une mauvaise bactérie et se propage dans ma tête. Je suis si peu de chose.

Alors voilà, quand on me regarde comme une extra-terrestre quand j'écris avec inspiration, ça me fait perdre mes moyens même si en apparences cela ne paraît pas. Parce que je m'insurge sur le moment. Mais en dedans c'est tout autre.

Pas pour rien que je félicite sans cesse les efforts et les œuvres en tout de mes filles. Je sais depuis quelques années l'importance de se faire dire que c'est beau, bon, agréable....

Bon voilà...Je m'arrête ici. Terminé les lamentations sur l'Auteure à Domicile. Malgré que pour une femme c'est toujours plus difficile d'être prise au sérieux. Un homme lui s'enferme dans son bureau et la femme le laisse tranquille. Une femme elle, on la dérangera tout le temps pour X raison domestique.


Allé, la grosse laide à cessé de se plaindre.


Bonne journée.

Délirium! ou Une petite Vite ?

La Grosse Laide se surpasse en ce début de matinée québécoise. Faites vite, parce que je n'ai pas tout mon temps.


Une petite vite?

Préparez vous dans ce cas, et désolée si je vous laisse sur la faim.

J'ai une envie féroce ce matin.... Si féroce que je ne peux résister.

Il me faut assouvir ce besoin brûlant qui me titille fortement le bout des doigts.

Ro la la... J'aimerais tellement vous faire partager ce délire qui me prend …

J'en ai la chair de poule et j'en déglutis tant que cela me coupe le souffle.

Je manie si bien la plume que j'aspire sans arrêt à faire grossir la charge de mes délires qui giclent sur la surface immaculée en jets si intenses que je perds la notion du réalisme. J'explose sans retenue aucune.

Je me salis la main à suivre cette folle cadence que celle-ci s'engourdit à trop s'ébranler sur la matière. J'en gémis un bon coup avant de fermer les yeux et de savourer ce début de résultat qui me rend fière de ma déformation gestuelle qui allume ma décadence imaginative.

Ici je n'ai que d'autre choix de garder à l'esprit qu'il me faut atténuer mes audaces, mais qu'ailleurs je déploie l'artillerie lourde pour m'exprimer clairement et sans détour de ce qui me perturbe.

Zut! Je ne fais que sauter sur un point crucial de ma faiblesse pour passer haut la main au suivant qui encore plus fou, me rend humide de folies.

Je ris à imaginer votre pensée. Surtout qu'en partie elle est la bonne. Mais qu'ici il me faut faire preuve d'hypocrisie et rire à gorge déployée pour démontrer que la tournure n'est autre que la déformation volontaire des sens et des mots pour encore durcir l'idée primaire d'un vice de procédure.

Qu'en déplaise.

Je vous prie audacieusement de déployer votre argument démesuré et de me laisser le découvrir pleinement en m'offrant le temps adéquat d'en saisir totalement le sens.



Merci à vous tous et au plaisir du prochain billet. La grosse laide qui s'amuse à vos dépends tout en sachant que cela vous plaît grandement.


La Jalousie Masquée

Me voilà à nouveau ce matin avec quelque chose qui diffère de mon dernier écrit. Surement que vous en aurez un nouveau dans les prochains jours. À voir avec mon humeur et le temps que je possède pour écrire.

La grosse laide exprime son mécontentement à sa manière

Bonne lecture.


La jalousie masquée. Non, je dirai plutôt après mûre réflexion, LA PEUR masquée. Oui, la peur plus que la jalousie. Prenez le ainsi ...

Et que Zoro aille se coucher. Rien à voir avec le défendeur des opprimés.

Ici, la jalousie permet tout. Elle se cache derrière des propos malsains pour se croire plus supérieure.

La jalousie aime descendre et avilir. Elle se croit plus belle, plus fine, plus à la hauteur, que tout ce qui diffère de sa mentalité sectaire qu'elle le dénigre. La peur d'être supplanté la fait agir comme une gamine effrayée et se donne toutes de bonnes raisons de mépriser pour se donner de l'importance. C'est elle qui est vile et mesquine en prime.

Et le Féminisme moderne en est une preuve flagrante.

À la base, cette notion de féminisme était pour que les femmes aient les mêmes droits que les hommes. Qu'elles puissent être LIBRE de ses agissements sans avoir de compte à rendre à l'homme. Le droit de vote, travailler et avoir un emploi autre que celui réserver aux femmes.

Ça pour moi, c'est clair et je les remercie largement que nous puissions aujourd'hui, prendre nos propres décisions sans avoir à demander la permission à ces messieurs. Quoique, le dialogue est de mise. Imposer ses décisions n'est pas mieux que de ne pas avoir de contrôle sur sa propre personne.

Il ne faut pas avoir deux poids deux mesures. Et prendre les hommes pour des idiots. Eux aussi ont des droits.Le droit de la femme n'enlève en rien le respect aux hommes. Ne leur retirent aucunement le droit à les respecter.
La bataille des femmes du début du siècle dernier était de mise. Il fallait que cela se passe pour que nous puissions agir pour nous même. Là où ça devient une tare, c'est à notre époque!

Parce que ces femmes on combattues pour sortir des cuisines, des clichés de femmes obligées d'obéir à leur époux, on impose maintenant aux femmes des normes en disant que si elles ne s'y plie pas, elles sont idiotes, stupides ou salopes.

Rien de moins.

Mais la libération de la femme n'était-elle pas justement pour que la femme ait le choix et non d'avoir encore des comptes à rendre et cette fois à des femmes digne des matrones de prison, comme la 'Nancy Prévost' d'unité9?

Faut-il encore se battre et cette fois envers ce féminisme stupide qui dit qu'une femme qui désire rester à la maison est idiote. Qu'une femme qui veut faire le ménage dans les maisons est stupide et qu'une femme qui aime le sexe est une salope?

Qui a dit qu'il fallait créer des stéréotypes de femmes libres et que les autres demeuraient dans un cercle vicieux de femme outragée et malmenée par l'homme avec qui elle vivait? Et là, que dire de la femme lesbienne qui demeure à la maison pour les enfants?

Pour moi tout cela est indigne de la liberté de la femme.

Et désolée, mais les pires injures ne viennent pas des hommes mais des femmes.

Les premières à traiter de salope les femmes qui sont libre sexuellement ce sont les femmes. Libre dans leur tête de parler de sexe et d'être osées. Que déjà les jalousies s'expriment en disant que la femme qui veut avoir plusieurs hommes pour une soirée est Salope, rien de moins. Oui, mais à mes yeux pas dans le sens péjoratif comme on l'entend constamment.

Une belle salope à mes yeux est une femme qui ne cache pas qu'elle aime le sexe et qu'elle en parle sans honte. Qu'elle s'affiche comme les femmes des films porno et qu'elles n'ont pas honte de se qu'elles sont. Elles sont fières et sans complexes. Merde, on nous a assez dit que c'était sale et qu'il fallait serrer les fesses pour ne pas être identifiés comme des putes. Que là, ont traite toute femmes libre sexuellement des Putes.

Avez vous évoluées mesdames dans votre esprit pour accepter la liberté sexuelle aux filles sans les juger outrageusement. Mais les applaudir d'être libre dans leur esprit. Démontrant ainsi que la femme PEUT ÊTRE libre elle aussi?

Une salope n'est pas une femme à insulté si ce n'est que dans l'alcôve aux plaisirs outrageants pour les puritaines à la rosette coincée. Et là je parle surtout de celle frontale qui ne parvient pas à croire que certaines femmes aiment le sexe de manière différente de leur manière à elle. Progressez Mesdames.

C'est comme avoir cette difficulté à admettre que les femmes qui portent le voile Islamique le porte sciemment. Elles sont folles sinon. Mais qui suis-je pour prétendre une telle affirmation? Qui suis-je pour juger la femme dans sa manière d'être qui diffère de la mienne?

C'est tellement colonisateur une telle attitude! À vouloir que tout soit pareil. LA peur de l'autre dans sa différence. La peur de perdre son identité dans la différence de l'autre.

Moi un voile ne m'enlève pas qui je suis. Ni une burqa! Je demeure la même entre mes deux oreilles. Certes, oui je me pose des questions. Est-ce de l'extrémisme religieux à se masquer autant? Mais, même si cela m'effraie, je ne calomnie pas. Pas plus que ces juifs extrémistes qui vivent d'une manière reculée dans le temps. Je ne méprise pas parce que ça diffère de ma forme de vie.

Qui suis-je pour mépriser, abaisser, dénigrer mon prochain parce qu'il diffère de moi?

Alors je me dis que la jalousie morbide est en visite dans ces esprits perturbés par ce qui leur échappe.

Nous sommes dans un pays libre. Et la charte des valeurs pour moi est un pas vers une prison culturelle. Elle dissimule la beauté du monde dans un carcan qui retire cette beauté à vivre en harmonie avec les autres.

Moi quand je vois une musulmane avec son voile, j'ouvre mon regard vers la différence. Quand je vois une autre musulmane sans le voile, je réalise que comme la chrétienté qu'il y a différent degré de croyance. Je ne me moque pas je comprends. Quand je vois une burqa, même si ça peut m'effrayer, car être ainsi vêtue me rappelle trop les femmes d'ailleurs où la charia est autorisée et que là oui ce serait un mal que cela existe chez nous. MAIS, je garde mon esprit ouvert sans dénigrer.

J'aime voir les cultures différentes. Si on les dissimule dans un carcan, on va perde cette habitude qui devient nôtre à les voir partout. Même à l'hôpital, au palais de justice, à l'école et etc.... Si on enlève ça, on recule dans nos habitudes culturelles. On reviendra dans un univers sans couleur où les nations d'ailleurs fleurissent tout naturellement.

Que l'État soit Laïc je l'accepte. Car le carcan religieux à trop contrôlé la vie des femmes pour revenir en arrière. Mais la foi humaine n'est pas une tare. C'est ce qu'en font les extrémistes qui en devient une. Et ce, en toute religion.

Par contre, dernièrement j'ai lu un article, où certaines femmes voilées avaient hâtes que la charte soit un fait parce qu'elles pourraient librement ne plus porter le voile. Ce qui démontre, que certaines femmes ne le portent par obligation. Et là, je l'avoue, je demeure perplexe! Inquiète aussi! Me rendant maintenant ambivalente avec cette charte que je désapprouve à prime abord.

N'empêche, que le dénigrement est un mal de ceux et celles qui peinent à vivre avec les autres qui les entourent. Qui peine à accepter ceux qui diffèrent de leur mentalité. De peur de perdre leur identité. C'est avoir peur de la perdre que déjà le pas ce fait.

Je suis québécoise de souche et ne parle que français. Et pourtant, je laisse mon regard ouvert vers le monde parce que j'aime voir la différence. La culture qui diffère de moi sont de belles fleurs aux parfums sublimes d'un monde agréable à côtoyer. Il suffit d'ouvrir son cœur et d'accepter leur différence sans chercher à les changer.



Sur ce, la grosse laide vous salut. À la prochaine qui ne sera trop tardé.


Bisous à vous tous.

PS: j'ai gardé ce titre parce que j'aime bien démontrer quand ma pensée se transforme et que je laisse voir que tous on peut changer d'avis et transformer sa perception.

mercredi 26 février 2014

Juste pour vous!

Allez je vous offre un moment de détente. Profitez de l'occasion pour vous mettre à votre aise. Autant homme que femme. Ceci n'est nullement réservé à l'un où à l'autre.

Je vous le dis, vous risquez de pleurer en douce. Dans votre intimité

1

2

3

J'y vais et tant pis si cela est ridicule. Moi j'adore. N'est-ce pas l'essentiel?



Tous les jours je me mets nue devant vous.

Tous les jours je vous montre mes rondeurs adipeuses en vous dévoilant une part obscène de moi sans trop de pudeur, désirant faire plus ample connaissance avec vos envies les plus secrètes.

Je masturbe mon égo pour qu'il vous offre le délice de mon élixir aux plus gourmands d'entre vous. Gourmandes tout autant. Je ne suis pas là pour faire la fine bouche. J'aime que l'on me regarde sous toutes mes coutures. Que l'on savoure mes déhanchements et mes roulades pour que vous ayez une sensation si fulgurante que se dresse fortement cette part de vous qui vous monte lentement au ciel des perversités imaginées.

Voyez comme je me dévoile. Je retire peu à peu ce haut m'abandonnant à votre regard pour lentement descendre vers l'impudique tentation qui s'écarte à votre pensée vicieuse de découvrir encore plus la profondeur de mon audace.

Plus j'avance, plus vous vous concentrer pour savoir jusqu'où j'irai.

Les sphères sous les mains, les soutenant pour retenir la teneur de mes débordements, je vous regarde de mes yeux aguicheurs surveillant vos réactions attendant largement le moment venu pour aller de l'avant.

J'aime à laisser venir ce qui pourrait faire perdre le nord à quiconque aurait plus qu'une pensée sereine.

Le haut à peine retiré, que vous admirer les pointes qui s'affichent et vous fascinent. Vous avalez votre salive tant l'effet est incontrôlable. À savoir par contre, si cela n'est pas que de la poudre aux yeux que je vous offre si généreusement. Oserais-je davantage pour être encore plus explicite?

C'est que le plaisir est dans les demi mots. Les non dits et les entre les lignes. Non?

J'aime aiguiser le crayon et attendre en soufflant sur la mine pour savoir si tout cela n'est pas que du vent et que je puisse agir sans briser le tout au milieu du plaisir qui se pointe et qui se redresse par la montée flagrante de la substance lascive de mes doigts autour de cet objet qui me sert d'outil.

Vous aimeriez tellement voir glisser cette appendice qui dégouline d'un parfum amer sucré. Suave aux sensations douces qui vous chatouilles la pensée à la chair érigée.

Vous voyez combien il est aisé de faire ressentir sans véritablement toucher? Il suffit que de savoir se servir des sens en appuyant là où il faut au bon moment et la démesure est en branle. Comme mes doigts qui vont et viennent parfois avec lenteur et parfois avec vivacité dépendant du rythme désiré devant tant de plaisir à déployer où le reste de ma tenue qui glisse au sol vous abandonnant le tout sous votre regard ébahie de réaliser que la nudité se tient en ces mots écrits que vous lisez encore espérant ardemment que cela ira plus loin.

Véritablement plus loin.

J'adore jouer avec les mots.
Jouer avec les sens
Jouer à faire bondir les appendices entre mes doigts agiles et vous faire déglutir dans votre monde imaginaire que j'ai très bien su agiter sous votre nez l'espace d'un texte à double sens, je vous l'accorde.

Maintenant, avant de m'arrêter et de vous offrir ce dernier vice... J'aimerais vous offrir une récompense.

Approchez-vous!

Plus près!

Allez! Ne soyez pas trop timide! Après tout ce ne sont que des mots.

Je vous fais la bise sur vos deux rondeurs.

Hey Hey! Vos joues hein!

Je sais, j'ai fait exprès de jouer jusqu'à la fin.


Maintenant que la récréation est terminée, la grosse laide retourne à ses devoirs.


Au plaisir de vous revoir Messieurs Dames.

Délit de fuite.

Quand l'ennui supplante l'intelligence.

On a tous notre opinion et notre vision d'un délit de fuite.

Pourtant, saviez vous qu'il y a une autre forme de délit de fuite?

STOP! ARRÊTES!

Non non non et NON!

Je n'y arrive pas merde.

Je tourne autour du pot. Je l'ai sur le bout de la langue et pourtant.

Que dalle. Rien. Que des inepties à dormir debout dans un coin sombre.

Les mots m'échappent et disparaissent dans la rigole imaginaire. Ils ne se pointent plus m'offrant la plus grande désolation lyrique.

Je me frappe la tronche contre le mur des lamentations. Je soupire de lassitude de l'ire. Tant que je suis dégoûtée de ma descente rapide en fer de boulet me coulant à pique dans l'amère mépris.

Comment puis-je être si peu prolifique alors que ne cessent les idées qui pleuvent dans ma linotte cervelle à deux pois?

Je l'imagine pourtant la mère qui découvre la fuite de la couche enfantine dessinant une trace opaque sur le drap devenu impropre de ce lit d'une beauté pure de l'enfant qui dort à poings fermés.

Et que dire de la plume déjantée qui maquille les doigts qui se servent d'elle et la feuille en flagrant délit de vice au protocole des plus élémentaires?

Sans omettre les nauséabondes effluves qui dressent les trous de nez comme des radars de ces essences qui s'échappent et qui n'inquiètent personne.

Je vous le dis moi. Ces fuites sont des délits farceurs et d'horreurs qui font sourire ...Et voilà que je me perd dans mon vide sans talent. Je me redresse sans y parvenir. Je larmoie de tristesse et de déception parce que je n'arrive à rien en ce jour.

Je suis nulle. Le délit de fuite est devenue un délit d'ennui.

Je secoue la tête de ma déconvenue me reléguant au sous-sol de ma défaite. Je me dissimule dans ces mots lamentables pire qu'un chauffard qui fuit sa faute.

Désolée de bousiller votre temps. Me voilà prise en flagrant délit de fuite.


La grosse laide qui ne se reconnaît plus tant elle est au faîte de sa fatigue cervicale. Pardonnez-moi ce manque de moi-même dans cet écrit de mauvais esprit. J'espère vous revenir avec plus de célérité. 

Entrée en matière!


La mal bouffe et compagnie.


Cette image vaut mille mots me direz vous. Représentant la manière de vivre de certaines personnes. Des buveurs et mauvais mangeurs.

C'est là le hic. Déformation préjudiciable. Un cliché rependue.

On se fit souvent à une image pour juger et pourtant une image n'est pas forcément représentative d'une vie.

J'entends les penseurs s'écrier. Surtout les défenseurs de la bouffe santé.

Non mais l'image parle d'elle-même. Des ivrognes ceux là! Bière et vin à profusion. Et la bouffe? La pire qui soit. De la restauration.

Oui et après?

Le contexte le connaissez vous?

Juger est déformer la réalité quand on ne connaît pas l'histoire est un crime. C'est lourd de conséquence un jugement sans connaissance de cause..

Ici c'était la fête familiale du temps des fêtes dans une bibliothèque d'un CHLD. Je ne dirai pas où exactement. Mais Ma mère est placée là bas depuis quelques mois. Et ma petite famille on était là pour passer un moment avec elle.

Ce jour là il manquait un de mes enfants. Cela aurait été agréable de ce voir tous ensemble parce que je ne sais pas si elle sera encore là au Noël suivant. Mais la vie est ainsi. On ne choisit pas les raisons des autres à ne pas être là et il faut respecter ces choix qui ne nous appartiennent pas.

C'est pour cela la bannière du blogue. Faire parler et cette fois, vous faire réfléchir doublement en vous laissant votre primaire pensée prendre le dessus. Pour ensuite, m'amuser à vous détromper. Parce que chez nous on n'est pas saoulons. Occasionnellement Point!

Et je vous laisse avec une partie de la réalité du moment. Cachant volontairement les visages des gens. Vue que l'idée était surtout de vous faire voir la vérité et non vous laisser sur une fausse impression. Donc, oui une image vaut mille maux.


La grosse laide qui ce jour à une migraine d'enfer. Faut pas me chercher.



mardi 25 février 2014

Manifestons!

La grosse Laide que je suis a été happé par cette question qui suit. Que j'ai donné mon avis sur le sujet lui même avant de créer cet article. Je vous l'offre ici. Sans artifice.

Bonne lecture.

Des manifestations contre les homosexuels ? Toujours pas contre les pédophiles, et autres violeurs ou maris violents ?

Voilà où j'ai vu cela;
https://plus.google.com/u/0/photos/+laurentdelfosse/albums/5983632851805511089/5983632857314295234?pid=5983632857314295234&oid=113197437596620024850

Comment ne pas réagir devant de telles questions ? Parfois cela vient chercher la réactivité primaire, s'insurgeant devant la première question. Mais ensuite, on réfléchit un peu plus et on voit l'autre question dans son vrai sens.

Non pas une offense aux homosexuels mais un pourquoi il n'y a rien contre les derniers de liste qui EUX abusent et qui on si peu comme sentence alors que les homosexuels on les matraques sans gêne comme si c'était de la vermine.

Voici ma première réponse... Sans véritable réflexion...

Complètement absurde et désolant.... Les malades se sont les pédophiles et violeurs .... Et on puni l'homosexualité! À ne rien y comprendre.

Et ma seconde réflexion, plus approfondie.

Je crois qu'ici on parle surtout des pays où on pensent encore que l'homosexualité est une maladie aussi virulente que la pédophilie. La Russie par exemple, exhorte son peuple à lapider les homosexuels. Hâlo les retardataires moyenâgeux!

La question, quand on y réfléchis bien, est un questionnement réel sur la similitude qu'on certaines gens à voir ces deux faits dans le même domaine. Parce qu'il fut un temps où les homosexuels étaient si refoulés à cause de ces croyances, qu'ils abusaient pour assouvir leur être véritable. Alors que de nos jours, en laissant le droit aux homosexuels d'être ce qu'ils sont, des gens normaux qui aiment les gens du même sexe, bien ils n'ont plus besoin de refouler donc d'abuser quand le besoin ce fait trop sentir et de mentir et manipuler pour vivre une seconde vie.

D'autres diront, que le jour où on acceptera les pédophiles comme des êtres normaux il n'y aura plus d'abus... Bien je répondrai sans hésitation, que la différence est fort simple. Ils abusent l'Enfance alors que le droit à celle-ci est pour tous les enfants. Et ce n'est pas mieux, pour ceux qui donnent dans les mains des armes à des enfants. C'est le même vice. Le même mal. Le même abus. Retirer à l'enfant son droit à l'enfance.


Il faudrait donc, faire des manifestations pour que les pédophiles et violeurs soient reconnus des monstres. Non pas les homosexuels qui ne font de mal à personne. En parlant des gens sain d'esprit en tout genre.

Je pourrais parler longtemps de ces sujets qui me tiennent à cœur. Seulement quand on le fait trop on perd parfois de sa crédibilité. Ou l'inverse. Bref, à mon regard, les homosexuels sont sain d'esprit.

Il y a des malades dans tous genres, toutes espèces. Ne pas confondre avec les fous (folles incluses) qui vagabondent avec l'air sain.

Ici, j'ajouterai à mon grand plaisir, que la maladie des pédophiles est de se croire tout permis alors qu'il en est rien. Qu'ils se donnent des droits qu'ils n'ont pas. Qu'il se donnent des pouvoirs qu'ils ne possèdent pas.

Ce n'est pas parce que tu es un père, un frère,un prof, un doc, (ceci tout autant au féminin) que tu as le droit d'agir de la sorte.



Non, ici rien de coloré. Ni en prose quelconque. La matière n'étant pas de moi, je donne mon opinion comme je réponds dans la vie. Je ne fignole pas qu'en déplaise.

Je ne veux surtout pas déformer ma pensée. Je veux qu'elle soit nette. Précise. Je hais les pédophiles et les violeurs. Les Homosexuels ne sont pas de cette trempe. Pas dans ma tête et ni mon esprit.

Vous direz qu'il y a de ces malades même chez eux. Oui! Parfaitement. Seulement, vous savez parfaitement ce que je veux dire. En général l'homo et l'hétéro ne sont pas des pédophiles et des violeurs. Sauf qu'ils se trouvent de ces malades dans les deux souches.

Maintenant, La Grosse Laide vous dit à la Prochaine.