mardi 25 février 2014

Pas assez sous silence!

Voici mon petit dernier concocté la veille et terminé ce matin. Je vous l'offre avec ce détail non énoncé dans l'article. Il a été provoqué par un billet sur G+ où une dame qui avait écrit un article avait eut des remarques bien grossiers. Ce qui m'a donné de l'inspiration pour ce qui suit. Le temps manquant je l'ai terminé et peaufiné ce jour.

Pas assez sous silence!

Un an sans être présente. Enfin presque! Surtout sur ce blogue. Car ailleurs je me suis pointer régulièrement comme on se pointe au travail et poinçonne sa présence, en arguments dérisoires et éphémères.

Une année ou la crotte nauséabonde n'a pas laissé de trace dans le fond d'un écrit pour vous emmerder délicieusement.

Un an à mijoter la sauce brune qui pourrait vous faire déconner et dire la vérité qui vous cloue le cerveau par la peur de sentir trop mauvais. Moi les traces ne me font pas peur. Elle me donne l'heure juste de votre décadence d'hygiène verbale. Et ça m'amuse.

Parce que des mots ne sont que des lettres qui ne veulent rien dire à proprement parlé. Même si elles ont le flux fragile et dégoulinent de votre orifice verbale bien je me dis que vous n'avez pas apprit à bien dialoguer. Que le mépris est votre fierté par le manque de confiance d'éducation sérieuse à vous prendre en main et vous essuyer correctement la virulence de vos maux.

J'aime bien jouer avec les sens pour rendre plus complexe la compréhension. Quoique les érudits auront vite faits de réaliser la triche et verront la nuance apportée. Alors que les emmerdeurs notoires d'une minable retenue auront vite fait de déféquer ailleurs parce qu'ils ne trouveront pas les effluves adéquates pour les rendre encore pire qu'ils ne le sont.

Le papier d'hygiène que je remplie la cuve me fait bien sourire. Je m'amuse comme une petite folle à détourner les mots pour en faire une pensée profonde sur la manière de s'exprimer sans trop offenser la candeur de certains et le puritanisme des autres.

Mais là où ça me choque réellement, c'est lorsque je vois la défection d'un canin qui trône une place en plein cœur d'un trottoir où le maître ou la maîtresse n'a pas eut la décence de nettoyer. Je trouve cela si peu respectueux que l'envie de l'étaler sur la porte du coupable me tente fortement la semestre. Voir une réaction de dégoût qui égalerait la mienne devant l'ostentatoire tas qui n'a pas sa place.

Vous voyez, moi le verbal est synonyme de personnalité. Si tu chiale en méprisant tout bien c'est que ton estime de toi est bien bas, malgré le contraire de tes paroles. Parce qu'il ne faut pas trop s'apprécier pour toujours se mettre à dos les autres dans notre vocabulaire. On fait s'éloigner les autres parce que trop c'est trop. Dire ce que l'on pense oui. Mais à mépriser constamment dès que ça ne vient pas conforter ton opinion c'est que tu as un besoin constant de valorisation.

En fait, j'ai pas besoin de trôner constamment comme le tas du chien sur le trottoir juste pour démontrer que j'ai une opinion. Je peux fort bien la démontrer sans être vulgaire à outrance et me croire meilleure que les autres parce que je clame haut ma pensée en termes peu éduqués. La fierté ne consiste pas à dire que je défèque sur tout, mais la manière dont je le fais.

Mon retour ne sera pas assez sous silence. Il sera évident et clair. Ensuite je passerai aux effets plus sérieux. La charte des manipulateurs. Depuis le temps qu'on en parle. Marre de me taire. Marre tout simplement.

Voilà, tout aura été dit sur ce retour de la veille à ce jour. Ensuite on en parlera plus autant. Le souligner peut-être encore, mais sans plus promis.

Je vous salue donc tous autant que vous serez à lire ce billet et je vous dis à la prochaine.


La grosse laide va aller s'occuper autrement.

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