lundi 24 février 2014

Se moquer de...?

Une suite d'idées qui se moque de l'indifférence.

Elle est venue en cavale dans ma tête pour que je la décortique. La fatigue du levée matinale et les neurones en marge de bon sens, font que je n'arrive pas à formuler en maux ce qui me triture les méninges.

Enfin, si triturer il y a dans ce temps éperdue de nuages enfouis et de brume en laisse dans une cervelle enseveli sous un tas de bâillements.

Je ferme les yeux pour un chuintement de logique qui échappe vite au filet de ma résistance qu'elle s'évapore en omettant de m'offrir un semblant d'aperçu pour donner un brin d'intelligence qui elle aussi s'envole sans demander son reste.

Que me reste-t-il ? Le vide astral aux effluves d'étoiles mystiques qui se voient que sous l'emprise d'une incertitude aux pensées larmoyantes qui me font pleurer des mots inutiles sur un parchemin artificiellement inventé qui ne brime ni arbre ni forêt au parfum de rien que les narines aspirent sans parvenir à ressentir nul plaisir pour offrir l'inspiration joyeuse de sa véritable nature d'antan.

Je me tais avant de devenir trop ordinaire désirant le dérangement des lignes à la plume en pesanteur frappant le noir sur blanc de bout de doigts fébriles et insensés qui délaissent la logique pour l'abstrait. Vous stressant la pensée en effets dérisoires tout en vous stimulant le frontal d'erreurs de frappes et d'absence de logiciel pour comprendre ce langage sans intérêt véritable à la volonté de secouer votre ouïe visuelle.

Sur ce, je vous salue la déraison qui vous offrira la compréhension en tant voulu.

Bonne journée à vous tous.

La dérangée des neurones matinales.

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