mardi 25 février 2014

Des Matins comme ça!

Bah oui c'est encore moi. La grosse! Je vous offre le premier jet matinal. Car ici c'est le matin. Juste avant que le jour se pointe (même si là en ce moment, il fait presque clair. Le temps de l'écrire et de le mettre sur le blog. Le temps lui a filé en douce)

Dans cette aube, mon esprit est frigide comme le ciel. Il maille à sortir de sa rigidité par les ridules d'incertitudes qui le rend fébrile d'inquiétudes.

Il me faut plus de temps pour mettre la machine en marche et carburer à la caféine pour trouver le délicat filon qui me conduirait au Nirvana de l'Eureka que certains matins où tout est là et que je peine à crier sur le clavier tant les lettres ne devancent rien de ma pensée.

Alors que ce matin ce n'est pas simple de creuser les tronçons imaginatifs quand le regard se plisse devant cette lumière aux rayons parcimonieux et aux effets translucides qui dévoilent que dalle d'imagination. Si ce n'est qu'un arrière train qui se stimule et qui hurle l'envie prédominant raflant tout désir de chercher plus avant.

Tout vient à point à qui sait attendre. Semble-t-il!

Bref, moi je pianote dans le vide à formuler des paragraphes qui noircissent la page illusoire pour vous offrir un autre texte fétide que vous lirez peut-être si le temps vous accroche sur ces premières lignes indignes d'une oeuvre phénoménale.

Fière par contre de réaliser la contradiction de l'écrit à la réalité. J'ai bien façonné un texte malgré la faille dans mes synapses.

La lumière plus évidente, m'ouvre l'esprit aux termes indélicats de la réalité pour découvrir une grisailles du temps qui se joint à mes légers maux qui sortent de leur coin pour se personnifier d'eux-mêmes.

Rien de tel que de décoller ses yeux de la fatigue matinale et de détourner la peite migraine qui pointe pour dépasser sa faiblesse de l'aube à vouloir dormir encore un peu.

J'espère ne pas avoir trop abusé de votre impatience et que votre sourire se dessine en moquerie pour me convaincre que malgré l'art de ne pas créer de merveille je parviens à capter votre attention et votre curiosité.

Je ne suis pas une artiste populaire. Je ne cherche pas à plaire à tous. Ce qui est fort impossible. Je cherche surtout à rester l'ombre de ce que je suis sans me départir de ma vérité.

Sur ce premier texte du jour. Je vous dis bonne journée et à la prochaine.


La grosse laide vous importunera sûrement encore. D'ici là, ne soyez pas trop sage. Soyez vous-même.

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