dimanche 22 janvier 2012

Rétro...spectRive..


 En fait, là, banalement comme ça, je ne vois rien à écrire. Mon esprit est en mode pause et je ne parviens pas à joindre les deux bouts d'une même pensée sans qu'elles décrochent pour partir à la dérive d'une autre.

Certes, il y a bien des histoires de peur à raconter, surtout après avoir visionner en quelques jours des films sur la fin du monde (2012) et (10,5 Apocalypse) Et que là on nous parle chez nous d'un léger séïsme qui n'a causé que de la crainte. De quoi à s’interroger sur la question, quand nous apprenons en lisant sur le sujet que la région touchée, à vécu au 18ième et 20ième siècle des dommages intenses jusqu’à Montréal.

Alors là, oui, on doit se poser de sérieuses questions, et voilà que je suis parachutée dans mon état de perception des catastrophes autour du monde. Que là, j’ai découvert mon sujet qui me vient de ma propre inquiétude qui sans être au sommet de son pouvoir, me réveille à la possibilité d’une fin aléatoire que vivra cette planète que l’on maltraite.



Que les tsunamis abondent, que les tremblements de terre augmentent, que les volcans crachent leur venin bouillant à la face du monde sans remords, ne devraient en rien nous inquiéter. Pas du tout n’est-ce pas ? Après tout on est savant, on est important, on sait tout, et trop imbu de nos pouvoirs pour admettre que si la fin du monde arrivait, personne n'y pourrait rien.

Que si une quelconque masse humaine, dans le dos du reste ferait en sorte de créer des arches de Noé à la moderne pour sauver une quelconque partie de l'humanité en disant que l'élite à plus d'importance que le petit peuple, quoique je vois mal l'élite se plier aux volontés de la misère, je me dis, bien, que pouvons nous y faire nous si la fin du monde nous ensevelit dans le ventre de la terre ou dans le néant de l'univers advenant que la belle terre que nous connaissons explose similairement qu'un ballon trop soufflé à bloque ?
Et je n'ai pas la conviction, que l'élite serait épargnée. Une terre qui grogne son mécontentement par l'abus qu'elle absorbe depuis sa création, prenons conscience que le jour où elle dira ASSEZ, et dans son propre langage, il sera bel et bien trop tard pour s'épargner l'énergie de tenter de se croire plus important que sa fin.

Tant et aussi longtemps que le monde ne conviendra pas qu'il se doit dans toutes les parties de sa belle sphère agir pour la sauver et dans un commun accord, elle nous anéantira sans que nous ayons le pouvoir de contrer sa destruction. Laquelle sera bien de la faute de l'humanité qui ne pense qu'à son petit nombril.

Moi y comprit hein!

Malgré mes volontés de ne pas trop lui nuire. Je ne suis tout de même pas parfaite pour dire que je fais TOUT en mon pouvoir pour éviter cette catastrophe éminente et inévitable.

Un jour l'humanité disparaîtra et plus personne ne pourra regretter de n'avoir rien fait pour la sauver. Parce qu’elle ne sera plus et trop plonger dans notre pouvoir personnel et notre fichue manière de nous croire supérieur à tout.

Nous regardons la faim du monde et on ne fait rien de plus que d'avoir pitié. Haïti c'est pareil et le japon c'est pire, les maudissant de leurs actions sur les baleines, on s'octroi le droit de les laisser à leurs misères... Et on se croit avoir le droit d’être épargner ! Parce que l’on se croit plus juste et humain!

Sincèrement, tant que nos pensées seront ainsi guidées par des trous noirs de méchanceté, on n'arrivera jamais à faire en sorte que la paix et le respect deviennent la victoire sur une terre qui se foutra bien de toutes ces guerres le jour où elle nous ensevelira ou nous anéantira.

Nous causons notre propre destruction.

Nous sommes les témoins et les acteurs de ce sinistre avenir.

C'est l'héritage de nos générations, si évidemment cela va plus loin que celles qui débutent en ce moment. Parce qu'en vérité, l'ultime question, Aurons nous le temps de sauver nos vies en sauvant la planète ?

Je ne le crois pas.

Les guerres de pouvoirs sont les ennemies de celle-ci. La pollution intensive en est une autre. Ne pas vouloir comprendre le message, c'est de faire l'autruche idiote qui croit éviter le pire en fermant les yeux sur les actuels enjeux véritables.

Voilà mon cri du coeur. Mon message à moi.

Mais je suis si insignifiante devant un peuple et des gouverneurs imbus de leur petit pouvoir à la con, que je ne vois rien qui puisse éviter cette éventualité qui bientôt sera la nôtre.

Et encore là, on dira que j’exagère. Que je n’y connais rien. Que mon intelligence limite ma perception et le pouvoir absolu que le monde entier pour contrer une telle catastrophe.

Bien sûr, je suis si sotte pourquoi porterions-nous attention à mes délires ?
La vieille grosse laide ironiquement résignée.



Que la fin du monde ne soit pas à la fin de 2012, un jour ce sera la bonne et elle viendra comme un voleur, sans avertissement. Après tout, il y en a eut suffisamment pour ne plus en offrir. Le monde n'a jamais voulu les prendre aux sérieux. Alors pourquoi le faire encore ? Pourquoi s'obstiner devant les sourds neurologiques qui se disent une élite alors qu'elle est plus ignorante que le peuple ordinaire ?

C'est surement pour cela le soulèvement populatif. L'indignation du monde envers ceux qui agissent que pour eux-mêmes et non pas pour le monde.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche


Cette fin n'est pas venue, et les géants se gaussent comme des oies, seulement, sans rien prédire, surviendra bien ce jour où l'humanité n'existera plus sur cette terre. 

Serais-je vivante quand ce jour noir surviendra ? Aucune idée. Je ne suis pas devin dans le temps à venir. Donc, d'ici là, les gens de conscience poursuivrons leur cheminement, et les gens trop imbu, bien continueront eux aussi. On ne peut rien contre l'absurde.

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