samedi 20 avril 2013

Accepter

Trop prise ailleurs ce jour. Par plaisir des mots, j'ai composer une histoire qui s'allonge au fil des pages.

Mais j'avais envie, dans une veine de calme te de paix, de vous partager une petite réflexion qui me passait doucement dans le cervelet.

Tout en vous disant à une prochaine fois.




Je n’ai rien d’autre à t’offrir que mon sourire
Rien d’autre que ma gentillesse

J’aurais aimé t’offrir davantage, mais mon bagage est vide.

À ce qui me semble, tu es trop loin pour croire ne serait-ce qu’à une pointe d’amitié.

À défaut des caresses et des gestes plus intimes, on aurait pu énormément partager.

Se connaitre au-delà des apparences. Au-delà des perceptions qui n’évoquent pas les nuances de l’être qui ne nous fait pas face.

On doute, on craint, on y glisse le frein, on se recule, se recluse convaincu en vérité d’agir pour le mieux.

Tu vois, ma main est tendu, mais on ne peut la voir. Encore moins la saisir. Pas forcément une main pour aider, mais aussi pour est secourue.

J’essais tellement de me refaire une énergie amicale. Que le moindre retrait m’ait l’effet d’un refus sans rémission.

Je ne veux pas être ton ennemie. Juste une amie. Parce que l’amitié est plus douée pour mieux comprendre les autres. Enfin, je crois.

Tu sais, je ne veux pas te tourner le dos. Ne me fais juste pas peur avec des grands termes qui me bousculent l’intérieur. Je frissonne juste à l’idée que tu puisses te moquer de moi. Alors imagine s’il fallait que tu me jette une pierre par cruauté ?

Aussi, ne me juge pas trop. Mes peurs me freinent. Mes douleurs me disent de m’abstenir. Mon cœur s’essouffle par la bêtise humaine, il faut bien que je mesure l’importance de ton honnêteté et ta capacité à assimiler qui je suis.

Je veux t’accepter comme tu es. Fais de même avec moi.

Je ne te jugerai pas par ta beauté, ton corps différent, les vêtements que tu portes. Fais de même s’il vous plait.

Apprécies-moi pour ce que je suis. Non pour ce que tu désires de moi. Même par amitié.

Je te laisse maintenant. La fatigue m’ordonne de me calmer et d’agir en douceur. De ne pas grimper dans les rideaux et ni de prendre mes jambes à mon cou.

À la prochaine. Qui que tu sois, je peux être ton amie.

Une P’tite laide qui voulait partager une petite réflexion sans prétention.

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