samedi 19 novembre 2011

Claques à l'économie


J’avoue que je n’ai pus feuilleter l’actualité ce vendredi parce que nous recevions de la visite à leur du diner, au Québec c’est l’heure du midi. Donc, je n’ai pas pu profiter de prendre en note certaines écritures pour argumenter sur les informations. Ce qui m’amène à trouver le chemin plus difficile d’accès. Vu que nous sommes maintenant dimanche. Toutefois, j’avais pris le temps de lire sur le net me donnant ainsi une petite démarche qui ne me laissait pas totalement dans le néant.
Bref, me voilà à récupérer une information sur une fermeture d’industrie qui fera du mal à l’économie. Je vous laisse vous en délecter amèrement découvrant le coté absurde de la réalité tout en sachant chers lecteurs et lectrices que ce cheminement se fait en ce dimanche 20 novembre. Plus aucune annotation sur ce décalage ne sera identifiée avant la fin de cette journée. Pour ne pas vous assomer avec le marteau du radotage intensif.
Voyez comme je prends soin de vous!

Ma nouvelle ne vous incombera pas d’une longueur étouffante. Elle vous sera donnée dans la mesure du respect que je vous dois. Je ne dénigrerai pas la perte de ces emplois. C’est déjà bien difficile de vivre ce genre de situation, que de palabrer méchamment serait vous détruire davantage dans cette course lamentable vers un avenir meilleur.
Mais oui, à Magog une fermeture de compagnie mettra à la porte 150 employés. Déplorables dirons-nous. Malheureusement, c’était inévitable vu les circonstances.
Que dire devant la ruine de la planète de temps d’économie démontrant le grand mal qui sévit ? Partout c’est ainsi. Et le pire, enfin, c’est une question de point de vue, le Canada est le moins touché ainsi que le Québec. Dans un sens nous devrions nous trouver heureux. Seulement, il est difficile de vivre dans le bonheur quand on perd son emploi.
Je ne peux explorer plus loin ce délicat sujet. Car l’économie va mal. Et changer la donne, sera très difficile. Ce qui le sera encore plus pour les gens qui se retrouvent avec presque rien devant eux, si ne sont que des dettes et la peur de tout perdre. Le pain noir sera de mise, même si aujourd’hui c’est le kraft diner qui le remplace.
Je voudrais conclure avec ces mots dérisoires peut-être, mais sincères j’aime déclamer follement, toutefois je sais être normale quand le besoin est sympathique.
Courage à vous, gens qui subissez l’affront de descendre de l’échelle sociale. Cherchez et demandez toutes les aides que vous avez droit. Il n’y a aucune honte à le faire et qu’importes les raisons qui vous les feront demander.
Ce n’est pas parce que nous perdons notre emploi, ou que nous avons commis une bêtise, qu’il faut se cacher et mourir à petit feu dans un coin sombre, caché sous taire. NON! Relevez la tête et ne laissez personne vous amoindrir plus que vous ne l’êtes.
Foncez droitement et vous trouverez l’âme humaine au bon endroit. Fiez vous sur moi, la misère noire je connais et on s’en sort quand on demeure digne sans garder une fausse fierté d’orgueil au mauvais endroit.
La vieille grosse laide vous dit à la prochaine

Ceci étant dit, sans en ajouter plus qu’il en faut, je passe à l’appel suivant qu’il me faudra dénicher dans l’antre informatique.  Krikri, Courage!

Krikri Ma Puce
C.Labrèche

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