Ô baises moi!
OUI embrasse ma chair tendre qui douillette ton âme.
Oui cajoles la sans honte, sans peur, sans pudeur. Elle te
caresse par sa douceur.
Ho! Oui! Tes mains délicates de pétales en fleurs survolent
les rondeurs de ma peau que tu t’es éprise sans gêne. Que tu affectionne avec
envie et désir et gourmandise.
Elle te passionne par
la surface d’amour qu’elle t’offre. Elle te quémande de poursuivre. D’aller
plus loin, comme tu sais si bien y faire.
Elle t’enveloppe entièrement, de ses bras remplient d’émotions.
De ce paroxysme à fleurs de peau qui explose en lumières et
sons d’apothéose.
Oui, mon amour, oui. OSE!
OBÈSE MOI ? Et après ?
Ça ne veut pas dire que je ne sais pas l’amour.
Que je ne sais pas le plaisir et le désir.
Ne crois pas qu’obèse veut dire frigide, sans délicatesse et
ni passion.
Sors de ta bulle mon doux
standard stéréotypé. Ne juges pas juste par l’apparence. Elle est aussi
sublime la caresse d’une peau en surplus. Aussi envoûtante la chair en
abondance. Elle offre ce que tu n’oses même pas imaginer par un dégoût inventé
qui dicte le subliminal de ton esprit épris.
Admires-moi. Découvres-moi avant de refermer le catalogue
des abonnés en rejet.
Il y a des frappes qui méritent d’être claquées pour ouvrir
les âmes, pour toucher les cœurs d’une bêtise humaine qui enfonce la pointe du
poignard dans l’esprit blessé de ceux que cela touchent.
N’en déplaise, mais associé un corps de rêve à la puissance
du désir est une déformation médiatique qui a trop abondée que maintenant,
faudrait que tout soit monochrome pour plaire à une castre qui se croit plus
maline.
Je ne mépriserai pas mon contraire pour sombrer dans l’absurde
d’une bataille inutile. Parce que pour moi la beauté ce situe au-delà de la
chair en moins ou en surplus. Je vais simplement argumenter pour la gente qui
se fait taguer avec mépris dès qu’un surpoids blesse le regard de ceux que ça
déplait
J’ai donc fais valoir mes coups au clavier qui me sert de
cible pour décrier que c’est assez de se faire regarder de travers. Je m’assume.
Donc, je suis. Donc, je m’aime. Donc, respectez-moi.
Respectez-nous.
UNE GROSSE BELLE QUI enfin se tient debout.(Krikri Ma Puce)
Ton aisance avec les mots me fascine
RépondreEffacerMaintenant que tu te connais mieux çà devrait aller plus facile pour toi.Bonne journée
Merci Denis de ta visite....Et c'est vrai que lorsque je me laisse aller avec les mots, et que j'ai l'inspiration, tout coule telle une source qui m'offre la fraicheur d'expression.
RépondreEffacerEt...Ainsi je parviens à mieux m'apprécier en écoutant cette notion de moi que l'écriture est un moyen d'expression qui me va parfaitement.
BOnne journée à toi aussi Denis.
Wow Krikri Ma Puce. Je n'ai pas de mot pour cette façon de décrire s'en mépris, une femme en cher à qui l'on fait l'acte le plus naturel et avec passion. Une inspiration de jeux de mots si dites avec une telle délicatesse verbale. J'ai savourer cette lecture que j'ai rarement lu. Je me demande où allez vous dans vos pensées les plus profondes trouver cette inspiration que j'aimerais tan avoir. Je suis maintenant l'un de vos admirateurs. A bientôt j'espère.
RépondreEffacerWOW! Jacques, je suis touchée de votre commentaire. Sincèrement.
RépondreEffacerPour vous répondre, cette aisance je l'ai quand je me laisse aller à ma passion et que je ne me referme pas sur, ce que vont en penser les autres. C'est là en moi. Ça vient naturellement. Dès qu'un sujet m'inspire. Je le laisse s'exprimer. Sans trop chercher à tourner autour. Tout en désirant ne pas insulter les autres.
Bref, la magie vient quand j'écoute mon coeur et mon âme et non que ma raison qui elle est loin de désirer me faire voir que je suis belle et intelligente malgré des failles dans ce que je suis.
Encore Merci Jacques.
Au plaisir et à la prochaine