Encore je frissonne,
Mais je vous pardonne
Trop j’affectionne
Pour que j’abandonne
Cette pulsion qui m’ordonne
Que toujours je me passionne
Pour ces mots en eaux
Pour ces maux en sceaux.
Pour ces rots en pots
Pour ces idéaux en mégots
Qu’en déplaise
Je serai à l’aise
Qu’importe le malaise
Qu’importe la glaise
Qui voudra m’engloutir encore
Me meurtrir l’âme et le corps
Voudra me scier… Je serai un fort
Je serai mon propre port
De cette claque qui fesse
Il ne reste point de détresse
Juste une nouvelle finesse
De surpasser ma faiblesse
Pas celle évoquée
Pas celle que vous croyez
Mais celle qui se
laisse inspirer
Pour ressentir et écouter
Je ne suis pas Exécrable
Ni misérable
Juste sensible aux critiques excusables
Qui fragilise ma carapace effritable
Encore je frissonne
Adieu chère maldonne
Je déraisonne
Et vous …Abandonne
Voilà, un souffle de vie positif au travers cette émotion
envahissante qui a blessé, je l’avoue, ma dignité et qui m’a complètement
mortifié.
Au plaisir Messieurs Dames.
La Grosse Belle qui ne sombrera pas plus bas.
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