Quand un retour en arrière amène la fausse nostalgie. On se
demande souvent pourquoi on a touché à cet espace-temps.
Parce que je savais bien que tout cela n’était que des mots
aux émotions sincères sachant que jamais la chair vivrait cette réalité écrite.
C’est merveilleux la distance quand les corps ne peuvent se
toucher. Maintenant on peut se donner l’illusion cervicale que les sens peuvent
être perturbés profondément. Qu’en déplaise ceux qui n’y croient guerre criant
haut et fort que rien ne peux surpasser le réel.
Soit.
Mais quand il n’y a pas de réel. Lorsque celui-ci vous ferme la porte de la présence physique ça devient ce qu’il y a de mieux, que de mourir dans l’isolement totalement sans jamais plus rien ressentir juste parce que…la santé, la vieillesse, les responsabilités vous privent de ce qui est encore aussi intense dans votre intérieur émotif.
Mais quand il n’y a pas de réel. Lorsque celui-ci vous ferme la porte de la présence physique ça devient ce qu’il y a de mieux, que de mourir dans l’isolement totalement sans jamais plus rien ressentir juste parce que…la santé, la vieillesse, les responsabilités vous privent de ce qui est encore aussi intense dans votre intérieur émotif.
Alors voilà quelques vers retrouvés dans mes écrits.
Surement qu’au fil du temps je les inscrirai ici. Parce que depuis quelques
temps je me sens vide en dedans. Personnellement je mets un frein à cette façon
de faire mais…. Les souvenirs quand ils refont surface, quand je revois combien
cela a pu être magnifique, je replonge quelque peu dans ce bain en me laissant
aller avant que revienne la triste réalité. Parce que je sais que trop bien,
que ce n’est qu’un leurre.
Allez, je vous laisse avec ces vers… écrit le 6 aout 2012
J'AI MAL DORMI
Y a des nuits
Comme celle-ci
Où l'insomnie
Me sort du lit
Je penses à toi
À nous, c'est comme ça
Je penses à nos envies
À mes rêves enfouis
Aussi, à nos folies pures
Où je te murmure
Encore,
Oui mon amour, encore
Mais cette autre nuit
Devient mon ennemie
À ne pas dormir
À imaginer ton sourire
Nos plaisirs communs
Où nous ne faisons qu'un
Je ne résiste plus
Ce besoin me tu
Je dois l'assouvir
Pour ne pas souffrir
Te voir fou
À mes genoux
Me supplie d'agir
Avant d'en mourir
Ainsi les heures
S'effritent en douceur
En plaisirs silencieux
En vices délicieux
À l'alcôve de mes secrets
Je m'offre sans regret
Cette joie unique
Cette joie impudique
Telle la fleur au soleil
Je m'ouvre sans pareil
Abandonnant ma ruse
Au souvenir de ma muse
Pour enfin m'endormir
Au parfum de mes rêves
Où enfin cette trêve
M'abandonne au coeur du plaisir
Ainsi
Devient cette fameuse nuit
Non plus une ennemie
Mais une douce complice
Aux délices
De mes caprices
À ma muse
Qui en pensée
J'abuse
Je suis loin de t'oublier
Encore,
Oui mon amour, encore.
J'AI MAL DORMI
Y a des nuits
Comme celle-ci
Où l'insomnie
Me sort du lit
Je penses à toi
À nous, c'est comme ça
Je penses à nos envies
À mes rêves enfouis
Aussi, à nos folies pures
Où je te murmure
Encore,
Oui mon amour, encore
Mais cette autre nuit
Devient mon ennemie
À ne pas dormir
À imaginer ton sourire
Nos plaisirs communs
Où nous ne faisons qu'un
Je ne résiste plus
Ce besoin me tu
Je dois l'assouvir
Pour ne pas souffrir
Te voir fou
À mes genoux
Me supplie d'agir
Avant d'en mourir
Ainsi les heures
S'effritent en douceur
En plaisirs silencieux
En vices délicieux
À l'alcôve de mes secrets
Je m'offre sans regret
Cette joie unique
Cette joie impudique
Telle la fleur au soleil
Je m'ouvre sans pareil
Abandonnant ma ruse
Au souvenir de ma muse
Pour enfin m'endormir
Au parfum de mes rêves
Où enfin cette trêve
M'abandonne au coeur du plaisir
Ainsi
Devient cette fameuse nuit
Non plus une ennemie
Mais une douce complice
Aux délices
De mes caprices
À ma muse
Qui en pensée
J'abuse
Je suis loin de t'oublier
Encore,
Oui mon amour, encore.
un très joli poéme plein de sensibilité et de vraies émotions, je pense qu'il est à l'image de ta personnalité
RépondreEffacerMoi, je te souhaite une bonne nuit
Françoise
Merci beaucoup Françoise.
RépondreEffacerSurement trop intense parfois
Bonne nuit à vous aussi
Krikri