Je me devais d’écrire ceci. Je me devais, d’offrir ainsi, un
souffle d’espoir, malgré mon désarroi à y croire. Je suis athée de l’amour. Je suis morte à
cause de cela un jour.
Cependant, je ne peux concevoir, que d’autres s’enlise dans
le désespoir. Surtout si la jeunesse à le mérite que perd la vieillesse.
Surtout si l’âme n’a pas de pensées infâmes.
Autant pour toi Eric que d’autres qui pleurent une fin d’une
histoire, si votre cœur est tendre, tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.
Alors voici pour vous… Un poème tout doux.
J’admire ceux et celles qui parviennent à croire encore
Au rythme de leur cœur qui bat aussi fort
Que l’amour existe quelque part et que cela un jour, sera pour
eux.
J’admire cette pensée
Que, malgré le mal d’un amour passé,
L’avenir leur réserve une future vie à deux.
Je parle d’amour, de rêves et de partage.
Pas de faire valoir aux dragues du malheur
Pas de froides réalités qui malgré être deux fait rage,
Revient à vivre comme frère et sœur.
Il y a tellement une sublime candeur
Dans ces attitudes d’attentes d’un futur bonheur
Que d’un sens, je les envie
Moi qui aujourd’hui vois cela avec ironie
J’ai perdu tout cela
Pour moi
C’est du passé
C’est une fausseté
D’autant plus,
Que je ne veux plus y croire
Je ne veux plus
Voir ce reflet dans mon miroir
Il s’est brisé trop souvent
Pour que ce vent
Se tourne vers moi
Ouvre réellement ses
bras.
D’autant plus, que je sais
Que je ne l’accepterai jamais
Fini ces mirages
Qui demande un dur sevrage
Dès que l’illusion disparait
Dès que tout se
termine dans l’abstrait
À vous tous qui y croyez, je vous dis,
Tant que vous pouvez assumer la souffrance occasionnée
Que vous pouvez remonter à la surface de la rive éloignée
Gardez espoir, malgré mon propre reflet désespéré
Vous avez droit à vos rêves et à tout imaginer
Il suffit juste de ne jamais mettre fin à votre vie.
L’amour ne demande pas ça
Ce n’est que la démesure en soi
Qui appel à une telle action
Vide de toutes abstractions
Il suffit juste un peu, de laisser le temps
Vous offrir la paix au renoncement
Dont votre âme et votre cœur ont besoin urgemment
Avant d’aller au-delà du non-retour
Car malgré tout l’amour
Pourrait vous attendre dans le prochain détour
Je vous dis juste, soyez vigilant (e)
Le piège des faux amours est immense
Et tomber dedans
C’est la pire désespérance.
Gardez courage pour l’avenir
Ne succomber pas au délire
Une fin de non-recevoir
Ne vous apportera pas une lueur d’espoir
En toute sincérité
Laissez-vous le temps
À une guérison entière
Ne surtout pas succomber
Juste par besoin de sentiments
Qu’offre un regain d’espoir sincère
La fragilité
La vulnérabilité
Pourrait fortement vous faire sombrer
Dans le néant du cœur abandonné
Oui, laissez-vous tout le temps
Sans couler dans la falaise du néant.
La Grosse Belle qui vous salue et vous fait la douce bise.
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