Ce sera court. Je n’ai pas long à dire. Juste une petite
tasse. Sans gravité. Juste un besoin de vous dire en douce, la sensibilité qui
se glisse dans mes agissements. Juste pour vous démontrer mon respect envers
vous.
Je n’abandonne pas le phare. Juste un brin de nostalgie qui
doit s’évaporer.
Écrire. Pourquoi écrire ? Surtout, quoi écrire ? J’ai les
neurones à secs. Tout se bouscule et rien à la fois. J’ai plein d’idées, mais
aucune ne se démarque. Alors c’est le capharnaüm dans ma tête.
J’avoue par contre, que l’envie de parler des sorties de
printemps, de mes photos prises ça j’ai envie de le faire. Mais pas ici. Ici c’est
du sérieux. Enfin, les photos aussi, sauf, qu’ici c’est plus porté sur un
sujet, une opinion qui exprime au-delà d’explications sur les thèmes plus
touristiques et photographiques.
En fait, je suis lasse.
J’ai le mal d’écrire. Ce mal de ne plus avoir rien à dire même
si c’est fertile dans la boite grise. Ce mal, vient aussi de ceux qui se
permettent de bousiller ce que vous faites sous prétexte de vous aider.
J’ai le mal d’écrire, parce que depuis, le beau temps j’ai
terriblement envies d’être avec mon appareil photo.
J’ai le mal d’écrire parce que… J’ai le vague à l’âme.
Ce mal d’écrire je l’ai aussi parce que je ne sais plus par
quel bout commencer. Tant à faire et il n’y a que 24 heures dans une journée. J’aimerais
pouvoir me consacrer qu’à mes désirs. Mais la vie ce n’est pas que ça. En tous
les cas, pas pour les gens qui n’ont pas de richesse monétaire inépuisable.
Alors faut se bouger, faut travailler, faire son ménage, faire sa lessive,
faire tout ce qu’il faut faire…
J’ai le mal d’écrire, parce que… Je suis triste.
Par contre, je vous dis à tous, un gros merci de votre
passage. De vos commentaires qui me vont droit au cœur. Même ceux qui
blessent. Sans votre présence, je crois
que j’aurais du mal à poursuivre. Votre
gentillesse est un cadeau. Votre présence, un plaisir.
Ce mal d’écrire passera bien assez vite croyez moi. J’aime
trop écrire pour m’arrêter. D’autant plus, que si je ne suis pas ici… je suis
sur mon autre blog… Mémoires Visuelles
Je vous dis donc à la prochaine strophe. À la prochaine
vague d’expressions viscérales.
La Grosse Belle qui vous fait la bise.
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