Je voulais encore écrire quelque chose de bien. Mais je suis
bouchée. Je suis sous le seuil de l’écluse. La rougeur me monte au nez. La
brûlure s’amorce à mon détriment. La douleur elle, réduit ma capacité habituelle de boire de l’eau.
Je n’en veux pas de celui-là. J’aimerais bien qu’il couve
ailleurs ses appartenances sans failles.
Ses apparences désagréables vous rendant gaga et la tête amochée pour un
certain temps. Je l’assommerais volontiers vous savez à grand coup de bidules
inutiles. Par contre je fais le nécessaire pour tenir encore sur la plante des
pieds. Pour encore étirer un filet de sourire qui peine à se maquiller sur mes
lèvres. Tant qu’à mes paupières elles penchent vers le sol cherchant à me
rendre aveugle de fatigue. Mais je résiste.
IL LE FAUT! Je suis une battante vous savez.
La congestion est la pire. Un embouteillage de transparence
aux remorques fragiles qui se déchirent et se froissent à rien. Vite on les
remplace pour contenir le fléau et en peu de temps on compte les monticules qui
se retrouvent vite dans le sac qui se referme pour mieux s’ouvrir.
Et mes doigts clavardent toujours. Rien ne les arrête. C’est ma
nécessité d’existence. Si j’arrête, je sombre dans le néant du noir et je ne le veux pas. J’ai besoin de
ça pour crier ma frustration. Pour dire assez, lâchez moi petites nano
bestioles qui grugent mes efforts surhumains.
Mais en vain bien sûr. On le sait tous que ça dur une
semaine environ.
Quand vais-je cesser de couver ça ? Lorsque j’aurai un gros
nez de clown et deux boites de papiers en moins.
Bon Le gros nez rouge vous salut Messieurs Dames.
Tout ça pour ne pas
dire simplement que j’ai le rhube…pardon, le rhume. Ça prouve que j’ai toujours
ma facilité d’écrire. Ouf! D’un peu je commençais à croire que j’étais pour
cesser d’écrire pendant un certain temps.
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