Vous connaissez cette sensation-là? Celle du vide non pas
triste, mais neutre? Où rien ne semble vouloir prendre place. La confusion ou l’indifférence ou pourquoi pas les deux, font que l’Inspiration soit une faculté qui s’ignore.
Je suis neutre voilà.
Sans tristesse, sans joie. Vide de sens. Vide de substance.
Je regarde cette page blanche de ce word office et je souris
à l’idiotie de ma pensée qui s’accumule en mots, en déraison et oui… en
fabulation. Le pire, ça semble se tenir. La preuve étant qu’à me relire, ceci a
du sens.(vraiment je me suis relus en venant faire une pause)
Je lis les informations, après ces quelques heures de
sommeil perturbées par l’- ennemie, mais tant pis, je serai encore plus confuse,
maudissant toutes les études sur le mauvais sommeil sans que rien ne se fasse
de sérieux sur les causses véritables pour vraiment aider ceux qui en souffrent.
Certes, je te défoule ma bêtise, mais je ne suis pas en
mesure de t’offrir de vraies solutions. Alors oui tu te réveilles toujours confuse,
endolorie, raide aux articulations qui eux prennent leur temps et toi bien tu
es là, faussement amusée faussement indifférente parce qu’après tout, à quoi
bon se rendre plus malade pour des raisons qui ne sont qu’une imagination
fertile qui déborde inepties?
Mais trêve de balivernes qui n’avancent rien de nouveau et
qui ne font que surpasser la réalité sans la connaître vraiment et je me dis
bien, dépasse la nouvelle.
Je suis donc là à barbouiller cette page blanche et je
souris vraiment. Parce que je sais que je vais encore découvrir des belles
choses aujourd’hui. Que je vais créer des trucs qui feront sourire ou me
maudire qu’importe, mais que je ne laisserai pas l’ennemie me meurtrir la
pensée et les idées. Depuis le temps, elle ne gagne pas forcément, même si au
physique ça c’est une autre paire de manches.
Qu’en déplaise ou amuse, je vais aller de l’avant de ma jugeote
névrotique.
Je prends une pause là. Le devoir m’appelle. Vraiment. Pas le
choix. L’heure matinale de la progéniture qui se lève. Qui exige que je sois à
leur écoute, donc, pas d’offense, vous vous en rendrez même pas compte. Parce
que la suite défilera sans que pour vous l’attente soit réelle. Elle n’est pas
belle la vie écrite qui fait en sorte que la suite des évènements soit sans
perte de temps ?
Et me revoilà après une période de plus d’une heure à
focaliser sur autre chose que vous verrez sous peu. Écrit en parallèle et qui a
eu sa fin avant celle-ci. De quoi à se dire que le sérieux du travail demeure
abstrait et qu’il faut aboutir quelque part pour en finir.
Bien voilà, j’ai fini. Je vais de ce pas vous abandonner à
cette moribonde lecture qui s’achève. Qui vous aura surement laissé une amertume
fruitée dans la neurologie pour rire de ces dernières lignes qui semblent n’avoir
ni queue ni tête si ce n’est que la volonté de réaliser que j’exprime toujours
mes déconfitures dans des mots étranges ou étrangement articulés, dans la
formule de l’exploit.
Enfin, voilà. Rien de plus à exprimer pour l’heure que d’aller
à mes occupations doubles tâches pour revenir peut-être plus tard avec un autre
œuf bien pondu à saveur de paille et de base cour.
Je vous salue tous, la P’tite écervelée.
Krikri ma Pauce dite Kritoune.
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