Un brin de jugeote qui explose en apothéose par des mots et
des rots aux frémissements de sensations multiples qui brouillent et débrouillent
l’âme et l’esprit de tant d’inepties et de balivernes aux parfums de vérités et
d’ouvertures de cœur.
Parle ma belle. Parle. Régurgite ce qui ne va pas.
Est-ce juste moi ou est-ce un détail qui illumine la pensée
du monde, que la violence comme à Boston,
le Texas, Bagdad et j’en passe, s’accroit
sur toutes les surfaces de la terre ? Pas que je veuille ignorer les autres,
mais ce serait si long de les énumérer que j’abrège pour ne pas perdre le fond
de ma logique et que la confusion embrouille le tout. C’est incroyable quand on
y pense. La Syrie, l’Égypte, proclament le printemps Arabe. Ici pour un carré
rouge au printemps Érable on proclame en surnombre le droit à la scolarité
gratuite et cette année on se fait matraquer par des policiers qui jugent tout
alors qu’avant ils appliquaient les lois
et non jugeaient comme maintenant que tout et rien était condamnable.
Je suis abasourdie de voir toute cette violence.
Et l’autre en Corée du Nord qui fait son grand enfant en se
disant prêt à toute éventualité de guerre si le méchant Américain venait à
poser un geste déplacé alors que lui-même se prend pour un activiste avec tous les
droits d’un adolescent en crise d’identité.
Que je réalise bêtement, que nous sommes loin d’avoir
progressé en tant qu’humain.
Et pour parler de nous occidentaux, ceux qui se croient plus
malins que tout le monde mais dès qu’une bombe explose dramatise tellement que
ça devient démesuré et les médias s’en emparent comme de la viande jetée à des
animaux affamés. Aucun sens. Courant après de faux coupables pour ensuite
traquer tel un film américain les
soi-disant ‘vrais’ coupables et les rendent à l’état de légume.
Boston à fait le tour du monde. En quelques clics. Ce fut ÉNORME
parc que c’étaient EUX les américains les ‘’victimes’’. Sincèrement, parfois je
me demande, s’ils ne réalisent pas, que la volonté à vouloir laisser des lois
obsolètes en vigueur, rendent toutes folies encore plus plausibles d’être
exécutées.
Jadis il y avait les guerres sans fin. De 100ans, Saintes,
où les peuples voulaient acquérir les autres peuples en tuant ceux qui étaient déjà
là chez eux. On violait les femmes, brûlaient les maisons, les temples religieux.
On prenait même pour esclaves la race qu’on
éliminait l’homme ou on les envoyait ailleurs. Autant blancs que noirs et musulmans.
On ne prêtait attention à aucune loi. C’était la loi du vainqueur.
Et on croit bêtement que depuis Hitler que ce genre de
barbarie n’existe plus.
Plus je m’ouvre les yeux, plus je vois à quel point l’humain
aime se dissimuler la vérité dans son petit monde bien à soi. Au chaud, sous un
toit, avec les petits jouets dernier cri qui se gargarise l’orgueil à se vanter
de tout connaître. Qu’être à l’ère de la technologie il n’y a que ça de vrai.
Que l’humain s’humanise que la paix sera sur toute la terre. Avec sa petite
bière son hockey, son football et voilà qu’on ferme l’esprit à tout ce qui n’est
pas SOI.
Mais cette même technologie, à son pendant meurtrier, et est encore pire que celle de la guerre d’Hitler.
Et pourtant Hiroshima fut une horreur à son époque. Ce qui n’a pas arrêté le
monde de vouloir faire pire. Pour soi-disant se protéger du monde extérieur.
Quelle belle excuse quand on y pense.
L’excuse facile d’avoir des armes pour tuer tout ce qui
bouge. Les américains avec ce droit d’avoir
une arme, ne veulent même pas réaliser qu’ils sont inconscients de leur
inconséquence. Un pauvre livre pour enfant est banni des écoles pour une
bouteille de vin, alors que les armes circulent librement au risque absurde de
tuer quelqu’un. Ce qui arrive bien plus souvent qu’ailleurs dans les pays
soi-disant développés. Newton est un excellent exemple pour démontrer l’absurdité
d’un peuple à ignorer le danger qu’il affectionne au détriment de la sécurité
véritable.
Alors que ce même pays donne libre arbitre à un empire en
lui octroyant tous les droits d’agir et que personne ne peut plus rien contre
ce même monstre qu’est cette source d’OGM. Sans omettre les lois qui donneront tout pouvoir à ces lieux de maltraitances envers les animaux.
Les États-Unis pour moi ce n’est pas l’Eldorado mais Tourne
toi le dos que je tue.
Ensuite, ailleurs dans le monde, les horreurs de voir des femmes
lapidées, des hommes déchiquetés pour des raisons qui ne sont que des excuses
pour écouter l’animal en soi. C’est totalement monstrueux.
Tout cela tourne dans ma tête. Les mots s’échappent de ma
pensée tellement que je ne parviens plus à trouver le terme qui ouvrirait le
regard intérieur de chaque être humain. Ces faux libérés qui se disent ouvert d’esprit
mais qui méprisent d’emblée tout droit humain à des hommes et des femmes
différents d’eux. Et vous aurez compris que je parle de la folie des homophobes. Le printemps français.
Le pouvoir rend aveugle. Ça ne peut qu’être cela. Sinon, les
hommes et les femmes au pouvoir s’apercevraient de tous les torts qu’ils font à
notre chère terre. Je crois que les choses changeraient.
Et là ce Harper qui détruit tout ce qui a été si durement
acquit. Il n’est pas mieux. Pire même. Je l’appelle le dictateur en
cravate.
Honnêtement, ce monde me fait peur. Il empire d’ailleurs. Avec
tous ces fous qui veulent prendre possession de ce qui ne leur appartienne pas.
De ces substances qui ne sont qu’un
pouvoir de plus.
Regardez la cette terre. Elle vomi sa misère. Elle donne des
signes de sa santé en perdition et personne ne l’écoute. Personne ne fait attention
à elle. Pourquoi ? Parce que nous ne faisons plus attention à nous-mêmes. Notre
santé est souvent très secondaire alors que le pouvoir, l’argent, la
carrière ÇA c’est important. Alors,
comment sauver une terre qui n’est que pour l’homme au pouvoir acquit, un jouet
de plus à manipuler ?
Jusqu’à ce qu’elle explosera. Et là… Bye bye l’humanité.
Apocalypse quand tu seras, ce sera la vengeance non pas de
Dieu mais de la terre qui nous nourrit. Celle qui nous offre sans rien exiger.
Si ce n’est que de la respecter.
Allez, je file. J’ai assez délibéré. Je crois que j’ai fait
un joli plaidoyer. Maintenant, je vais à mes photos. J’ai craché ce qui
trainait sur le cœur depuis quelques jours.
À la prochaine.
La Grosse Belle qui vous salut.
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