samedi 5 avril 2014

Dieu de Merde

Je précise, aucun blasphème envers Dieu. Lisez et vous comprendrez.

Il est étrange le temps. Ce que je vais écrire plus bas, m'est venue comme ça, comme un cri du cœur que je ne savais même pas posséder. Sûrement en catimini mon âme désirait s'exprimer enfin sur une chose qui l'avait démolie à l'époque et que moi, j'avais tu dans le tréfonds de mon esprit pour ne pas trop m'en faire avec cette vie de misère que je vis.

Mais sincèrement, et je l'admet en écrivant ce petit texte d'avant, que cela m'avait plus blessée que je ne l'avais pensé. Pour que tout cela sort ainsi, c'est plus qu'une évidence.

Ne vous en faites pas, c'est un soulagement littéraire. Vue que cette réponse, un an plus tard est ma réplique à une insulte littéraire sur l'un de mes écrits de jadis. Donc, ceci n'est rien de lamentable. Juste, une remise en cause avec un plaisir parfait et une satisfaction qui me fait bon effet.

Sur ce, je vous salue, et Krikri s'octroie avec plaisir le surnom de Belle Dame!



Je venais de publier sur Google+ un texte, une petite histoire banale. Comme je le faisais souvent d'ailleurs quand j'ai reçu un commentaire qui m'a giflé le cœur.

Venant du coup me retirer toute volonté et courage d'aller de l'avant.

Je ne sais pas mais, j'aime pas être vache, chienne envers les autres. C'est pas ma nature. Et je me dis, qu'on peut dire les choses sans être méchant.

LUI par contre, ne s'était pas gêné. Il en avait sûrement jouit à médire ainsi sur moi sans me connaître. Sans penser à la fragilité des âmes.

Pourtant, que savait-il de ma vie? De mes démons intérieurs? RIEN. Que dalle comme ils disent si bien là-bas en Europe, alors que nous on fini par le copier tant on l'entend.

J'aurais eu envie à cette seconde, de le foudroyer, de l'insulter, de le maudire. La douleur a été telle, que je me suis tue pendant des mois. J'ai dû me ramasser à la petite cuillère. À me refaire un moral, que ce CON avait détruit en quelques mots méchamment écrits, se ventant avec son arrogance d'écrivain qu'il se pensait supérieur à moi. Parce qu'il n'avait pas d'erreurs de syntaxe. Alors que dans l'empathie, il devait en louper un bon coup pour ne pas se mettre quelque peu à la place d'autrui.

Faut croire qu'à l'époque je l'avais cru. Tant que je me suis repliée sur moi même. Je me suis effacée sans demander mon reste. Comme un vulgaire déchet, je me suis refoulée dans mon coin en me taisant.

Si longuement. J'ai dis des mois, mais ce fut plus d'un an.

Aujourd'hui, je lui dis, MERDE! Vas te faire foutre sale type.

Tu te prends pour qui pour oser briser quelqu'un ainsi en public? Tu dois avoir peur du talent des autres pour détruire le rêve de quelqu'un en des mots aussi cruels en quelques lignes bien écrites. Certes oui, mais dans un sens, non!

Je ne sais pas qui tu es et je ne veux pas le savoir. Tu ne mérites pas d'être dans mes contacts et encore moins dans mes connaissances appréciées. Le langage n'a rien à voir, c'est le cœur. C'est ce que tu as au ventre qui a de l'intérêt. Pas ce que tu projettes comme sale type.

Pourquoi je prends ce langage? Pour démontrer, que l'ordure dans le fond c'est pas moi. C'est ton langage. Ton arrogance de petit trou-cul qui mérite de se faire dire ses quatre vérités. Ce n'est pas parce que tu es sur le net que cela te permets de faire le mauvais héros de bandes dessinées.

Si tu te crois parfait, vas te faire soigner d'urgence, parce que comme tout le monde, tu as des défauts et un caractère de monstre. Pas de chien, parce que même les chiens sont plus gentils que ta petite personne sans envergure.

Non, je ne te connais pas. Et toi non plus tu ne me connaissais pas quand tu as osé me détruire en te prenant plus malin que moi. En te prenant pour un DIEU de merde qui mériterait une sacrée leçon dans le même le genre que moi. Qu'on te rabaisse au niveau du sol pour que tu revois en toi ce qu'est avoir du cœur envers autrui et d'aider au lieu de détruire.

Et si je me permets le TU, qui risquerais de te choquer, bien je me dis, que tu n'es pas mieux que moi. Que comme tout le monde tu défèques par la même place que moi autant du cul que de la bouche. Et tu l'écris de tes doigts sur le clavier pour te glorifier stupidement de ta sottise.

Moi, je me suis soulagée le cœur et l'âme. Il fallait que je le dise, que je l'écrive comme tu l'avais fait à mon égard. Et si tu lis ça bien, tu sais quoi ? Même si je le sais jamais, au moins tu sauras combien ta cruauté a fini par me donner un coup de pied au bon endroit et tu sais encore mieux que ça?

QUE maintenant JE ME FOUS de ta bêtise d'humain en manque d'empathie. J'aime écrire et ça, personne ne me l'enlèvera, même pas un arrogant de ton espèce. Et là, bien je suis satisfaite. Je vais pouvoir continuer et aller de l'avant.

Avec ça, je viens de franchir un nouveau palier. Celui de MA reconnaissance et pas la moindre.

Sur ce, Monstre Cruel, bien, je te souhaite du succès. Parce que contrairement à toi, je ne suis pas jalouse. Je me fiches du comment et du pourquoi tu écris. L'important, n'est-il pas d'être bien avec soi avant toute chose?

Au déplaisir

Krikri Ma Puce.


Et voilà, je suis en paix maintenant.


La Belle Dame vous salue et à la prochaine.

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