Le cortex en
ébullition, la personne cherche une porte de sortie.
Ça surchauffe dans la
boîte à penser.
Les synapses
s'électrocutent d'elles-mêmes par trop d'informations massives à
la fois.
Le visage de la victime
se contracte par l'incompréhension qui s'active. Elle grimace. Les
yeux eux tournent dans le vide à se concentrer, pardon, en tentant
d'agir de la sorte.
Que dalle!
C'était perdu
d'avance. Trop c'est comme pas assez, soit on végète ou soit on
surnage. Tout se mélange tel un bol de riz en sauce qu'il faut
rendre conforme. Tout se fige aussi.
Comment décortiquer la
masse? Comment détecter un indice?
En plus que le tout
provoque une migraine d'enfer. Tout est rigide. La souffrance est
telle, qu'il faut de l'air. Qu'il faut de l'énergie autre que de
vouloir se pourfendre les méninges.
La tête entre les
mains, les larmes qui sillonnent le visage, la victime demande grâce.
LAISSEZ-MOI respirer!
Hurle-t-elle dans le silence tranquille.
Soudain une image douce
se pointe, un lac dans une nature propre. Dans une campagne éloignée.
Enfin, pas trop. Où des oiseaux voltigent dans le ciel bleu. Où un
bateau flotte au cœur de cette masse avec à son bord un homme canne
de pêche à la main.
Tout est parfait.
L'étau entre les deux oreilles se desserre. Le sourire revient sur
le visage sans aucune trace de souffrance.
La paix. Enfin.
Sommes nous si crédule
à cette naïveté? Ou demeurons-nous sur nos gardes?
Quand surgit un
croassement misérable dans l'ouïe de la personne, qui lui fait
drôlement comprendre, que rien n'est parfait. Cette corneille
survolant son rêve imaginaire, brise la jouissance du moment.
Revenant à la charge
tel un bélier, l'esprit ne désirant pas s'avouer vaincu. IL veut
comprendre, tant pis pour la survie mentale de la victime. Qui se
frotte alors les tempes de ses pouces et respire par petits coups.
Doucement ma jolie.
Il faut juste savoir
quel élément prendre en premier pour alléger la recherche qui
semble plus que compliqué. Un véritable cubique ou devoir d'algèbre
en délire à prime abord. Si la victime est douée elle s'en
sortira, sinon, elle bûchera en vain, et ragera de dégoût de tant
d'inepties qui s'accumulent.
Les capacités moindres
ne font pas le poids. Et ceci n'est pas un concours d'apesanteur.
Elles se dévalorisent d'office à ne point trouver une marge de
manœuvre pour s'offrir une trace de début pour soulager l'offense
faite à son impuissance.
Elles abandonnent.
Point bar.
Jusqu'à quand?
Une
pointe de bon sens, un filet d'ineptie et une dose de réflexion et
voilà un article concocté d'une manière étrange. Je ne dirai pas
un chef-d'oeuvre, ni un flop. Juste, une idée qui s'ensuit et voilà,
une douleur en moins entre les deux oreilles.
Moi
tout simplement. Krikri Ma Puce.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Remarque : Seuls les membres de ce blogue sont autorisés à publier des commentaires.