Poétise moi la vie.
Effleure moi l'esprit
De son imagé
De maux en fleur
Pour que je puisse
aimer
Celle qui me fait
souffrir.
Depuis ce jour
prématuré
Tout c'est dévoilé
À mon âme blessée
À mon cœur isolé
Telle l'horreur
en guise de bonheur
aux parfums de
pourriture
Aux effluves de
solitude
Comment croire l'avenir
Si le présent se
déguise
En faux espoir
Où il aiguise
sa lame de sang noir
Pour mieux leurrer
Mon estime en devenir?
Depuis cette matrice
Elle ne veut pas de moi
Elle me nargue sans foi
Sans âme protectrice
Ma mort qu'elle désire
Non! Ma souffrance
Qui beugle en silence
Dans le feu de mon
désir
Et toi, tu n'as jamais
compris
Que si j'étais en vie
C'était par lâcheté
Non par courage!
Je la hais
La déteste
Tant elle m'offre ce
miroir
De déchéance que je
suis.
Elle ne veut pas de moi
Mais ne me tue pas
elle ne m'aime pas
Mais s'acharne sur mon
cas
Tellement pathétique
Tellement merdique
Lâche moi
Pour une fois
Laisses moi le droit
À de la vraie joie
Pas qu'un brin, ma foi
Ni une parcelle
Mais une véritable
étincelle
qui illuminerait mon
chemin
Où l'espoir enfin
Brillerait dans ma
cervelle
Lâches moi Putain
Ou donne moi la main
Je ne suis pas une
moins que rien
Tu comprends ça dis?
Sentez
la cette merdique souffrance qui me ronge les reins. Qui me pustule
le cœur de nauséabondes pensées qui au point parfois, me donne le
naufrage en partage.
Je
survole la paix et je me dis, je n'ai qu'un geste à faire. Et enfin,
elle sera là.
Mais
la Grosse Laide manque de courage. Elle préfère geindre et se faire
accroire ensuite qu'elle a déballé sa valise fourrée de merde et
qu'elle étale cette dernière pour encore mieux vous empoisonner
l'existence.
Vous
voyez comme je délire?
Bon
j'arrête et je file. Pardonnez moi cette sottise. En vous disant que
le prochain article pleurera sur un autre sujet que moi. Promis.
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