Depuis hier, je n’arrête pas de me dire que je devrais fermer mes deux mains et ne pas aborder l’élaboration d’un sujet sur une action qui foncièrement me perturbe. Parce que je me doute que je vais en choquer quelques uns, en blesser même. Seulement, le silence, c’est la gangrène de la fausse acceptation. On l’active dans le respect de l’individu et on accroitra la nuisance de ceux qui subissent en masse populative la destruction de leur vie, juste pour une quelconque personne qui ne prend pas fondamentalement en note la nocivité de son attitude et qui d’office manque de respect humanitaire.
Pas que je veux me mettre juge d’une action dépendante qui démarque le besoin d’une attitude pour occire un sentiment personnel qui nous accapare jusqu’à l’os. Mais je ne peux faire abstraction de ce comportement qui détruit la jeunesse de notre avenir.
D’autant plus, qu’aujourd’hui j’ai compris qu’une pub à la télé, qui me semblait une bande annonce d’un nouveau film québécois, serait en vérité une nouvelle attaque sur le sujet dont je vais parler. Comme quoi, qu’il est temps de mettre l’accent sur les bons points et non plus juste dire qu’il faudrait arrêter. Mais de démontrer plus qu’il en faut de la décadence d’un tel acte et avoir de la colonne dans la vertébrée.
Oui cela devient criminel.
C’est comme les drogués, ils savent qu’ils s’enfoncent dans un comportement destructeur. Qu’ils se tuent à encore plus à chaque pilule, à chaque piqûre qu’ils s’affligent sur leur peau bleue de traces d’actions similaires ou dans une snif qui risquerait d’être la dernière.
Pourtant, ils continuent. Ils n’arrêtent pas. Pourquoi ? Parce qu’ils sont emprisonnés dans leur habitudes qui les interpellent dès que le manque se fait sentir dans le sang qui coule dans leur veine. Alors ils cherchent la substance qui calmera leur angoisse, comme le fumeur sa cigarette qui faussement calmera ce manque qui le rend agressif et nuisible.
L’emprise est gigantesque.
Et là je m’arrête, quelques fractions de secondes pour réfléchir. Fixant le début de cet article. Cela semble si bête ce que je tiens à déballer de ma pensée. Qui sortira surement tout croche aux bouts de mes doigts tremblants par l’énervement mais qui me poussent aussi à tenter de faire percevoir plus loin qu’une volute qui monte vers le néant après être été avaler par les poumons qui s’étouffent par la boucane meurtrière qui s’amoncelle dans cette cavité d’air polluée.
Je me sens telle une enfant qui bafouille devant sa mère en voulant faire la grande sur un sujet très sérieux mais qui est prise en condescendance parce que trop jeune pour être véritablement importante et pertinente.
Sincèrement, ont sait tous que la drogue c’est malsain. Tout autant que la cigarette. Personne ne mettrait en doute une telle vérité.
Pourtant, les plus réfractaires, d’un cynisme enfantin, diront que l’on meurt tous un jour. Alors mourir de ça ou d’autre chose. Cela n’a pas vraiment d’importance.
Si voici 25 ans une telle réponse avait un sens intelligent, aujourd’hui désolée, mais cela est complètement bébé. Un adulte qui ne veut pas vieillir. Point à la ligne.
C’est la vie d’enfants que l’on met en jeu. Pas que les vôtres messieurs dames. C’est la santé de toute une famille qui en subit les conséquences. Les frais les plus élémentaires.
Fumer devant eux c’est les tuer à petit feu. Leur offrant l’opportunité d’en faire autant en méprisant leur propre santé parce que la votre n’a pas vraiment d’importance. Pas grave si demain vous mourrez d’un cancer. Ils seront à moitié seuls, parce que ce n’était pas grave fumer. Déjà que des mères de familles meurt du cancer du sein et qui auraient aimé poursuivre leur cheminement avec leurs enfants. Alors que vous, Bof! Vous avez la possibilité d’éviter ce drame, mais cela n’est pas grave. Qu’ils se débrouillent sans moi. On meurt tous un jour.
Belle mentalité à offrir à notre progéniture.
Mais là, on est plus voici 25 ans, en leur disant fait se que je dis, pas ce que je fais. Parce qu’il ne faut pas oublier, que nous sommes les premiers modèles de nos enfants. Que nos vices ils les adapteront.
Ce n’est plus d’époque de faire comme si de rien n’était. De fermer les yeux et de laisser passer ses faiblesses que l’on peut éradiquer avec de la vraie volonté et de la patience. Pas juste se dire que d’autres sont pires que nous. Que c’est trop difficile.
Lamentable comme réflexion.
Parce que oui c’est vrai que d’autres sont pires. Et qu’ils font encore davantage. Seulement, serez-vous fier de vous avec un tel argument qui ne fait plus la route de nos jours si votre enfant vous posait la question du pourquoi vous n’arrêtez pas de fumer? Du pourquoi vous empestez leur vie en ne prenant nullement en considération la leur ?
Fumer en présence de ces enfants c’est leur dire que ce sont des mensonges ce que les gens racontent sur les dangers de la cigarette. Que cela n’est pas si néfaste pour la santé parce que vous tenez encore debout et que tout semble bien aller. Seulement, c’est leur dire que votre santé n’a pas d’importance.
Pire!
Que la leur l’est encore moins. Je sais bien que ce n’est pas le cas.
Parce que vous leur offrez un air nocif aussi pire que le smog. Parce que dans un habitat réduit c’est les séquestrer dans votre emprise. Et en vous voyant fumer, vous leur dites que c’est banal le danger qui entoure la cigarette. Que ce n’est rien. Que ça n’arrive qu’aux autres. Comme la jeune adolescente qui ne se protège pas et qui tombe enceinte se croyant ELLE à l’abri d’une telle éventualité.
Banaliser ce qui pourrait les tuer, c’est ignorer les signaux qui pourraient vous indiquer les dangers déjà présents, tels les crises d’asthmes, l’emphysème les toux sans fin qui vous accaparent le matin, le cancer du poumon, qui à vous écouter, n’est qu’un petit rhume de rien du tout. D’autant plus que ça sent vraiment mauvais. Et que les yeux piquent atrocement en présence de fumeurs.
Dans une telle attitude, vous laissez dormir votre conscience. Ne désirant pas être perturbé par la culpabilité qui viendrait vous sonner les méninges et vous accaparer la neurologie.
Toutefois, rien de tout cela n’est bénéfique pour votre entourage. Pour vos enfants, ceux que vous aimer. Vous vous bernez vous-mêmes.
Leur donner votre poison en cadeau ce n’est pas vraiment les apprécier. Vous leur injecter une dose nocive qui un jour pourrait davantage leur nuire que s’ils fumaient. Et pourtant, ils n’auront rien demandé. Comme si vous laisseriez votre enfant allergique aux arachides de manger du beurre de peanuts. Insensé n’est-ce pas ?
Je vous le dis, cessez de fumer.
LÀ, maintenant!
Jetez la cette meurtrière qui vous fait croire qu’elle vous fait du bien. Lavez votre cerveau de ces signaux mensongers qui vous tuent tout doucement. Couvrant votre sépulture de fumée d’encens.
Faites-le pour le bien de vos enfants. De ceux que vous aimer et qui vous aiment tout autant en vous acceptant avec ce sacré défaut tueur à petites doses assassinent.
Jamais vous ne me convaincrez qu’en allumant une cigarette, vous ne vous sentez pas coupable de le faire tout en vous disant que c’est trop dur. Cela serait-il plus facile de voir une personne proche mourir à cause de vous ?
Oui, je sais, cela vous aide à maintenir votre poids. Mangez moins et vous le maintiendrez sans cigarette. Faites de l’exercice, cela aussi aide.
Et surtout, aimez vous pleinement avant qu’elle ne vous tu. Ne la laissez pas vous dicter votre conduite parce qu’elle parait vous calmer. Elle vous envenime la santé et celle de vos proches.
Pensez au jour, où votre amour envers eux aura surpassé votre satanique faiblesse.
Donnez-vous cette possibilité. Offrez en cadeau cette résolution à tous ceux qui vous aiment.
Une vieille grosse laide en mode anti tabac
Sur ce, je vous abandonne. Je cesse mon déploiement justicier sur ce sujet nocif qui me tient à cœur. Je désirais interpeller votre conscience, et j’espère y être parvenue. Le reste vous appartient. Même si je pense de plus en plus, que les parents qui fument, obligent leurs enfants à faire pareil. Pas pour rien qu’ensuite qu’ils vous copient. Ils ont fumé toute leur vie. Pour eux c’est un lourd handicap de vivre dans une maison où la fumée est au rendez-vous à chaque heure du jour. Vous ne leurs donnez pas le choix.
Ils empestent, mais vous ne remarquez absolument rien.
Krikri Ma Puce
(C. Labrèche)
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