Pour une entrée en la matière, se ne
sera pas très extrapolé de ma part. Je
le dis à maintes reprises, ma sommaire éducation, démontre que mon niveau d’oraison
n’est pas très agrémenté de grands mots et de grandes expressions. Sauf, que je
suis du peuple et je me dois d’exprimer en tant que bonne écrivaine, ce qui
pourrait passer dans la caboche d’autres personnes. Détail que j’ai déjà
expliqué ailleurs dans ce débris d’écritures ordinairement édulcorés.
Voici donc, l’opportunité, de parler
du non sens des attitudes des gens devant les problèmes multiples et que l’on
profite davantage de nuire que d’aider. Et cela pour moi, est une notion qui me
répugne.
Dans un hasard bien passé, je vois dans une émission de télé une
caricature qui me fait sursauter d'indignation. Moi qui dans le monde
politique, je suis portée à demeurer sceptique parce que trop de comédie s'y
joue. Là, je n’ai pu que me révolter à autant de laideur d’imagination.
Prenez note avant de lire la suite, pour ne pas prétendre de ma part
vouloir défendre Pauline Marois pour des raisons personnelles, que je suis
nullement une péquiste, malgré mon amour pour le Québec et un immense besoin
d'être respectée en tant que francophone.
Seulement, dire dans un dessin, que Pauline Marois est similaire au Costa
Concordia, le paquebot naufragé sur les bords d'une ville italienne est
complètement farfelue. Et désastreusement ignoble.
Mon esprit s'indigne parce qu'il ne voit rien d'amusant dans le dessin,
certes magnifique, mais Ô combien offensant. Juste imaginer une situation
inverse et j'entends l'indignation verbale de tous ceux qui seraient aussi
référencés par une image aussi peu respectueuse des victimes réelles d’une
attitude moribonde d’un homme qui n’a pas fait son devoir jusqu’au bout, malgré
que l’on peut comprendre la peur engendré par la néfaste action.
Sincèrement, voir l'image du Paquebot à moitié ensevelit et une Pauline
Marois sortie des anges et dire que son propre bateau coule en laissant autant
de victimes c'est indécent. Simplement parce que les similitudes sont
inexistantes. Marois c’est de la supposition, alors que le Costa Concordia c’est
la réalité.
Pauline Marois n'a pas fait encore couler son 'bateau' malgré les 'bonnes'
paroles dites à son égard devant les départs quelque peu absurde de gens soient
disant être derrière elle. Ce n'est pas Marois qui abandonne mais bien les
matelots. Alors que le Costa Concordia c'est le capitaine qui à sombrer dans la
lâcheté.
Donc, forcément, malgré les éclats de glaces, les avalanches de mépris à
son égard, Marois demeure debout, solide comme un Roc. Alors, il faudrait
plutôt reconnaitre sa force au lieu de la descendre aussi bêtement alors
qu'elle, elle ne quitte pas son navire. Au contraire, elle tente de le solidifier
avec de nouveaux atouts.
D'autant plus que Duceppe, Gilles de son prénom, commet des actions
déplorables laissant planer une volonté d'être le futur chef, advenant que Mme
Marois partirait. Comme une lâche prête à quitter Son navire comme ce capitaine
du Concordia. Alors que tout cela était de la politique de bas étage, sans
aucun respect et non, un argument basé sur des faits.
Et pour conclure ma répartie frustrée envers une volonté foncière à
vouloir dénigrer au lieu de reconnaitre la force de résister à l'épreuve du
naufrage au bout de l'océan, une femme qui garde la tête haute, est d'un sournois entêtement à prendre le
même modèle pour détruire une idéologie au lieu de reconnaitre sa solidité.
De cela, je puis dire qu'elle mérite notre respect. Que nous ne l'aimions
pas, que son parti ne soit pas le nôtre, cela mérite tout de même de
reconnaitre qu'elle tient fort son navire, et le gouvernail, loin d'être
affaibli, prend de la force. Qu'on se le tienne pour dit.
Et que les médias tournent leurs regards vers d'autres potentiels
squelettes. Après tout, ces os là, ne
sont pas prêts à se laisser gruger la möelle.
Le bateau fort de Pauline Marois s'éloigne de la côte dangereuse et de
la vermine qui la prétend morte avant de voir son cadavre dévasté par les rats
politiciens qui ratent lamentablement leurs diffamations.
Non, la politique n'est pas mon fort. Et encore moins mon phare. Quoique
que j'aime bien le NPD, au provincial je suis secouée par la vague du cynisme
qui me dicte mon attitude dépourvue de volonté et de pensées positives.
C'est comme de régurgiter la même bouffe à longueur de jour, sans
variante et toujours avec le même goût amer qui demeure dans le fond de la
gorge, à saveur de bile et de vinaigre.
C'est âcre, ça ne goûte pas bon et sa détruit la philosophie de croire au
meilleur pour l'avenir.
Une vieille grosse laide ironisant
J’espère que cela n’aura pas été trop
ennuyant pour vous. Que cette lecture aura eut une quelconque saveur d’intérêt
sans pour autant m’attendre à une sorte de gloire ordinaire dans l’expression
la plus simple du commun des mortels.
Je suis une femme, dans le bord du
rivage de la vieillesse, pas très sexy pour ne pas dire, du tout, lucide,
quoique rêveuse aussi. Mais qui a perdu sa foi envers l’humanité. Tout en
gardant un brin de confiance pour ne pas souffrir de folie en la noirceur du
monde.
Sérieusement, je vous dis merci de
votre lecture.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Remarque : Seuls les membres de ce blogue sont autorisés à publier des commentaires.