Est-ce que notre propre énergie est renouvelable juste parce que nous carburons à la bouffe fine ou bourrative ? Est-ce que nous parvenons à renforcir notre moteur juste parce que nous avalons n’importe quoi ou est-ce que nous parvenons à bien faire rouler le bolide si on lui fait ingurgiter une nourriture plus saine ?
À vrai dire, ces questions ne faisaient pas parties de ma première ébauche d’écriture. Elles sont venues à moi comme une gangrène qui vous avale tout jusqu’au moment où vous élaboreriez dans son sens.
Venant à bout de votre résistance.
En ce samedi matin du 7 janvier 2012 cela va de soi, à régurgiter ma littérature quelque peu grave, je me dis que si c’est là, c’est que ça devait y être. Parce que j’ai comme principe que rien n’arrive pour rien et qu’il faut juste savoir attendre pour en comprendre la raison fondamentale.
Malgré, et je l’avoue, que cela ne soit pas toujours aussi simple.
Bref, je vais en venir à la principale cause de cette vomissure de mots qui s’exprime plus vite que ma logique dans l’espoir que tout cela aura un véritable sens. Parce que ma carcasse n’est pas du bon pied ce matin, même si elle est debout depuis presque deux heures déjà.
Un ordinateur demeuré ouvert est aussi nuisible qu’une bouffeuse devant une jarre de biscuits demeurée elle aussi ouverte. Trop tentant. Quoique cette fois j’ai fort bien résistée à la jarre. Pas à l’ordinateur.
Ce qui me cause une bonne occasion d’accoucher aussi lamentablement d’un tel sujet qui me tenait tout de même à cœur pour en voir la couleur d’un foncé à fond pâlotte et que là j’en viens à bout non sans souffrance énergétique.
Que mon premier café s’imposait. Sinon mes pauvres neurones qui ne vivent pas à la vitesse d’un QI en surabondance auraient abandonnées la course.
Tout semble si loin maintenant. Noël! Le jour de l’an! Comme si une époque bien révolue était véritablement dissoute.
L’époque du gavage est bel et bien dépassée.
Le recyclage des restes est engloutit ne laissant aucune miette aux indignés de la classe moyenne qui triment aussi dur, autant que les démunis de la rue, à se suffir dans leurs médiocres nécessités que personne ne revendique.
Ils ne voient plus la lumière. Leurs misères la rejettent.
Elle est dissimulée derrière un mur de froid et d’incompétences. Les abrutissant de faim et de faux savoir pour les détourner de la vérité ensevelit sous la terre infecte qui crache son venin à l’odeur de dollars trébuchants et sonnants. Faussant la donne sur la réalité polluée de fausses sceptiques.
Leur offrant l’illusion d’espoir dans l’or noir puant et nocif circulant sur les terres volées pour encore une richesse empoisonnée aux générations futures qui payeront cher l’indifférence gouvernementale qui se moque ouvertement du bien de l’humanité.
Ils font fit de l’énergie plus propre telle que, les éoliennes, l’électricité, l’éthanol et le recyclage, pour ne nommer que ceux-là. C’est qu’il ne faut surtout pas appauvrir les riches. Il faut leur graisser l’appendice qui leur sert d’intelligence pour s’assurer des contrats qui feront de nous une société dénuée de conscience environnementale et humanitaire.
Il faut mieux se prostituer sans vergogne là où se trouve l’argent que d’être à la hauteur des attentes planétaires envers l’humanité qui aspire à de l’air plus sain et une atmosphère plus légère. Parce qu’innover c’est dégradant et qu’offrir la chance à des idées plus neuves, plus saines sont trop risquées.
Oui, il vaut mieux poursuivre dans ce sens, à polluer, à dégrader l’humanité, à détériorer notre réputation d’un pays riche et sain d’esprit et d’appauvrir ceux qui possèdent moins que rien.
Après tout, ça ne concerne personne.
Après tout, ce n’est pas nous qui payons. Si ce n’est que de notre minable santé et celle de nos enfants qui devront encore plus s’étouffer et respirer des pompes. Asthmatissant légalement le peuple mondial d’ordures néfastes pour la santé de tous.
C’est si difficile de prendre de bonnes décisions écologiquement et environnementalement réalisables. Ce n’est qu’un jeu d’enfants. Mais ceux qui nous gouvernent, trouvent cela trop compliqué.
Ce serait pourtant si simple de se démarquer. De montrer le chemin à suivre. Pour une fois qu’on serait les premiers. On franchirait la ligne du respectable au lieu du mépris mondial qui s’affiche de plus en plus dans les médias par les attitudes arriérées d’un homme aux idées rétrogrades.
Même la taxe aux carbones devient risible pour les personnes qui se foutent totalement de notre belle gueule et qui nous prennent pour des stupides innocents à l’âge des couches lavables et recyclables.
Non! Nous sommes trop naïfs pour comprendre l’enjeu de l’argent qui brime l’intelligence de l’énergie renouvelable, durable, recyclable et tous plus propre que l’or noir dissimuler dans des sols bitumineux et des gaz de shit qui font des ravages. Non! Nous sommes trop idiots pour comprendre que le bon sens n’est qu’un bonus supplémentaire et que là où les riches abondent, ce bonus est absent dans le cœur et l’âme de ces derniers.
Effectivement, mon absence de DEC fait de moi une nulle aux regards des gens qui polluent l’humanité et qui dépenses notre avenir dans la destruction massive de notre belle province et de ce Canada qui est légalement mon pays. Comme si, un diplôme donnait d’emblée une intelligence saine et humanitaire et que nous on avait rien dans l’âme et dans le cœur pour ne pas comprendre la folie de grandeur des hommes et des femmes imbus de leur sale supériorité qui détruit l’altruisme véritable.
Une vieille grosse laide dégoutée
Évidemment, je suis trop ignorante pour comprendre et pourtant, je suis loin d’être la seule à maudire les enjeux politiques qui n’ont que le signe de dollar dans le cœur pour dépenser là où on pourrait évoluer et améliorer notre atmosphère tout en progressant dans les idées nouvelles.
Les Ministres ne veulent pas aller de l’avant. Ils sont trop sectaires et imbus de leur satané pouvoir qui cela les aveugles des vrais enjeux mondiaux.
Dormez chers gouverneurs. Humez votre gaz de shit. Emmitouflez-vous avec vos sols bitumineux, dorlotez-vous avec vos carbones qui empestent l’air. Soyez aux petits oignons avec votre progéniture qui mourra sous un masque à gaz fabriqués de pétrole et d’ammoniaque.
Ça me répugne une telle noirceur d’âme.
Krikri Ma Puce
(C.Labrèche. MTL)
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