Un autre jour qui s’amorce et me voilà dans l’obligation de parler de la Coalition de François Legeault. Mais n’ayez crainte, je ne fais que survoler le sujet pour me rendre directement dans une école du Québec pour parler d’un sujet qui m’électrise fortement.
L’intimidation.
Je me réveille en ce mardi 15 Novembre 2011 avec une ruche d’abeilles qui bourdonne dans mon petit pois du désir profond d’une masturbation de lettres qui s’accumuleront dans des vers aux rimes discordantes.
J’ai tant à écrire, que je ne sais trop par où commencer. Et la réalité me prendra par la main pour aller servir l’humanité du devoir de mère qui m’incombe. J’ai raté l’aube alors il me faut agir au bon sens du terme.
Basta!
On ne peut rient contre la réalité de notre vie.
J’espère que vous n’avez pas en tête que je suis le genre d’écrivaine qui a besoin de son café bien corsé et de sa cigarette avant même d’aller aux bécosses et de fixer la lumière artificielle pour débuter ses premiers maux sur son clavier aux lettres effacées. Sinon, vous serez plus que déçu.
J’ai tant à formuler et le temps qui me cour après que je sais que la frustration sera ma compagne au fil cassé de cette journée morose qui s’amorce étant donné que je dois m’abstenir de partir en peur pour exprimer ce que mes petites abeilles m’ordonnent de vous communiquer. Hey oui, mes synapses s’entrechoquent, m’électrifiant la pensée trouble de mes idées sanglantes.
N’empêche, que je n’arrive pas à me contenir et je continus de caresser ces touches noires avec délicatesse avant d’abdiquer pour formuler vivement ma pensée. Je ne veux pas perdre l’inspiration qui me tenaille et parvenir à regarder la page blanche et m’interroger sur ce que je voulais écrire alors qu’en cet instant si précieux tout se bouscule dans mon intelligent esprit. Hey! Hey! Mon estime remonte d’une coche là. C’est formidable!
Sinon, aussi bien ne plus me pavaner et me cacher sous la glace et attendre au printemps. (Quoiqu’en ce moment il fait aussi doux comme si l’hiver était déjà mort avant d’avoir existé. C’est l’état climatique me diraient certains érudits)
Bah oui je suis un tantinet orgueilleuse. Mais quoi ? Je n’ai jamais prétendu que j’étais parfaite et Dieu merci je ne serai donc jamais un animal de cirque comme bon nombre de politiciens et autres personnalités qui se pètent les bretelles d’une trop grande estime de soi.
Je vais juste déparler pour ajouter un point de presse sur la Coalition Avenir Québec. Oui ce nouveau parti dont je vous parlais hier. Non, pour l’instant je n’ai rien de plus à ajouter, si ce n’est le fait que les médias ont fait eux aussi leurs devoirs. Une journée avec François Legeault c’estverry important.
Ceci étant noir sur blanc, j’en suis rendue à la suite des événements des informations qui ne manquent pas d’intérêt. Comme quoi la vie n’est pas un fleuve tranquille. Je me demande même qui a pu dire une telle idiotie.
Parce que la suite est loin d’être tranquille.
Sincèrement, je suis bouleversée. Quand l’intimidation te mène à désirer tuer quelqu’un c’est que le mal qui ronge la société étudiantine est palpable.
Comment en vouloir à un jeune qui explose devant toute sa classe perdant la tête dans cet instant de pure folie poignardant son bourreau qui ne cessait de le harceler? La peur, le silence ont fait en sorte que ce jeune devenu bourreau à son tour c’est donné justice.
On aura beau dire, ou peut-être pas assez après tout, qu’il ne faut jamais garder pour soi ce genre de situation qui mène au drame. Là ce fut la réaction violente envers un tiers et non envers soi-même qui mène dans ce moment là, au suicide. Rien ne sert de clamer qu’il aurait pu… Pourquoi n’a-t-il rien dit ? … Bla! Bla! Bla! Si facile de dire quoi faire.
Seulement, c’est si difficile de parler. D’admettre que nous sommes la risée d’une bande. Difficile d’aller palabrer de notre mal intérieur. Et là, ce ne sont que des jeunes qui tentent d’expérimenter la vie du mieux qu’ils peuvent et là, un jeune est poignardé. J’espère seulement que le blessé s’en remettra. Je ne souhaite vraiment pas à l’intimidé d’avoir un dossier criminel parce que son mal était si puissant qu’il a prit cette manière absurde de s’exprimer. Oui je dis absurde. Parce que vu du regard des adultes ce l’est. Mais peut-on se mettre pendant quelques secondes à la place de ce jeune qui ne savait plus comment faire arrêter cette roue qui tournait sans cesse et qui dans sa tête était devenue gigantesque qu’il désirait lui y mettre un terme, et ce, brutalement ?
Moi je le peux. Sans pour autant accepter une telle action. Cette fois encore on aura fait le tour du monde avec une nouvelle à l’américaine.
Je désire ardemment que les deux jeunes et les élèves de cette école de Louiseville, L’Escale, parviennent avec le temps à mettre derrière eux cet instant de folie et trouver le moyen de mettre un frein à l’intimidation.
Maintenant je me dois de passer à autre chose. De retourner à ma vie de mère pour poursuivre l’aide envers mes petites créatures féminines. Je vous reviens bientôt… Avec une bonne tasse de café oui…. Mais pas de cigarette. Beurk! Je tiens trop à mes poumons pour leur offrir une dose nocive à chaque respiration et ainsi je parviendrai peut-être à mettre en veilleuse ce drame qui parle véritablement d’un mal de société.
La vieille grosse laide vous dit... À tantôt.
J’avoue qu’explorer ce mal démontre qu’il engendre la violence et que parfois, on peut être très surpris de la réaction des victimes qui subissent cette lamentable attitude de ceux qui désirent du pouvoir malsain.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche
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