Je reprends un peu du service. Ma fertilité cervicale me redonne un peu d’estime et me pousse devant pour réagir à quelques nouvelles qui me perturbent l’ourlet de la décence humanitaire.
WOW! Je viens d’écrire une expression qui m’est propre. Je me régale de ma dextérité imaginative à formuler des mots qui en théorie ne vont pas si bien ensemble.
Toutefois, je me dois toujours de respecter le temps qui s’écoule dans le sablier de la vie, ça, surement que ça déjà été dit mais j’aime bien jouer avec les mots. Un plaisir sensuellement respirable dans l’aura de mon estime qui descend plus souvent qu’il demeure au faîte de ses réactions quand la magie se produit en continu et me procure une sensation jouissivement morale.
Cela fait tellement de bien et c’est tellement bon!
Mais, je me dois encore une fois d’emboiter mes pas dans mes bottes et d’aller fouler la petite neige froide, cela va de soit, et de reconduire à mi chemin ma grande qui s’en retourne à l’école de l’apprentissage pour une fin d’après midi qui s’amorce.
Le redoux débute déjà, que la neige fond doucement. Dire que demain il fera presque 10 degré. De quoi voir disparaitre le bonhomme blanc, qui déjà a perdu la tête.
Ne jamais trop se décourager.
Et si facile à dire.
Par contre, chaque bon moment est un délice qu’il faut savourer quand il s’annonce. Ainsi on avance et on perçoit un peu plus tout le chemin parcourus au travers des monticules de déprimes.
Allez ma Krikri, va de l’avant et chaque instant lyrique qui sort de ton littéraire est une victoire durement gagnée et qui mérite d’être mentionnée au temple de la renommée de la fierté personnelle.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche
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