En avant l’idiotie. En avant l’absurde
pour se donner bonne impression. Pour se donner l’estime condescendant d’une auteure
en marge de réussite qui s’écroule dans le stress et fait fit de la maîtrise du
genre pour sauver la face d’une prose qui s’impose dans le ridicule. Tout en
donnant la sensation d’être à l’écoute de la masse populative, à l’écoute d’un
écart de radiation névrotique. Comme quoi, reconnaître sa part de folie
cervicale procure une clef vers une porte fantaisiste oeuvrant dans l’abondance
imaginative.
Bref, je vous ferai voyager dans les
mots outrageusement exprimer dans le seul exercice de vous départir de vos
habitudes usuelles et indolentes.
Bienvenue dans mes pensées profondes
alliées à mes pensées communes. S’accordant à se croiser et à vous offrir un
exercice d’élasticité verbale. Qui parfois, vous fera réfléchir au point de
sentir à l’arête de votre nez, une petite effrontée qui vous picotera le bout
du duvet.
Vous êtes prêt ?
À l’attaque!
Au
commencement, Dimanche, 13 novembre 2011.
Dans la
vie faut savoir rire de soi. C’est ce que j’entends partout dans les médias. Si
on ne réussit pas ce genre d’exploits on n’arrivera à rien dans la vie.
Vrai ?
Faux ? Je n’en ai aucune idée sauf si je me réfère aux plus grandes victimes qui
soient, les politiciens ils le font à la perfection.
Tout le
monde le sait, que ces derniers, s’ils n’avaient pas le sens de la dérision et
de faire fit des blagues stupides à leurs égards, provenant de plusieurs
journalistes dicte humoristiques ou sérieux (ça c’est à vérifier vu l’étendue
de la bêtise humaine) qui ne cessent d’écrire des balivernes à leurs bonnes
intentions et des véritables humoristes, enfin ceux qui prétendent à ce titre,
bien à l’heure qu’il est, ils seraient tous fous et enfermés dans les asiles de
notre magnifique province depuis belles lurettes.
Je les
félicite avec grandiloquence de gestes extravagants.
Seulement,
je ne suis pas politicienne et ni à faire rire le monde. Encore moins
journaliste même si c’est mon rêve depuis ma toute petite enfance. Heu d’écrire
pas être journalise d’accord ?
Car écrire
pour moi est une passion. Une nécessité. Viscéralement j’ai un grand besoin
fœtal de m’exprimer.
Sauf que
je démoralise souvent croyant peu à un supposé talent qui me démanche le bout
des doigts. Que ce soit avec un pousse-mine ou assise devant mon ordi pianotant
sur mon clavier à défaut de savoir jouer les notes d’un piano, je compose ma
propre musique qui souvent est discordante par rapport à mes pensées primaires. Parce que dire ma véritable pensée serait
déplaisante à bien des niveaux et je ne suis pas certaine que je pourrais tout
assumer sans que l’on m’enferme à mon tour dans un asile causé par une folie
élaborée de toute pièce. Après tout, je suis mère de famille. J’ai des
responsabilités et jusqu’à aujourd’hui je n’en ai pas dérogé. Donc, il me faut
rester sage malgré le brin de folie qui rôde toujours.
C’est
peut-être se qui me retient! Qui sait ?
Pourtant
j’aimerais tellement pouvoir publier un jour. Voir mes écrits sur fond de
lecture quelconque, parce que des variantes il y en a partout que maintenant on
ne sait plus trop sur quel médium que l’on désire paraitre en premier pour ne
pas s’être trompé de cible et avoir raté sa chance, que l’on demeure dans son
trou rongeant son frein si ce n’est pas de manger ses bas à défaut de renommée
littéraire.
Bon trêve
d’écart de conduite, il me faut para-cheminer ma pensée profonde sur ce problème
qui me taraude l’entre des deux tempes. Pour ainsi dire, la cervelle qui
m’élance d’un stress qui m’accapare et m’empêche d’aller de l’avant dans mon
génie temporaire.
Non
mais, voyez-vous ce que j’écris ? Que des idioties. Et qui voudrait bien lire
un écrit si peu inventif ?
De nos
jours, il faut être si doué en tout. La performance est une dominance qui
laisse peu de place à ceux et celles qui doutent de leurs potentielles
capacités mettant généralement l’accent sur leurs faiblesses.
J’en
suis. Je l’avoue humblement. Mais voilà, l’humilité est dorénavant un défaut.
Il faut savoir être prétentieux, menteur pour parvenir à vendre sa propre
salade. Et je ne suis pas une menteuse. Je déteste le mensonge, même si la
perception des choses peut ressembler aux mensonges. Il est si facile de crier
à la tromperie alors que lire entre les lignes est mal interprété et que se
sensibiliser aux émotions d’autrui fait que l’altruisme prend le bord pour
s’éloigner face à cette course à la perfection.
Je ne
suis pas prétentieuse. Loin de là. J’ai un physique déplorable. Croire le
contraire serait une insulte à l’intelligence humaine. Ce qui me fait dire que
jamais je n’aurai ma chance dans un monde axé sur la performance et
l’apparence.
Surtout
venant des femmes. Parce que des petits laids, gros mêmes, il y en a. À la
pelleté. On voit même des belles femmes tout autour. Sexys, jeunes et tout ce
qui vient avec ça. Mais… Oui, oui. MAIS! Et en grosses lettres s’il vous plaît.
L’inverse n’existe pas. Ou si peu, que le mentionner c’est dérisoire. Voir des
femmes laides, grosses, entourés d’hommes au physique rêveur serait flatteur
pour l’égo mais combien dégradant d’en être arrivé là juste pour être reconnue.
Et voilà, que cela sonne une cloche discriminatoire.
Serait-ce
que l’homme manque de jugement pour accepter de pavaner avec de belles
créatures alors qu’il a un physique des plus banals? Non, c’est simplement,
qu’il s’accepte tel qu’il est sans trop mépriser sa propre race. Alors que la
femme, elle… C’est une toute autre histoire. On pourrait dire qu’elle a plus de
fierté, mais ce serait ne pas être exact dans la vérité des faits.
Sexisme!!!
Et je le crie dans le sens du dégoût. Parce que la femme aux regards des gens,
doit toujours être sur son trente-six. On n’accepte pas une femme qui n’a pas
un physique aguichant, parfait, sensuel et tout ce que comporte un déhanchement
immoral. Même les femmes sont mysogine alors qu’une grande masse se vente
d’être féministe.
Que de
la poudre aux yeux.
Car ces
dernières sont les pires. Elles renferment les femmes dans un moule leur
empêchant d’être elle-même les méprisant encore pire que les hommes.
De nos
jours, les femmes sont si cruelles envers leur propre espèce que ce sont elles
qui détruiront la gente féminine.
Celles
qui au siècle dernier ont été les suffragettes qui se sont battues pour la
bonne cause donnant aux femmes le droit à l’égalité. Le droit de vote, le droit
de prendre la place qu’elle désirait. Celles-ci méritent notre respect. Parce
que sans ces suffragettes, nous serions rien. Nous serions qu’au service de la
procréation sans limite en pataugeant dans la défection des hommes aux regards
rétrogrades.
Mais
celles qui aujourd’hui, détruits la liberté des femmes en disant à celles qui
désirent rester à la maison ou ne pas aller plus loin dans leurs études, sont
la honte des féministes. Je leur dis à celles-ci qu’elles ne respectent pas le
droit fondamentale du féminisme. Celle du droit personnel de la femme même de
décider pour son propre choix à elle. C’est cela d’être libre et d’avoir le
choix.
Le
véritable féminisme, est d’avoir le droit en tant que femme d’agir en fonction
de ses désirs propres. Non pas d’un féminisme borné et sans âme qui méprise la
femme simple et ordinaire.
Parce
qu’en plus, il faudrait être une femme parfaite. Posséder un corps parfait. Ne
plus avoir de temps pour relaxer. Sinon quoi ? On est des paresseuses ? Des
femmes qui vivent aux crochets de son acolyte ? Être un objet de société pour
le paraître d’un slogan qui ne raisonne plus de la même manière ?
Le
féminisme devrait évoluer à son tour au lieu de stagner dans une bulle
minuscule qui n’a plus sa raison d’être qui bientôt va imploser par sa
petitesse d’esprit.
Parce
qu’à cause d’elles, les femmes ont cessé de procréer par peur du regard de
autres femmes au mental dégradé et qui accusent celles venues d’ailleurs
d’avoir le courage d’offrir des enfants à une société en chute libre par la
baisse des naissances. Je ne dis pas qu’il faut faire vingt enfants pour redevenir
ce qu’étaient nos ancêtres. Mais avoir la générosité de poursuivre la
démographie pour ne pas qu’un jour une population dicte évolutive s’engouffre
dans la disparition par l’égoïsme de ces femmes en mal d’être plus généreuses
et à l’écoute de ce qui sera un avenir déficitaire et en chute libre. Car plus
la population ralentie dans sa croissance, plus elle sera en difficultés pour
aider ses citoyens. Pas besoin d’aller à l’école longtemps pour comprendre que
l’on ne peut pas donner plus que se que l’on possède. Car s’endetter n’est pas
la solution pour progresser mais bien le contraire. La preuve en est les pays
comme la Grèce et l’Italie, si ce n’est que de nommer ces deux là, qui
démontrent clairement qu’il faut savoir cesser de donner à tort et à travers à
des enfants gâtés qui exigent sans réaliser que l’argent ne pousse pas dans les
arbres et que le crédit tel un boom-rang rebondit un jour pire qu’une gifle
magistrale.
C’est
comme les syndicats. Eux aussi devraient évoluer au lieu de chercher à nuire
aux pauvres syndiqués qui pour un rien se voient flageller d’une amende juste
parce qu’ils ne pensent pas pareil ou qu’ils désirent garder leur emploi parce
qu’ils ont une famille à nourrir. Un loyer à payer, voire une maison avec des
taxes et une hypothèque. Si un jour les syndicats ont été nécessaires,
aujourd’hui ils deviennent trop gourmands dans leurs revendications qui ne
prennent pratiquement plus en ligne de compte les véritables revendications des
employés ou sinon c’est exiger un salaire qui dans une économie en baisse n’a
pas sa place. C’est juste dommage que
tout cela soit devenu si déplorable.
Quand tu
gagnes 30 dollars de l’heure pour exiger moins d’heures de travail c’est rire
de ceux qui travaillent à beaucoup moindre et qui sont fières des heures qu’ils
donnent sans s’arrêter aux petites conneries qui font rire la masse
populative. Sincèrement, quand les gens
cesseront-ils d’être des enfants pour voir la réalité en face et admettre que
pour qu’un pays ne plonge pas dans une récession drastique, doivent faire des
concessions et non exiger sans cesse comme les gosses qu’ils sont, effrontés et
sans jugements ?
La performance,
la technologie et la recherche de la perfection absolue démoliront l’avenir. Il
y a aura de plus en plus de chômeurs et d’appauvris.
Un jour,
même les pays soit disant riches seront aussi pauvres que les pays tel que la
Somalie. Mais rendu là, il sera trop tard. Trop tard pour réagir. Trop tard
pour faire son mea culpa.
On est
dans une ère où personne ne se préoccupe des véritables sources des problèmes
de notre époque. On préfère se mettre la tête dans le sable feignant ainsi voir
surgir la catastrophe de ce qu’aura engendré l’égoïsme de notre siècle et du
siècle précédent par toute cette technologie qui retire plus que le pain de la
table de milliers de gens. Elle retire le droit à la dignité humaine. Le droit
à une vie agréable sans être riche à outrance. Juste le droit d’être bien dans
sa peau sans se pavaner avec sa richesse qui certes en éblouis plusieurs mais
fait surtout prendre conscience combien ces derniers se préoccupent peu des
plus démunis de la société universelle. Non il est préférable de tuer son
prochain en conduisant dans un état lamentable ou encore de lire un texto pour
ne pas rater la dernière poésie qui sera en vérité la tragédie d’un bain de
sang qui rougira l’asphalte d’un coin de rue pour avoir eut l’orgueil mal
placé.
Mais
voilà, comme je suis grosse, laide, incertaine de mon talent et trop vieille
pour vraiment comprendre la jeunesse qui ne regarde que son petit nombril qui
elle, ne s’arrête pas pour voir son avenir détruit par son inaction volontaire
en pleurant de ne pas posséder un cellulaire pour texter à tous ses amis ne
s’interrogeant surtout pas sur l’inutilité d’un tel jouet, je vais freiner mon
ardeur.
Encore
le paraitre au détriment de la générosité. C’est tellement lamentable que je
m’enferme plus aisément dans le découragement que la prétention.
Bien, je
suis là à écrire sans que personne ne voit se que je ponds comme lecture
subversive. Parlant contre des glorieux d’un siècle révolu qui n’a plus le même
son de cloche dans une époque où la misère s’accentue abandonnant l’être pour
le paraître. Abandonnant l’altruisme véritable pour la gloire de la prétention
de sembler généreux devant les caméras.
Seulement,
je dois avouer, honteusement, que moi-même, je n’aide pas autant mon prochain
que je le voudrais. Je me sens si nulle et dérisoire que je me demande se que
je pourrais apporter à mon voisin étant aussi misérable que n’importe qui.
Malgré que l’apparence laisse croire à l’abondance.
Simplement,
parce que l’on ne sait jamais ce qui pend au dessus de la tête de nos voisins,
laissant notre esprit vagabonder juste parce que le paraître laisse croire tout
le contraire.
On dit
que l’habit ne fait pas le moine. Sauf que l’on se fit aisément à ce que nos
yeux perçoivent au lieu d’écouter son cœur et son âme pour aider son prochain
sans juger et sans condamner. Et cette dernière est bien plus facile à
construire qu’à laisser de coté.
Ce qui
fait que rire de soi est plus compliqué qu’il ne parait. Plus audacieux que
d’être généreux. Parce qu’il faut du courage et de l’abnégation de soi pour
parvenir à survivre aux moqueries de l’intimidation masquée.
J’applaudis
donc la fausse indifférence des politiciens devant les répliques multiples de
tous ces gens qui décrient ostentatoirement le mépris envers eux. Même si
souvent c’est mérité, il n’en demeure pas moins, que le vivre n’est pas un
plaisir heureux. Mais un supplice dont il faut faire avec son dérèglement de
compte.
Voilà,
je me dois de vous quitter, parce que bientôt, dans mon quartier, je devrai aller
faire ma demande d’un panier de Noël pour que cette fête soit un peu plus
agréable. Ceci sans que cela paraisse dans notre communauté. Parce que
nombreuses personnes ne comprendraient pas, qu’en ayant une maison, on n’a pas
à quémander une aide pour passer un meilleur temps des fêtes malgré que le
revenu soit plus que dérisoire.
Ça prend
beaucoup d’humilité pour aller quêter un panier. Mais ceci les gens ne le
réalisent pas vraiment. Ils croient tous, que les personnes qui en arrivent à
cette aide, ne sont que des vauriens qui sont fainéants et sans courage.
Donc, la
grosse laide que je suis, ne réussira jamais à faire publier quoi que ce soit
et continuera à être aux crochets d’une société qui lui crache dessus sans
vraiment comprendre le mal intense qui se dissimule derrière la laideur
humanitaire. Il est préférable d’être beaux, performants, être sur le point de
faire une crise cardiaque et garder ses œillères. Ça passe tellement mieux
ainsi. Comme cela, on n’a aucunement besoin de se remettre en question et en
cause. Les paresseux n’ont se qu’ils méritent. N’est-ce pas ?
Moi la
première.
D’une grosse vieille
laide.
Quand le surnom que je me donnai en ce
premier jour de l’actualité, s’exprimant de lui-même pas mes doigts
enflammés, je ne pus que sourire et
m’extasier sur mon inspiration imaginaire. Non pas que je voulais me dissimuler
derrière un simulacre de nom d’emprunt,
mais je trouvais amusant d’identifier l’auteur de ses écrits par un pseudonyme
comme on le fait sur le net.
Et pas n’importe lequel.
Après tout, cela rendrait non pas ces
remarques sans importances, mais démontrerait une certaine forme, pour ne pas
dire un certain style. Du laisser aller sans que moi, je me prenne totalement
au sérieux. Parce que mes impressions suite aux informations de tous les jours
glanées à la télé et sur le net, bien, demeureraient tout de même une
perception personnelle et parfois dépassant non pas ma pensée mes l’ampleur que
cela pourrait créer comme impact sur autrui.
Je suis si peu éduquée. Scolairement
parlant. Alors comment puis-je avoir une vue pénétrante de tout ce qui se passe
autant à Montréal, au Québec et partout ailleurs dans le monde ? Seulement je
me dis que cela peut toucher la pensée collective comme l’ont fait les indignés
du monde entier dans les parcs des villes. Donc, à moi de jouer à ma façon et
l’avenir me dira si j’ai eut assez d’audace et de courage pour aller jusqu’au
bout et à nouveau de tenter l’expérience
de publier et assez de créativités pour stimuler mes synapses à écrire
effrontément ce qui me vient au cœur et à l’âme.
‘’HO! LA! LA! Il ne faut pas partir en
peur ma belle Krikri. Sinon, bientôt faudra déjà que tu penses à te ramasser à
la petite cuillère avant même d’écrire une centaine de pages.’’ C’est donc, la
tête entre les jambes que je poursuivrai la suite de mes pensées. Ma facilité à
grimper joyeusement au plafond ou à m’écrouler de découragement, m’inspirent de
garder la tête froide et l’âme aux aguets.
Ce qui m’amènera au thème suivant dans
un laps de temps indéterminé. Parce que là je pleure presque d’exaspération. Il
me faut aller faire du ménage en vertu de quelques petites fêtes en invitations
en deux jours cette fin de semaine qui vient, spécifiant ce vendredi au dîner
et ce samedi après le souper. D’autant plus que ce jeudi j’ai rencontre à
l’école pour ma fille de 13ans en pensant que j’aurai pour les occasions deux
gâteaux à faire.
Heureusement le papa à beaucoup fait
dans la maison. Ce qui allège la surcharge de travail et honnêtement, cela
stimule agréablement mes méninges d’être ainsi à l’affût du temps disponible.
M’aidant ainsi à écrire à tout moment ce qui se glisse dans la boîte à outil
des neurones gonflés à bloc.
Je ramasse donc mes larmes et mon débit
et me voilà à quitter l’ordinateur et même le fermer, pour aller d’un premier
temps faire la vaisselle et ensuite venir épousseter le coin de l’ordi pour
qu’il ne brille plus de poussière. Gardant en moi cette joie dérisoire qui me
fait survoler le temps d’un instant, la possibilité d’avoir du talent.
Je m’arrête donc en lâchant un grand
soupire, parce que je dois l’admettre j’ai une facilité merveilleuse à débouler
ma pensée et du plaisir à l’imprimer. Ce
qui me ramènera bien assez tôt pour la suite de cette aventure qui me passionne
toujours autant.
Krikri Ma Puce
C.Labrèche
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Remarque : Seuls les membres de ce blogue sont autorisés à publier des commentaires.