Une suite
d'idées qui se moque de l'indifférence.
Elle est
venue en cavale dans ma tête pour que je la décortique. La fatigue
du levée matinale et les neurones en marge de bon sens, font que je
n'arrive pas à formuler en maux ce qui me triture les méninges.
Enfin, si
triturer il y a dans ce temps éperdue de nuages enfouis et de brume
en laisse dans une cervelle enseveli sous un tas de bâillements.
Je ferme les
yeux pour un chuintement de logique qui échappe vite au filet de ma
résistance qu'elle s'évapore en omettant de m'offrir un semblant
d'aperçu pour donner un brin d'intelligence qui elle aussi s'envole
sans demander son reste.
Que me
reste-t-il ? Le vide astral aux effluves d'étoiles mystiques qui se
voient que sous l'emprise d'une incertitude aux pensées larmoyantes
qui me font pleurer des mots inutiles sur un parchemin
artificiellement inventé qui ne brime ni arbre ni forêt au parfum
de rien que les narines aspirent sans parvenir à ressentir nul
plaisir pour offrir l'inspiration joyeuse de sa véritable nature
d'antan.
Je me tais
avant de devenir trop ordinaire désirant le dérangement des lignes
à la plume en pesanteur frappant le noir sur blanc de bout de doigts
fébriles et insensés qui délaissent la logique pour l'abstrait.
Vous stressant la pensée en effets dérisoires tout en vous
stimulant le frontal d'erreurs de frappes et d'absence de logiciel
pour comprendre ce langage sans intérêt véritable à la volonté
de secouer votre ouïe visuelle.
Sur ce, je
vous salue la déraison qui vous offrira la compréhension en tant
voulu.
Bonne
journée à vous tous.
La dérangée
des neurones matinales.
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