Voici mon petit dernier
concocté la veille et terminé ce matin. Je vous l'offre avec ce
détail non énoncé dans l'article. Il a été provoqué par un
billet sur G+ où une dame qui avait écrit un article avait eut des
remarques bien grossiers. Ce qui m'a donné de l'inspiration pour ce
qui suit. Le temps manquant je l'ai terminé et peaufiné ce jour.
Pas assez sous silence!
Un an sans être présente.
Enfin presque! Surtout sur ce blogue. Car ailleurs je me suis pointer
régulièrement comme on se pointe au travail et poinçonne sa
présence, en arguments dérisoires et éphémères.
Une année ou la crotte
nauséabonde n'a pas laissé de trace dans le fond d'un écrit pour
vous emmerder délicieusement.
Un an à mijoter la sauce
brune qui pourrait vous faire déconner et dire la vérité qui vous
cloue le cerveau par la peur de sentir trop mauvais. Moi les traces
ne me font pas peur. Elle me donne l'heure juste de votre décadence
d'hygiène verbale. Et ça m'amuse.
Parce que des mots ne sont
que des lettres qui ne veulent rien dire à proprement parlé. Même
si elles ont le flux fragile et dégoulinent de votre orifice verbale
bien je me dis que vous n'avez pas apprit à bien dialoguer. Que le
mépris est votre fierté par le manque de confiance d'éducation
sérieuse à vous prendre en main et vous essuyer correctement la
virulence de vos maux.
J'aime bien jouer avec les
sens pour rendre plus complexe la compréhension. Quoique les érudits
auront vite faits de réaliser la triche et verront la nuance
apportée. Alors que les emmerdeurs notoires d'une minable retenue
auront vite fait de déféquer ailleurs parce qu'ils ne trouveront
pas les effluves adéquates pour les rendre encore pire qu'ils ne le
sont.
Le papier d'hygiène que
je remplie la cuve me fait bien sourire. Je m'amuse comme une petite
folle à détourner les mots pour en faire une pensée profonde sur
la manière de s'exprimer sans trop offenser la candeur de certains
et le puritanisme des autres.
Mais là où ça me choque
réellement, c'est lorsque je vois la défection d'un canin qui trône
une place en plein cœur d'un trottoir où le maître ou la maîtresse
n'a pas eut la décence de nettoyer. Je trouve cela si peu
respectueux que l'envie de l'étaler sur la porte du coupable me
tente fortement la semestre. Voir une réaction de dégoût qui
égalerait la mienne devant l'ostentatoire tas qui n'a pas sa place.
Vous voyez, moi le verbal
est synonyme de personnalité. Si tu chiale en méprisant tout bien
c'est que ton estime de toi est bien bas, malgré le contraire de tes
paroles. Parce qu'il ne faut pas trop s'apprécier pour toujours se
mettre à dos les autres dans notre vocabulaire. On fait s'éloigner
les autres parce que trop c'est trop. Dire ce que l'on pense oui.
Mais à mépriser constamment dès que ça ne vient pas conforter ton
opinion c'est que tu as un besoin constant de valorisation.
En fait, j'ai pas besoin
de trôner constamment comme le tas du chien sur le trottoir juste
pour démontrer que j'ai une opinion. Je peux fort bien la démontrer
sans être vulgaire à outrance et me croire meilleure que les autres
parce que je clame haut ma pensée en termes peu éduqués. La fierté
ne consiste pas à dire que je défèque sur tout, mais la manière
dont je le fais.
Mon retour ne sera pas
assez sous silence. Il sera évident et clair. Ensuite je passerai
aux effets plus sérieux. La charte des manipulateurs. Depuis le
temps qu'on en parle. Marre de me taire. Marre tout simplement.
Voilà, tout aura été
dit sur ce retour de la veille à ce jour. Ensuite on en parlera plus
autant. Le souligner peut-être encore, mais sans plus promis.
Je vous salue donc tous
autant que vous serez à lire ce billet et je vous dis à la
prochaine.
La grosse laide va
aller s'occuper autrement.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Remarque : Seuls les membres de ce blogue sont autorisés à publier des commentaires.